La Résistance anticommuniste roumaine est caractérisée par une mutiplicité et une grande diversité de groupes de maquisards roumains[1],[Notes 1],[2]. On en décompte plus d'un millier ainsi qu'une dizaine de centres de résistance[3],[4]. Il n'est pas seulement question de groupes armés, mais aussi d'organisations subversives, nombre d'entre-elles situées dans des localités urbaines. Leur activité fut le plus souvent éphémère, certaines étant impliquées dans l'impression et la diffusion de manifestes. Peu ont réussi à se coordonner par région. Selon les archives de la Securitate qui ont pu être récupérées, et d'après quelques témoignages de maquisards survivants, certains groupes plus importants se détachent. Par importance, on entend soit le nombre de membres, soit les actions exceptionnelles entreprises, soit la trace vivace qu'ils ont laissée dans la région où ils ont combattu. Il est toutefois difficile de classer les groupes sachant que toutes les informations ne sont disponibles sur certains d'entre eux (dossiers encore classés secrets aux archives du SRI), et que d'autre part, les témoins ont parfois été tous éliminés par les autorités communistes ou ont simplement disparu. Sur le critère de l'importance de leurs activités, sept groupes sont retenus et ils sont ici décrits brièvement. Si l'on considère uniquement la taille des dossiers dans les archives officielles de l’État, un nombre beaucoup plus important de groupes se détache[VL 1],[5]. Après la description des sept réseaux remarquables, un tableau de synthèse rassemble tous les groupes recensés comme importants par le CNSAS (Conseil National pour l'Etude des Archives de la Securitate(ro) ou Conseil National pour l'Etude des Archives de la Securitate).
Les sept réseaux remarquables de la résistance
Teodor Șușman
Maire de Răchițele (dans les monts Apuseni) trois fois pendant plus de 10 ans avant 1945, Teodor Șușman[TS 1] est devenu l'un des résistants les plus connus après la découverte de sa dépouille le par le Centrul de Investigare a Crimelor Comunismului (Centre de recherche sur les crimes du communisme), ainsi que les recherches faites les 5 et [6] pour retrouver celles de ses fils qui l'ont suivi dans son combat : Toader et Avisalon Șușman.
Chef respecté et reconnu de la région du Pays des Moți (Țara Moților), il sera rapidement dans le collimateur des autorités communistes, puis destitué de sa fonction de maire peu de temps après la prise de pouvoir des communistes en 1945. Gréco-catholique soutenant le Parti national paysan, il sera calomnié et faussement accusé par des communistes locaux opportunistes et jaloux de sa réussite personnelle. Après avoir tenté en vain par plusieurs lettres[7] de faire reconnaître son innocence, comme la perfidie de ses accusateurs, se sentant en danger, il décide de prendre la fuite dans les montagnes. Il prendra le maquis en accompagné de ses trois fils Toader (Teodor junior), Avisalon et Traian. Leur résistance se limitera d'abord à assurer leur survie puis à répondre à la terreur imposée par les communistes sur les villageois qui les aidaient. Ils attaqueront plusieurs coopératives et sociétés d'exploitation forestières, sans jamais user de violence contre les ouvriers ou employés, et en essayant de minimiser les conséquences pour ces derniers. Après trois années de résistance à la tête d'un groupe d'une dizaine de personnes, Teodor sera abattu en 1951. Deux de ses trois fils périront en 1958 dans une grange incendiée par la Securitate. Toute la famille Șușman connaîtra un destin tragique. Seul Traian survira après de longues années de prison.
Major Nicolae Dabija - Réseau « Frontul Apărării Naționale, Corpul de Haiduci »
Un autre groupe armé de la région des monts Apuseni, appelé « Front de défense nationale - Corps des haidouks », est considéré comme important par les historiens. Ayant à sa tête un ancien officier de l'armée royale qui participa à la guerre contre l'URSS sur le front de l'Est, le major Nicolae Dabija[ND 1], le groupe attaquera le bureau de perception des impôts à Teiuș, armé de carabines et d'armes de poing. Les autorités roumaines découvrent le refuge des rebelles après que l'un d'entre eux a été arrêté et a révèlé leur repaire à Muntele Mare. Une opération conduite par les forces de sécurité se lance à l'attaque des rebelles au matin du . Dirigées par le Colonel Mihai Patriciu, elles donnèrent l'assaut sur le pic où les rebelles avaient trouvé refuge. Une fusillade et un combat au corps à corps s'ensuivirent. On dénombrera trois morts et trois blessés dans le camp communiste. Dabija fut arrêté le après une dénonciation par un villageois. Le , sept membres du groupe, dont le major Nicolae Dabija, seront exécutés à Sibiu[ND 2],[ND 3].
Colonel Ion Uță
Initiateur d'un groupe de résistance important du Banat roumain, le colonel Ion Uță[IU 1] est l'un des personnages les plus remarquables de la résistance roumaine. L'un des groupes de résistance qu'il a fondé fut impliqué dans une véritable bataille à Pietrele Albe contre les troupes de la Securitate, un fait très rare dans les mouvements de résistance roumains, plus souvent sur la défensive. Préfet du județ de Severin (entre-deux guerres) en 1943-1944 et capitaine dans l'armée roumaine, Ion (ou Ioan) Uță fut nommé colonel puis mis en réserve dans le cadre de l'épuration de l'armée par les communistes. Chef de file du Parti national paysan (PNT) lors des élections législatives roumaines de 1946, il a dû fuir se sachant poursuivi par la police politique. Il se retire alors dans les montagnes de Țarcul et Cernei. Il cherchera, dès son engagement dans la résistance, à organiser et articuler les différents groupes de résistance roumains du Banat, dans le but de renforcer et d'unifier les forces en présence, puis d'organiser une révolte populaire générale dans la région. Il est l'un des rares chefs de réseau à avoir voulu donner une ossature régionale, puis nationale, à la résistance au travers d'un plan précis et d'un calendrier. Constitué exclusivement d'habitants des villages de montagne du județ de Severin, son groupe comptera une trentaine de personnes. Il sera infiltré par la Securitate puis décapité en 1949.
Vers , la mise en route d'une organisation de résistance coordonnée en Dobroudja est décidée à Bucarest. Déclenchée en 1948, sous le commandement des frères Nicolae et Dumitru Fudulea (au nord de la Dobroudja)[8],[9] et de Gogu Puiu (au sud de la Dobroudja)[10]. Ils seront rejoints par Nicolae Ciolacu qui conduira le mouvement dans le centre de la région. Il sera le seul survivant des Haidouks de Dobroudja et publiera en 1995 un ouvrage complet sur la résistance dans cette région[11]. Le groupe fut dénommé Les Haidouks de la Dobroudja[GP 1]. Légionnaire macédo-roumain, revenu d'Allemagne avec quelques camarades, Gogu Puiu organisa et structura la résistance en s'appuyant sur de petits noyaux de maquisards par localité, agissant indépendamment, ayant chacun son chef. La coordination sera réalisée par un groupe de commandement communiquant grâce à un système de courriers efficaces. Entre 1947 et 1956, la Dobroudja fut un centre de résistance particulièrement actif, ou de très nombreuses familles furent impliquées ou victimes de la répression communiste. Les combattants seront presque tous abattus par la Securitate, ou succomberont sous la torture. Les survivants seront envoyés en camps de travaux forcés pour le creusement du canal Danube-Mer Noire, des camps de la mort par épuisement où le régime communiste envoyait les opposants ou les intellectuels dont il ne souhaitait pas voir le retour dans la société[12].
