Il développe, la même année, la notion de caméra-stylo[4] dans un article de la revue L'Écran français : « Naissance d'une nouvelle avant-garde[5] ».
Le , il signe avec 42 autres personnalités culturelles françaises, dont Alain Resnais ou Jean Vidal, la « Déclaration du groupe des XXX » en faveur du court métrage, qui va à sa perte à cause du décret visant à interdire la double-programmation dans les salles de cinéma.
En 1994, l'ensemble de son œuvre cinématographique est distingué par le prix René-Clair, créé la même année.
Raymond Bellour, Alexandre Astruc, Paris, Seghers, Collection Cinéma d'aujourd'hui, 1963.
Philippe François, « Alexandre Astruc », in Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 1 : A-C, Les Éditions de Paris Max Chaleil, Paris, 2015, p. 105 (ISBN978-2846211901)