Il existe plusieurs dossiers « Gogu Puiu » au Conseil National pour l’Étude des Archives de la Securitate (CNSAS) en 2017 mais aucun ne contient d'informations précises et détaillées concernant ses activités de résistant. Les informations accessibles à son sujet sont partielles, parfois contradictoires et se limitent à des rapports de gendarmerie ou des notes de police couvrant son activité de chef de cellule légionnaire dans les années 1934-1940[Notes 2],[Notes 3]. Il est suivi et surveillé dès son engagement légionnaire en 1934 et est considéré par la Securitate comme un « terroriste » et un « fasciste ». Les éléments d'information sur ses activités de résistant sont très limités. Il est cependant presque certain que, selon les archives disponibles et les témoignages recueillis, Gogu Puiu a été en contact avec les services secrets français et américains à Berlin et à Vienne dans les années 1945-1947, puis a été formé à la lutte clandestine et à la guérilla. Charismatique, il laissera la trace d'un combattant courageux, martial et haut en couleur, tel les « haïdouks » des siècles passés. En , il préfère se donner la mort en faisant exploser la grenade dont il ne se séparait jamais, plutôt que de tomber entre les mains des communistes.
L'objectif de la résistance de la Dobroudja était de préparer la Roumanie à l'éventualité d'une guerre entre l'Occident et l'URSS. Dans ce contexte, Gogu Puiu aurait été un agent de liaison et celui qui devait préparer le terrain pour l'arrivée des Américains.
Ion Gavrilă Ogoranu - Réseau « Carpatin Făgărășan »
C'est à la suite des arrestations massives de 1947 qui touchent particulièrement des centaines d'étudiants, militaires et légionnaires de la région de Făgăraș, que ceux qui ont échappé à la rafle constituent le groupe Carpatin Făgărășan[IG 1],[IG 2],[IG 3],[IG 4]
La longévité du groupe : 9 ans[Notes 4], s’explique par son organisation militaire et la tactique employée. Aucune centralisation géographique, pas de quartier général, une très vaste zone d'intervention et une grande mobilité, le tout afin de surprendre l'ennemi et rendre les recherches très difficiles. Usant de tactiques de guérilla et se séparant régulièrement en petits groupes pour augmenter ses chances de survie, Grupul Carpatin de Rezistență Națională Armată est particulièrement connu grâce à la survivance de son chef Ion Gavrilă Ogoranu(ro), sa personnalité marquante et ses écrits[Notes 5], qui apportent de nombreux détails sur la survie des partisans en montagne, dans des conditions particulièrement rudes. Légionnaire haut en couleur, fervent croyant, Ion Gavrilă Ogoranu(ro) a marqué les esprits et a même servi d'inspiration pour un film roumain narrant la vie de tous les jours d'un groupe de jeunes résistants anticommunistes[Notes 6]. Sur la vingtaine de jeunes qui choisiront de sacrifier leur jeunesse et leur vie sociale pour le combat de la liberté, seuls deux résistants survivront[Notes 7] à la traque de la Securitate, la plupart seront soit abattus lors d'escarmouches avec la Securitate, soit trahis par des proches ou des agents infiltrés.
Toma Arnăuțoiu - Réseau « Haiducii Muscelului »
La longévité est la première caractéristique du groupe de résistants fondé et mené par le lieutenant Toma Arnăuțoiu[TA 1]. Les Haïdouks de Muscel ont donné 10 ans de leur vie pour la lutte contre le communisme. Partageant souvent le même sort s'ils étaient pris, de nombreux villageois, et en particulier des femmes courageuses les ont soutenus pendant toute cette période. La plupart des résistants furent exécutés sommairement, les autres ont été jetés en prison pour de longues années dans des conditions inhumaines, où beaucoup n'ont pas survécu. Elisabeta Rizea a échappé à cette fatalité, subissant torture et persécution, elle deviendra un symbole vivant puis une icône de la résistance roumaine. La durée de ce combat a laissé beaucoup de traces dans les archives de la Securitate, permettant ainsi de multiples études et analyses par les historiens. Comme on le retrouve quasi systématiquement dans les rapports et témoignages disponibles sur les réseaux de résistance, c'est par la corruption de ses membres, trahisons et infiltrations que la Securitate met fin à son activité.
Victor Lupșa - Réseau « Vlad Țepeș II »
Personnage controversé de la résistance de la région de Vrancea, Victor Lupșa[VL 2] était pour certains un chef respecté et dynamique, un colonel formé en Yougoslavie, et pour d'autres un menteur qui n'avait pas dépassé l'école primaire, réformé à cause d'une jambe trop courte, ou encore un espion à la solde de la Securitate et un traître[13]. Les données accessibles et disponibles en 2017 ne permettent pas de trancher la question avec certitude, ni même de savoir dans quelles conditions il a été arrêté en 1955 puis exécuté en 1956. Il semble cependant qu'il s'agissait d'un personnage fantasque usant de mensonges grossiers et exagérations pour convaincre les paysans de se révolter. Il racontera partout qu'il avait le soutien de Tito et des Américains et que ces derniers livreraient armes et matériel. À partir de l'été 1948, Victor Lupșa et Gheorghe Cornelia (« Szarvas ») ont mis en place l'organisation Vlad Țepeș II et l'étendent dans trois régions : Galați, Brașov et Vrancea. Leur objectif était de soulever les populations des régions montagneuses.
En 1948, il rédige un tract-manifeste anticommuniste signé de son nom et estampillé par une croix chrétienne entourée de la mention Vlad Țepeș II, et le distribue aux chefs de groupes des différents villages où il a lancé son mouvement. Le message et la référence à un grand prince roumain connu pour son honnêteté et sa droiture, mais aussi pour sa lutte impitoyable contre les voleurs et les envahisseurs turcs, semble avoir séduit les gens simples et facilité la fondation de ce mouvement. Mais des particularismes locaux ont aussi favorisé l'adhésion à cet appel : la mentalité régionale très indépendante (une culture du secret ainsi que des réunions clandestines dans les forêts étaient pratiquées depuis des siècles), une région reculée et arriérée, des accès difficiles, des routes très mauvaises voire inexistantes[14]. Lupșa croyait, comme beaucoup d'autres Roumains, à la venue imminente des Américains pour libérer le territoire des communistes, et agissait en conséquence. Il mit ainsi en place des noyaux de résistance et prépara sans relâche des structures pour permettre une révolte massive. Son organisation était militaire, comprenant même des grades et des signes de reconnaissance visibles. Victor Lupșa prendra contact avec plusieurs groupes civils ou religieux et tentera aussi, mais en vain, de faire passer une enveloppe à la légation américaine. Sa tête étant mise à prix par la Securitate, à partir de février ou , il se cachera avec Gheorghe Cornelia dans les montagnes.
L'épisode dit de la Kermesse jettera un trouble sur les intentions réelles de Victor Lupșa[13],[15]. En effet, dans la nuit du au , un bruit court que le signal du début de la révolte va être donné. 19 villages l'attendent en vain ainsi qu'une aide promise en armes, ravitaillement et équipements qui devaient être parachutés. Une seule commune passera à l'action : Bârsești. Un groupe de paysans armés réussira à arrêter les miliciens et les activistes communistes. Se rendant compte de la fausse alerte en constatant l'inertie de tous les autres villages, les révoltés se réfugieront dans les bois. La plupart seront pris par la Securitate, jugés et envoyés en prison. Plus de 100 partisans se cachaient dans les monts de Vrancea en . Gheorghe Cornelia se donnera la mort en 1951 pour échapper à ses poursuivants communistes et Lupșa se réfugiera dans les forêts de Zagon, son pays. Après plusieurs années de traque et de fuite, le , il finit par se rendre aux autorités de Câmpulung Muscel, déclarant ne pas faire de recours contre la sentence de le condamnant à mort par contumace. Il sera exécuté dans le pénitencier de Iași, le .
Au-delà de la zone d'ombre qui plane sur le personnage de Victor Lupșa, le mouvement Vlad Țepeș II reste, de très loin, le plus important de tous les mouvements de résistance du pays. Des milliers de paysans seront arrêtés et envoyés en prison à la suite de la plus grande opération de répression jamais lancée par la Securitate entre juillet et .
Major Nicolae Dabija(les frères Traian et Alexandru Macavei, Sandu Maxim, Sandu Maxim, Cornel Pascu, Iosif Clamba, Ioan Scridon, Titus Onea, Alexandra Pop, Augustin Rațiu, Gheorghe Oprița, Ioan Cigmăianu, Victor Vandor, Viorica Buțuțui)
Gheorghe Gheorghiu Mărășești(Gavrilă Fortu, Aurel Potra, Alexandru Covaci, Traian Mereuț, Nicolae Negoiță, Mircea Oprescu, Nicu Boiangiu, Nicolae Pituru, Aurel Ciurcel, Ionel Iordan, Traian Pașca, Ion Torcea)
Capitaine d'aviation Diamandi Ionescu(Iosif Codoreanu, Simion Gălbează, Victor Marc, Ioan Mârzan, Gheorghe Spulbatu, Victor Lădar, Vasile Marc, Doctor Remus, Simion Grozav, Vasie Vătcă, Constantin Vătcă, Filon Metodie Cirebea, Filip Grozav, Gavril Herculea, Ioan Vlad, Iosif Giurgiu, Ştefan Vătcă, Nicodim Cirebea, Augustin țolea, Iona Ciulea, Ioan Cidrea, Vasile Iancu, Laurențiu Pop junior, Victor Puiu, Gligor Cidrea, Ioan Stoica)
Gligor Cantemir(Ioan Faur de Baltele, Pavel Bacoș de Valea Mare, Hagea Iulian dit Leanu, Dărău Igna de Cil, Ioan Lazăr de Roșia, Ioan Jurcuța, Iulian Hagea, Ioan Lulușa, Pavel Dobre, Pavel Lulușa, Ioan Lupei)
Adrian Mihuț(Gheorghe Poenaru, Pavel Suciu, Moise Sârb, Constantin Buțiu, Pavel Bonța, Gheorghe Maniu, Gheorghe Deheleanu, Simion Văcean, Teodor Ardelean, Virgil Căpitan, Ioan Stoica, Pavel Ignișca, Părintele Ioan Crișan, Aurelia Crișan, Ioan Balaj, Gheorghe Momac, Iacob Opreț)
Ion Gavrilă Ogoranu(ro)(Ion Ilioiu, Remus Sofonea, Gheorghe Arsu, Virgil Radeș, Gheorghe Șovăială, Ion Chiujdea, Ion Novac, Ion Mogoș, lon-Victor Pica, Nicolae Mazilu, Petre Novac, Jean Pop, Laurian Hașu, Andrei Hașu, Cornel Cîlțea, Marcel Cornea, Gelu Novac, Gheorghe Hașu, Mihai Malgan, Gheorghe Ramba, Dumitru-Bambu Moldovan, Vasile Moldovan, Ion Bărcuț, Toma Pîrîu dit Porîmbu)
Toma Arnăuțoiu et le Lieutenant-colonel Gheorghe Arsenescu(Petre Arnăuțoiu, Titu Jubleanu, Marina et Ion Chircă, Elisabeta Rizea, Constantin-Tică Jubleanu, Maria Jubleanu, Benone Milea, Virgil Marinescu, Ion Marinescu, Alexandru Marinescu, Gheorghe Mămăligă, Maria Plop[45],[46], Cornel Drăgoi, Père Ion Drăgoi, Nicolae Ciolan, Mihai Gheorghe, Ion Pățitu, Nicolae Pățitu, Ion Săndoiu, Nicolae Adămoiu)
Vasile Popșa(Ion Popșa, Mihai Sofron, Ioan Rusu, Ioan Hotea zis Hricu, Stefan Tand, Gavrila I. Iusco, Gavrila G. Iusco, Ioan Dunca, Pères gréco-catholiques : Ioan Dunca Joldea, Alexandru Chindriș et Vasile Iusco, Moine Pelagia Iusco, Maria Sas)
Nicolae Pop (Achim et Aristina Pop[57], Père gréco-catholique Atanasie Oniga[58], Vasile Pașca, Vasile Hotea, Ioan Mâț, Ilieș Dunca, Gavrilă Dunca, Ioan Hotico, Dumitru Hotico, Vasile Chindriș, Ștefan Chindriș, Dumitru Chindriș, Mircea Dobre, Ioan Rusu, Vasile Tivadar, Vasile Blaga)
Ionel Golea(Ion Golea, Ștefan Popa, Axente Păcurariu, Ion Samoilă, Vasile Vlad, Șerban Secu, Ion Cristea, Bubu Pintea, dr. Teofil Mija, ing. Aurel Ursu)
Notaire Gheorghe Ionescu[Notes 10]Spiru Blănaru, Commandeur Petre (ou Petru) Domășneanu, Pavel Stoichescu, Ion Stoichescu, Moise Anculia, Petru Berzescu, Ion Berzescu, Iacob Cimpoca, Tudor Rușeț, Petru Anculia, Iovan Berzescu, Gheorghe Ivănici, Ilie Ghimboașă, Ianăș Grozăvescu, Gheorghe Smultea, Horea Smultea, Romulus Marițescu, Nicolae Ghimboașă, Iancu Ghimboașă, Martin Copăceanu, Gavrilă Stoichescu, Nicolae Ciurică, Romulus Anculia)
Aurel Vernichescu et l'avocat Ioan Târziu(Constantin Jumanca, Miron Ivănescu, Sebastian Crăsnaru, Ion Jumanca, Gheorghe Cristea, Victor C. Bisericosul)
Nicolae Doran(Nicolae Popovici, Ilie Dancea, Nicolae Caragea, Nicolae Gîru, Avram Gîru, Pavel Cotârlă, Vasile Martin, Vasile Măran, Pavel Brânzei, Maxim Pârcea, Vichente Dancea, Pavel Andrei, Cornel Lazăr, Nicolae Zarcula, Nicolae Irimia, Adam Măran, Nicolae Murgu, Gheorghe Stoia, Ștefan Luca, Valeriu Lazăr, Ion Andrei, Constantin Coniac, Luca Damaschin, Ioan Botișan, Paul Cojan, Dica Paul Botoș, Strein Olaru, Octavian Botoș, Puiu Roșu, Ion Chirilă și Nicolae Pența)
Silvestru Hazmei ou Harsmei(Vasile Cujmir, Vasile Sved, Pavel Tiron, Alexandru Țurcanu, Ioan Motrescu, Alexandru Cosovan, Nicolae Preziuc, Gheorghe Horobeț)
Filaret Gămălău[86] et le sous-lieutenant Jenică Arnăutu[87](Radu Cacina, Strătescu, doctor Vasilache, Aurel Botnariuc, Gheorghe Petrescu, Nicolae Chelsoiu)
Capitaine d'aviation Nicolae Mândrișteanu (Mihai Bragă, Ghiță Bragă, Constantin Bârdan, Gheorghe Sandu, Vasile Călărețu, Constantin Grecea, adjutantul aviator Sandu din Sascut)
Victor Lupșa(Anton Macovei, Gheorghe Cornelia, Ion Caloianu, Dumitru T. Boștiog, Costică T. Danțiș, Simion Baraghina, Teodor Bușilă, les frères Nicolae et Maftei Dănilă, Pantazică (?), Costică et Gheorghe Pintilie, Luca Bratu, Oprea Roșca, Pompiliu Manoliu, familia Bercuci, Ion Bratu (père), Ion Bratu (fils), Ion Bunghez, Gheorghe Bălan (père), Gheorghiță Bălan (fils), les frères Ion et Gheorghe Brânzaru, Dumitru Rusu, le Père Manole Arghir, Vasile Maftei, Constantin Manoliu, Vasile Matei, Dumitru Botez, Ion Neagu, Victor Isofăchescu, Ionel Militaru, Dinu Bentea, Père Sebastian Popescu, lieutenant-colonel en disponibilité Ion Strâmbei, Dumitru Marola, Constantin Gabrieleanu)
Ion Carlaonț(ro)( Gherasim Iscu, colonelul Cărăușu, major Lucian Dimitriu, Constantin Grădinaru, Remus Radina, Tiberiu Țolescu, Ștefan Hălălău, Radu Ciuceanu(ro), Sergiu Mândinescu)
Capitaine Grigore Brâncuși(Lieutenant-colonel Micandru Ionescu Vintilă, Ion Rădoi, Alexandru Stoichițescu, Constantin Tabacu, Gheorghe Martin, Gheorghe Dineu, Constanța Tabacu et Polina Sîrbulescu)
Gheorghe (Ghiță) Piele et Ion Oprițescu(Mihai Moronescu, Ion Costin, Temistocle Tomescu, Ștefan Teodorescu, Ion Constantin, Gabriel Bălănescu, Mircea Măzărean, Mișu Ocneriu, Constantin Văduva, Nicolae I. Constantin, Ioan Pavel zis Bostan, Gheorghe Popescu, Gheorghe Ionescu zis Brusture, Gheorghe Șitoianu, Peiciu Oprea, Ion Marinovici, Gheorghe Popescu, Constantin Ciorgan, Aristide Ionescu, Nicolae Păunescu, Ioan Chițoiu, Emil Sanfrancisco, Ioan Teodorescu, Ionescu Gheorghe (étudiant), Banu Petre, Ghiţă Băncescu Starovici (étudiant en 2ème année d'architecture), Nicolae Ştefan (electricien), Adrian Mohora (étudiant en 4ème année), Gheorghe Huţanu (ouvrier à l'Atelier C.F.R. de Paşcani), Nicolae Anghel (maçon de Râmnicu-Vâlcea), Ionescu Gheorghe, Văduva Constantin, Şitoianu Gheorghe, Pavel Ion, Nicolae Constantin, Ion Oprițescu, Ștefan Cetățeanu, Gheorghe Popescu, Nicolae Tărășescu, Ion Cetăţeanu, Mircea Măzăreanu, Ion Martin)
Gogu Puiu, responsable pour la zone Sud et chef pour l'ensemble de la région (Nicolae et Dumitru Fudulea, responsables pour la zone Nord, Nicolae Ciolacu, responsable pour la zone Centre, Gheorghe Filiu, Les frères Croitoru, Niculae Trocan, Gheorghe Garofil, Stere Piștalu, Gogu Minai, Gheorghe Moceanu, Gheorghe Manafu, lancu Zoricu, lancu Pirnea, professeur Florian, Iancu Ghiuvea, Iancu Beca, Cioșca, Stila Timu, Constantin Ghiță, Nicolae Conic, Gheorghe Grasu, Stere Grasu, Adam Ciungu, Stere Niculescu, Stere Hapa, Nicolae Hașoti, Iancu Cușu, Gheorghe Filiu, Père Mihăilescu, Nicolae Cocoș, Vasile Baciu, Gheorghe Dinu dit Donica, Niculae Jipa, Gica Perifan, Gheorghe Cresu, Gheorghe Gulea, Stila Timu, Plutonier Cenuse, Stere Stercu, Avganti, Nicu Marin, Toma Vasile, Gheorghe Arau, Ion Cotan, Stere Alexe)
Teodor Coșcodan, Ion Ganea, Vasile Plașca, Simion Alexa, Gavril Bodiu, Gheorghe Bogatu, Ion Coșcodan, Hariton Ciolpan, Pavel Cațer, Mihail Jardan, Grigore Iovu, Grigore Herța, Maria Buruiană
Ion Moraru, Eugen Guțu, Mihail Gheorghelaș, Pavel Istrati, Vasile Oleinic, Alexandru Bobeică, Petru Lungu, Vasile Țurcanu, Chiril Morărescu, David Leahu
Anatol Miliutin, Nicolai Postol, Boris Novac, Vasile Barbovschi, Vasile Hriplivâi, Piotr Kapusta, Simion Untu, Alexei Coval, Sava Lopatinski, Kondrat Boris, Maxim Hrapcenkov, Artiom Borisov, Porfirii Silivestrov, Ivan Kovaliov, Akim Borisov, Ivan Eșan, Alexandr Korceak, Grigori Pelevaniuc, Mihail Doneț, Dumitru Pădureț, Alexandru Gonța, Djupo Golentunder, Nicolai Usatâi
Vasile Bătrânac, (les frères ?) Ion et Maxim Brumă, Pricopie Trofim, Vasile Cvasniuc, Vasile Băleanu, Mihail Ursachi, Teodor Colesnic, Vasile Cibotaru, Victor Solovei, Nicolae Prăjină, Teodosie Guzun, Anton Romașcan, Nichita Brumă
Organisations non gouvernementales et initiatives privées sur la résistance ou la mémoire
(ro) Association des Anciens Détenus Politiques de Roumanie - Asociația foștilor deținuți politici din România. Fondée en , l’Association des Anciens Détenus Politiques défend la mémoire de la répression communiste et conserve les témoignages oraux de ses membres. L'association se bat aussi pour faire reconnaître l'ampleur de la persécution communiste et faire condamner les crimes et les abus du régime communiste.
(ro + fr + en + de) La Fundația Academia Civică, qui administre le Mémorial des victimes du communisme et de la résistance au musée du Sighet, ainsi que le Centre international d’études sur le communisme (CIEC) de Bucarest, dédié à la mémoire des victimes du communisme et à la résistance roumaine - La Fondation Academia Civică. La page d'accueil du site décrit les objectifs de la Fondation: « La victoire la plus importante du communisme, dont on ne s’est rendu compte qu’après 1989, a été la création de l’individu sans mémoire, le soi-disant homme nouveau, qui ignore qui il était, ce qu’il possédait et ce qu’il faisait avant le communisme. Le Mémorial des Victimes du Communisme et de la Résistance se propose de contrecarrer cette victoire et de raviver la mémoire collective. Le Mémorial se compose du Musée de Sighet et du Centre International d’Etudes sur le Communisme, dont le siège se trouve à Bucarest et qui organise chaque année l’Ecole d’Eté de Sighet. Il est une institution de la Mémoire, unique en son genre en raison du fait qu’il est à la fois un institut de recherche, de muséographie et d’enseignement ».
(ro) Fondation Culturelle Memoria Fundația Culturală MEMORIA. Créée juste après la révolution de 1989 par Banu Rădulescu, son fondateur, écrivain et ancien détenu politique. Elle vise à porter à la connaissance du public les crimes et des abus du communisme. La Fondation édite sur papier et sur internet mémoires de prison et de déportation ainsi que témoignages de résistants. La revue Mémoire, la revue de la pensée arrêtée a pour mission la dénonciation du communisme. Elle est dédiée aux témoignages des anciens détenus politiques, elle est éditée par la fondation sous l'égide de l'Union des Écrivains Roumains - Memoria ONLINE. Le premier numéro de la revue Memoria, Revista gândirii arestate fut édité en 1990.
(ro) Le Procès du communisme Procesul comunismului, contrarevolutiei și tranzitiei criminale. Site rassemblant témoignages, livres et photographies Memorialul Dureriides victimes du communisme, en préparation pour un procès du communisme en Roumanie. Cette initiative de Cicerone Ioniţoiu(ro) pour promouvoir un procès du communisme a permis de déposer un requête à la CEDH en 2013 pour reconnaitre le caractère criminel de ce régime.
(ro) Site internet Memoria.ro, bibliothèque numérique d'interviews, mémoires, études et histoires orales ainsi que de livres et images de l'histoire récente de la Roumanie - Memoria.ro.
(ro) Mémoire de la résistance par d'anciens détenus politiques roumains (association "Cei 40 de Mucenici") - Memoria Rezistenței.
(ro) Site internet : Les partisans anticommunistes de Nucșoara, Biographie, photographies et documents sur le lieutenant Toma Arnăuțoiu(ro). Le site appartient à Ioana Raluca Voicu-Arnăuțoiu - Toma Arnăuțoiu.
(ro) Site internet Les Héroïnes Nucșoara, un site consacré aux femmes combattantes dans la résistance anticommuniste. Le site appartient à Ioana Raluca Voicu-Arnăuțoiu - Eroine Nucșoara.
- Une initiative originale sur la mémoire de la résistance roumaine. Dédié à ceux qui ont gardé leur dignité pendant la terreur communiste, le site a pour ambition la diffusion du savoir sur cette période auprès du grand public. Le livre qui a été publié est le résultat d'essais, d'interviews de maquisards ou de leurs proches, mais aussi d'émotions et de réactions des lecteurs sur la résistance roumaine. Plusieurs pages ont été traduites en français et en anglais. Voici l'esprit du site tel qu'il est décrit sur la page Le livre de la Dignité : Qu’en savons-nous, en dehors des idées reçues ? Assez peu de choses finalement. L’une des idées les plus malheureuses est que le phénomène de la résistance anticommuniste des montagnes roumaines est unique au monde. Pourquoi s’acharner à rechercher cette originalité ? À quoi cela sert-il ? Il a déjà été prouvé, par des moyens très simples, que cette idée d'unicité est aussi grotesque qu'une autre affirmant que tous les combattants des montagnes étaient des gens d’extrême droite. C'est faux, même si, parmi eux, il y avait aussi des légionnaires.
- Le blog a été publié sous le titre : Cartea despre demnitate, Alexandru Pătrașcu, préface de Marius Ghilezan, Editura Virtuală, Bucarest, 2012, (ISBN978-606-93389-1-9).
Biliographie
Sources principales
Livres
(ro) Cicerone Ionițoiu, Rezistența anticomunistă din munții României, 1946-1958 [« La résistance anticommuniste dans les montagnes roumaine »], Bucarest, Gîndirea Românească, , 2e éd. (ISBN973-95668-0-4, OCLC636590060, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Nicolae Ciolacu, Nicolae Ciolacu : Haiducii Dobrogei. Rezistența armată în Munții Babadagului, Dobrogea [« Nicolae Ciolacu - les Haïdouks de Dobrouja. La résistance armée dans les monts de Babadag, en Dobroudja »], Hallandale, Florida, Colectia „Omul Nou”, (lire en ligne).
(ro) Cicerone Ionițoiu, Cartea de Aur a rezistenței românești împotriva comunismului [« Le livre d'Or de la Résistance roumaine contre le communisme »], vol. I et II, Bucarest, Editura Hrisovul, 1995 et 1996, 365 et 347 p. (présentation en ligne).
(ro) Petre Baicu et Alexandru Salcă, Rezistența în munți și orașul Brașov (1944-1948) [« La résistance dans les montagnes et dans la ville de Brașov »], Brașov, Editura Transilvania Express, (ISBN978-973-97758-8-5, présentation en ligne).
(ro) Elena Postică, Rezistenta antisovietica în Basarabia : 1944-1950 [« La résistance antisoviétique en Bessarabie »], Intreprinderea Editorial-Poligrafica Stiinta, (ISBN9975-67-045-8, lire en ligne).
(ro) Adrian Brișcă et Radu Ciuceanu(ro), Rezistența armată din Bucovina. 1944-1950 [« La Résistance armée de Bucovine. 1944-1950. »], vol. I, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), , 419 p. (ISBN973-0-00574-5, présentation en ligne).
(en) Dennis Deletant, Communist Terror in Romania : Gheorghiu-Dej and the Police State, 1948-1965 [« la terreur communiste en Roumanie : Gheorghiu-Dej et l’État policier »], Londres, Hurst, , 351 p. (ISBN978-1-85065-386-8, présentation en ligne).
(ro) Atanasie Berzescu, Lacrimi și sânge. Rezistența anticomunistă armată din munții Banatului [« Larmes et sang. La Résistance anticommuniste armée des montagnes du Banat »], Timișoara, Editura Marineasa, (ISBN973-9485-31-6, lire en ligne).
(ro) Nicoară Timiș, Legendarul Găvrilă Mihali Ștrifundă din Borșa [« Le légendaire Găvrilă Mihali Ștrifundă de Borșa »], Cluj, Editura Societății Culturale Pro Maramureș Dragoș Vodă, (ISBN973-99215-9-0, présentation en ligne).
(ro) Mihai Timaru, Destinul unui ofițer : amintiri [« Le destin d'un officier »], Bucarest, Fundația Academia Civică, , 99 p. (ISBN973-99605-9-6, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, Rezistența armată din Bucovina 1950-1952, Vol II [« La Résistance armée de Bucovine, Second volume : 1950-1952 »], vol. II, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), coll. « Colecția Documente », (ISBN973-0-02132-5, présentation en ligne).
(ro) Radu Ciuceanu(ro), Octavian Roske et Cristian Troncotă, Începuturile miscarii de rezistenta în România : iunie-noiembrie 1946 [« Les débuts du mouvement de résistance en Roumanie, vol II : juin-novembre 1946 »], vol. II, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), (ISBN973-85454-3-9, présentation en ligne).
(ro) Cezar Zugravu, O istorie a rezistenței și a represiunii: 1945-1989 [« Une histoire de la résistance et de la répression : 1945-1989 »], Iași, Tipo Moldova, (présentation en ligne).
(ro) Doru Radosav, Almira țetea, Cornel Jurju, Valentin Orga, Florin Cioșan et Cosmin Budeancă, Universitatea Babeș-Bolyai - Institutul de Istorie Orală, Rezistența anticomunistă din Apuseni. Grupurile : "Teodor Şușman", "Capotă-Dejeu", "Cruce și Spadă" : studii de istorie orală [« La résistance anticommuniste des Apuseni. Les groupes "Teodor Şușman", "Capotă-Dejeu", "Cruce și Spadă" : études d'histoire »], Cluj, Editura Argonaut, coll. « Documente-Istorie-Marturii », (ISBN973-7710-12-6, présentation en ligne).
(ro) Florica Dobre (Coord.), Florian Banu, Camelia Duică, Silviu B. Moldovan, Elis Neagoe et Liviu Țăranu, Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), Bande, bandiți și eroi : Grupurile de rezistență și Securitatea (1948-1968) [« Bandes, bandits et héros - Les groupes de résistance et la Securitate (1948-1968) »], Bucarest, Editura Enciclopedică, (ISBN973-45-0436-3, présentation en ligne).
(ro) Gheorghe Onișoru (coordinateur), Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), Mișcarea armată de rezistență anticomunistă din Romania. 1944-1962 [« Les mouvements armés de résistance anticommuniste en Roumanie. 1944-1962 »], Bucarest, Editura Kullusys, , 448 p. (ISBN978-973-86421-1-9, présentation en ligne).
(ro) Ion Gavrilă Ogoranu, Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc [« Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent, Vol. IV »], vol. IV, Făgăraș, Editura Mesagerul de Făgăraș, (ISBN973-85045-6-2, présentation en ligne).
(ro) Denisa Bodeanu et Cosmin Budeancă, Rezistența armată anticomunistă din România. Grupul „Teodor Șușman” (1948-1958). Mărturii [« La Résistance armée anticommuniste de Roumanie. le groupe « Teodor Șușman » (1948-1958). Témoignages »], Cluj, Editura Argonaut, (ISBN973-7710-47-9, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, Rezistența armată din Banat vol. I, 1945-1949 [« La Résistance armée du Banat vol. 1, 1945-1949 »], vol. I, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), (ISBN973-86654-2-6, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Constantin Hrehor, Muntele mărturisitor. Anii Rezistenței : Anii Suferinței [« Le mont confesseur. Des années de la Résistance / Des années de Souffrance »] (Recueil du témoignage oral de Gavril Vatamaniuc), Iași, Editura Timpul / Apologeticum, (1re éd. 2002) (ISBN973-612-042-2, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Marian Cojoc, Rezistența armată din Dobrogea, 1945-1960 [« La Résistance armée de Dobroudja »], Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), (ISBN973-86654-2-6, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, Jurnalul unui partizan : Vasile Motrescu și rezistența armată din Bucovina, 1944-1958 [« Le journal d'un partisan : Vasile Motrescu et la Résistance armée de Bucovine »], Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), , 239 p. (ISBN973-7861-05-1, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Viorel Rus, Rezistența anticomunistă în județul Bistrița-Năsăud (1945-1989) [« La résistance anticommuniste dans le comté de Bistrița-Năsăud (1945-1989) »], Bistrița, Editura Ioan Cutova, (ISBN978-973-87670-0-3, présentation en ligne, lire en ligne), article "Trei martiri ai rezistenței anticomuniste din județul Bistrița-Năsăud Leonida Bodiu, Toader Dumitru și Ioan Burdeți" (Trois martyrs de la résistance anticommuniste du comté de Bistrița-Năsăud : Leonida Bodiu, Dumitru Toader et Ioan Burdeți), pages 79-91.
(ro) Camelia Ivan Duică, Rezistența anticomunistă din Maramureș. Gruparea Popșa (1948-1949) [« la Résistance armée du Maramureș. Le groupement Popșa (1948-1949) »], Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), (ISBN973-7861-03-5, présentation en ligne).
(ro) Comisia Prezidențială pentru Analiza Dictaturii Comuniste din România et Vladimir Tismăneanu (Président de la Commission), Comisia Prezidențială pentru Analiza Dictaturii Comuniste din România : Raport final [« Commission Présidentielle pour l'Analyse de la Dictature Communiste en Roumanie - Rapport Final »], Bucarest, Présidence roumaine, (lire en ligne).
(ro) Dorin Dobrincu et Coordinateur scientifique Dr. Ioan Ciupercă professeur universitaire, Rezistența armată anticomunistă din România (1944 la începutul anilor '60) [« La Résistance armée anticommuniste de Roumanie (De 1944 au début des années 1960) »] (thèse de doctorat), Iași, Universitatea Alexandru Ioan Cuza Falcultatea de Istorie, (présentation en ligne).
(ro) Ion Gavrilă Ogoranu, Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc : La pas prin Frăția de Cruce [« Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent, Vol. V »], vol. V, Madrid, Editura Mișcării Legionare, (ISBN973-99293-2-X, présentation en ligne).
(ro) Ion Gavrilă Ogoranu, Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc : Episcopul Ioan Suciu în față furtunii [« Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent, Vol. VI. L'évêque Ioan Suciu face à la tempête »], vol. VI, Cluj, Editura Viața Creștină, (ISBN973-674-055-2, présentation en ligne).
(ro) Cosmin Budeancă et Denisa Bodeanu, Universitatea Babeș-Bolyai - Institutul de Istorie Orală, Rezistența anticomunistă din România. Grupul Capotă-Dejeu (1947-1957). Mărturii [« La résistance anticommuniste de Roumanie. Le groupe Capotă-Dejeu (1947-1957). Témoignages »], Cluj, Editura Argonaut, coll. « Documente-Istorie-Marturii », (ISBN973-7710-84-3, présentation en ligne).
(ro) Ion Gavrilă Ogoranu, Elis Neagoe-Pleșa et Liviu Pleșa, Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc : Rezistenta anticomunistă din Munții Apuseni [« Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent, Vol. VII - La résistance anticommuniste des Monts Apuseni. »], vol. VII, Baia Mare, Editura Marist, (ISBN978-973-8935-44-0 et 973-8935-44-X, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Adrian Brișcă et Puica Buhoci, Rezistența armată din Munții Apuseni. Gruparea maiorului Nicolae Dabija 1948-1949 [« La Résistance armée des montagnes. Le groupe du Major Nicolae Dabija 1948-1949 »], Bucarest, Editura Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului, (ISBN978-973-7861-31-3, présentation en ligne).
(ro) Ileana Mateescu et Marcel Mateescu, Rezistența anticomunistă din Mehedinți [« La résistance anticommuniste de Mehedinți »], Drobeta-Turnu Severin, Editura Ștef, (ISBN978-606-597-900-0, présentation en ligne).
(ro) Aristina Pop-Saileănu, „Să trăiască partizanii până vin americanii”. Povestiri din munți, din închisoare și din libertate. [« Que vivent les partisans jusqu'à l'arrivée des américains. Histoires des montagnes, du pénitencier et de la liberté. »], Bucarest, Fundația Academia Civică + Centru Internațional de Studii asupra Comunismului, coll. « Istorie orală » (no 10), , 160 p. (ISBN978-973-8214-40-8, présentation en ligne).
(ro) Gheorghe Gorun, Rezistența anticomunistă în județul Gorj reflectată în mentalul colectiv : 1945-1981 [« La résistance anticommuniste dans le comté de Gorj reflétée dans la mentalité collective »], Craiova, Universitaria, , 560 p. (ISBN978-606-510-021-3, présentation en ligne).
(ro) Ion Gavrila-Ogoranu, Fotea Petru, Ciur Anamaria et Ciur Maria, Rezistanța anticomunistă din munții făgărășului (Note și ștudii comparative pe marginea documentelor din arhivă C.N.S.A.S.) [« La résistance anticommuniste des Monts Fagaraș (Notes et étude comparative en marge des documents d'archive C.N.S.A.S.) »], vers 2008, 151 p. (lire en ligne).
(ro) Ion Gavrilă Ogoranu, Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc [« Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent, Vol. I »], vol. I, Timișoara et Baia Mare, Editura Marineasa puis Editura Marist, , 2e éd. (1re éd. 1993 / 1995) (ISBN978-973-95729-4-1 et 973-95729-4-4, présentation en ligne).
(ro) Ion Gavrilă Ogoranu, Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc [« Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent, Vol. II »], vol. II, Timișoara et Baia Mare, Editura Marineasa puis Editura Marist, , 2e éd. (1re éd. 1996) (ISBN978-973-9185-11-0 et 973-9185-11-8, présentation en ligne).
(ro) Liviu Pleșa, Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), Organizația de rezistență condusă de maiorul Nicolae Dabija (1948-1949) [« L'organisation résistante conduite par le Major Nicolae Dabija (1948-1949) »], Bucarest, Editura CNSAS, (ISBN978-973-88289-0-2, lire en ligne).
(ro) Ioana Raluca Voicu-Arnăuțoiu, Luptătorii din munți. Toma Arnăuțoiu, grupul de la Nucșoara [« Les combattants des montagnes. Toma Arnăuțoiu - le groupe de Nucșoara »], Bucarest, Editura Vremea, , 891 p. (ISBN978-973-645-357-1, présentation en ligne).
(ro) Ioana Raluca Voicu-Arnăuțoiu et Ioan Crăciun, 50 de ani de la procesul și execuția membrilor grupului de rezistența condus de Toma Arnăuțoiu [« A 50 ans du procès et de l'exécution des membres du groupe de résistance conduit par Toma Arnăuțoiu »], Bucarest, Editura Ars Docendi, , 95 p. (ISBN978-973-558-435-1, présentation en ligne).
(ro) Cosmin Budeancă, Denisa Bodeanu et Valentin Orga, Universitatea Babeș-Bolyai - Institutul de Istorie Orală, Mișcarea de rezistență anticomunistă din România. Grupul „Cruce și Spadă”. Mărturii [« Le mouvement de résistance anticommuniste en Roumanie. Le groupe « Cruce și Spadă ». Témoignages »], Cluj, Editura Argonaut, coll. « Documente-Istorie-Marturii », , 2e éd. (ISBN978-973-109-220-1, présentation en ligne).
(en) Vladimir Tismăneanu, Stalinism Revisited. The Establishment of Communist Regimes in East-Central Europe [« Le stalinisme revisité : l'instauration d'un régime communiste en Europe centrale et orientale »], New-York, Central European University Press, , 444 p. (ISBN978-963-9776-55-5, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Ștefan Bellu, Pădurea răzvrătită. Mărturii ale rezistenței anticomuniste [« La forêt rebelle. Témoignages de la résistance anticommuniste »], Târgu-Lăpuș, Editura Galaxia Gutenberg, coll. « Historia XVII », , 2e éd. (1re éd. 1986) (ISBN978-973-141-109-5, présentation en ligne).
(ro) Constantin Ionașcu et Virginia Ion, Rezistența anticomunistă din Dobrogea [« La Résistance anticommuniste de Dobroudja »], Bucarest, Fundația Academia Civică în parteneriat cu Societatea de Cultură Macedo-Română, , 3e éd. (ISBN978-973-8214-64-4, présentation en ligne).
(ro) Ion Gavrilă Ogoranu et Lucia Baki Nicoara, Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc [« Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent, Vol. III »], vol. III, Timișoara et Făgăraș, Editura Marineasa puis Editura Mesagerul de Făgăraș, , 2e éd. (1re éd. 1999) (ISBN978-973-85045-8-5 et 973-85045-8-9, présentation en ligne).
(ro) Gabriel Moisa et Marius Kramer, Structuri anticomuniste din vestul României. Grupul Adrian Mihuț [« Les structures anticommunistes de l'ouest de la Roumanie »], Cluj, Editura Mega, (ISBN978-606-543-292-5, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Gabriel Moisa et Marius Kramer, Structuri anticomuniste din vestul României. Grupul Adrian Mihuț [« Les structures anticommunistes de l'ouest de la Roumanie »], Cluj, Editura Mega, (ISBN978-606-543-292-5, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) AFDPR (Association des Anciens Détenus Politiques) de Sighetu Marmației, Eroii Rezistenței Anticomuniste : Septembrie 2012 [« Les héros de la résistance anticommuniste - septembre 2012 »], Baia Mare, Gazeta de Maramureș, coll. « Eroii Rezistenței Anticomuniste » (no 25), (lire en ligne).
(ro) Valentin Hossu Longin, Canalul morții. Martor [« Le Canal de la Mort. Témoignage »], Bucarest, Fundația Academia Civică, (ISBN978-973-8214-72-9, présentation en ligne).
(ro) Romulus Rusan, Cartea morților din închisori, lagăre, deportări-1944-1989 [« Le livre des morts en prison, dans les camps de travail, en déportation-1944-1989 »], Bucarest, Fundației Academia Civică + Centrul Internațional de Studii asupra Comunismului, , 880 p. (ISBN978-973-8214-56-9, présentation en ligne).
(ro) Constantin Vasilescu (Album-photo documentaire complété par des analyses détaillées), Rezistență Armată Anticomunistă [« La Résistance armée anticommuniste »], Bucarest, Editura Predania, (ISBN978-606-8195-32-2, présentation en ligne).
(ro) AFDPR (Association des Anciens Détenus Politiques) de Sighetu Marmației, Eroii Rezistenței Anticomuniste : Marție 2013 [« Les héros de la résistance anticommuniste - mars 2013 »], Baia Mare, Gazeta de Maramureș, coll. « Eroii Rezistenței Anticomuniste » (no 31), (lire en ligne).
(ro) Gavril Vatamaniuc (préf. Liana Petrescu), Am fost un om liber. Convorbiri cu Liana Petrescu [« J'ai été un homme libre. Conversations avec Liana Petrescu »], Bucarest, Romulus Rusan / Fundația Academia Civică, coll. « Istorie orală / Recviem pentru țăranul roman », (ISBN978-973-8214-92-7, présentation en ligne).
(ro) Vasile Tiplea et Ioana Raluca Marza, Rezistenta anticomunista din Muntii Tiblesului [« La résistance anticommuniste des Monts Tibles »], Cluj, Limes, (présentation en ligne).
Articles
(ro) Adrian Brișcă, « Rezistenta anticomunista din Bucovina. Lupta de la Bâtca Corbului, 18 ianuarie 1955. Încercare de reconstituire », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 1, , p. 89-98 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă (dir.), « Ion Vatamaniuc (1903-1992) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 1, , p. 188-189 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Radu Ciuceanu, « Miscarea Nationala de Rezistenta. Sumanele negre. Dosarul operativ », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 1-2, , p. 241-257 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Constantin Cenusa (1911-1964) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 1-2, , p. 324-327 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Vladimir Macoveiciuc (1905-1946) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 3, , p. 240-242 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « O zi din viața unui partizan. III / Documente privind viata cotidiana a partizanilor anticomunisti din Bucovina, 1944-1958 », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 4, , p. 93-116 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Radu Ciuceanu, « Sumanele Negre. Dosarul operativ, 1946, II », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 4, , p. 117-131 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Vasile Motrescu (1920-1958) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 4, , p. 217-220 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Memoria, « Grupul de rezistență maior Nicolae Dabija » [« Le groupe de résistance Major Nicolae Dabija »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", no 13, , p. 59-67 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Steliana Breazu, « Grupul de rezistență anticomunistă al lui Cantemir Gligor din munții Zarandului și Codrului, pe valea Crișului Alb » [« Le groupe de résistance anticommuniste de Cantemir Gligor dans les montagnes Zarandului et Codrului, par la vallée du Crișul Alb »], Analele Sighet, Bucarest, Editura Fundația Academia Civică « Instaurarea comunismului - între rezistență și represiune », no 2, , p. 233-235 (ISBN973-0-00190-1, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Ștefan Bellu, « Rezistența în munții Maramureșului » [« La Résistance dans les monts du Maramureș »], Analele Sighet, Bucarest, Editura Fundația Academia Civică « Instaurarea comunismului - între rezistență și represiune », no 2, , p. 224-228 (ISBN973-0-00190-1, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Mihai Timaru, « Lupta de rezistență anticomunistă în munții Vrancei » [« La lutte de la Résistance anticommuniste dans les montagnes de Vrancea »], Analele Sighet, Bucarest, Editura Fundația Academia Civică « Instaurarea comunismului - între rezistență și represiune », no 2, , p. 228-233 (ISBN973-0-00190-1, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Radu Ciuceanu, « Sumanele Negre. Dosarul operativ, 1946-1947, III », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 2, , p. 96-110 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « O zi din viața unui partizan. VI / Documente privind viata cotidiana a partizanilor anticomunisti din Bucovina, 1944-1958 », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 3, , p. 83-104 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Radu Ciuceanu, « Sumanele Negre. Dosarul Operativ, 1945, IV », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 3, , p. 105-119 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Ion Chiraș (1903-1955) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 3, , p. 215-217 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Radu Ciuceanu, « Sumanele negre. Dosarul operativ, 1945, V », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 4, , p. 66-78 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Zoe Rădulescu, « Rezistența anticomunistă din munții Babadag » [« La Résistance anticommuniste des monts Babadag »], Analele Sighet, Bucarest, Editura Fundația Academia Civică « Instaurarea comunismului - între rezistență și represiune », no 2, , p. 219-223 (ISBN973-0-00190-1, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Radu Ciuceanu, « Sumanele Negre. Dosarul operativ, 1945-1946, VI », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 1, , p. 62-75 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Radu Ciuceanu, « Sumanele Negre. Dosarul operativ, 1946, VII », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 2-3, , p. 103-114 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Radu Ciuceanu, « Sumanele Negre. Dosarul operativ, 1945-1946, VIII », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 2-3, , p. 111-122 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Viorel Bodiu, « Fratele meu, ostaş în divizia “Tudor Vladimirescu”, împuşcat ca anticomunist pe Dealu Crucii », Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", no 22, , p. 121-127 (présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Gheorghe Chiraș (1911-1955) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 15-16, , p. 197-199 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Mihali-Ștrifundă Gavrilă (1901-1961) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 17, , p. 223-225 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Mihai Timaru, « Am fost ofițer al armatei regale române și nu puteam să absentez de la lupta armată anticomunistă din munții Vrancei » [« J'ai été officier de l'armée royale roumaine et je ne pouvais être absent de la lutte anticommuniste des monts Vrancea »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", no 20, , p. 113-123 (lire en ligne, consulté le ).
(ro) Elena Postică, « Grupuri de rezistenta pe teritoriul Basarabiei, I, Uniunea Democratica a Libertatii » [« Les groupes de résistance sur le terrtoire de Besssarabie, I, Union Démocratique de la Liberté »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 15-16, , p. 66-77 (ISSN1221-6917, lire en ligne).
(ro) Emil Sebeșan et Ileana Silveanu, « Rezistența din Banat 1949 vol I » [« La Résistance du Banat 1949 Vol I »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 18, , p. 116-138 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Cristian Troncotă, « Procesul mișcării naționale de rezistență, 1946 » [« Le processus du mouvement national de résistance, 1946 »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), vol. V, nos 19-20, , p. 102-120 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Claudia Căpățănă et Răzvan Ciolcă, « Dumitru Apostol (1905-1950) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), no 21, , p. 229-230 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Matei Tudor, « Rezistența anticomunistă din Mehedinți » [« La Résistance anticommuniste de Mehedinți »], Analele Sighet, Bucarest, Fundația Academia Civică « Anul 1948 - instituționalizarea comunismului », no 6, , p. 250-255 (ISBN973-98437-4-3, présentation en ligne).
(ro) Claudia Căpățănă et Răzvan Ciolcă, « Fișe pentru o istorie a rezistenței anticomuniste, Grupul „Haiducii Muscelului” » [« Dossiers pour une histoire de la résistance anticommuniste, le groupe « Haiducii Muscelului » »], Magazin Istoric, Bucarest, Fundația Culturală Magazin Istoric, vol. XXXII, no 6, , p. 40-44 (présentation en ligne).
(ro) Mihai Timaru, « Amintiri despre grupul Paragină » [« Mémoires du groupe Paragină »], Analele Sighet, Bucarest, Fundația Academia Civică « Anul 1948 - instituționalizarea comunismului », no 6, , p. 261 (ISBN973-98437-4-3, présentation en ligne).
(ro) Elena Postică, « Strategia represiunii în Basarabia si forme de rezistenta împotriva ocupatiei sovietice : 1944-1950 » [« La stratégie de la répression en Bessarabie et les formes de résistance contre l'occupation soviétique »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 19-20, , p. 35-45 (ISSN1221-6917, lire en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Victor Lupșa (1921-1956) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 19-20, , p. 223-225 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Rezistența armată anticomunistă din România, 1944-1962 » [« La Résistance armée anticommuniste de Roumanie 1944-1962 »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 22-23, , p. 42-67 (ISSN1221-6917, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Lucreția Jurj-Costescu, « Patru ani de rezistență cu arma în mână în Munții Apuseni » [« Quatre années de Résistance les armes à la main dans les monts Apuseni »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", no 26, (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Adrian Brișcă, « Ion Uță (1891-1949) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 22-23, , p. 248-250 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Adrian Brișcă, « Nicolae Dabija (1907-1949) », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 26-27, , p. 248-251 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Elena Postică, « Martiri ai rezistentei antitotalitare în Basarabia : 1949-1951 [traduction titre=Martyrs de la résistance antitotalitaire en Bessarabie : 1949-1951 », Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 28-29, , p. 76-82 (ISSN1221-6917, lire en ligne).
(ro) Laura Stancu et Liviu Burlacu, Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), « Organizația de rezistență 'Paragină' în atenția Securității » [« L'organisation de résistance 'Paragină' surveillée par la Securitate »], Totalitarism și rezistență, teroare și represiune în România comunistă, Bucarest, Editura CNSAS, no 1, , p. 146-153 (ISBN973-0-02533-9, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Silvia Angelescu, « Padurea Babadag - câti copaci, atâtia fugari!? » [« La forêt de Babadag - tant d'arbres, tant de fugitifs ? »], Magazin Istoric, Bucarest, Magazin Istoric, nos 2/2001, , p. 11-15 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Silvia Angelescu, « "Născută din nevoile ţăranilor". Rezistenţa anticomunistă din Dobrogea 1945-1952 » [« "Né des besoins des paysans". La résistance anticommuniste en Dobrogea 1945-1952 »], Anuarul Institutului de Istorie Orală, Cluj, Argonaut, nos 2/2001, , p. 293-310 (présentation en ligne).
(ro) George Enache et Adrian Nicolae Petcu, Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), « Biserica Ortodoxă Română și Securitatea. Note de lectură » [« L'Eglise orthodoxe roumaine et la Securitate. Notes de lecture »], Totalitarism și rezistență, teroare și represiune în România comunistă, Bucarest, Editura CNSAS, no 1, , p. 108-136 (ISBN973-0-02533-9, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
Georges Diener, « Résistance paysanne et maquis en Roumanie de 1945 à 1965 - La résistance paysanne à la collectivisation », Genèses, Paris, Éditions Belin, no 43, , p. 145-158 (ISBN9782701129143, ISSN1155-3219, DOI10.3917/gen.043.0145, lire en ligne, consulté le ).
(en) Adrian Brișcă, « The Anticommunist Armed Resistance in Romania 1944-1962 » [« La Résistance armée anticommuniste en Roumanie 1944-1962 »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 34-35, , p. 75-101 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Marius Cristea, Universitatea Babeș-Bolyai - Institutul de Istorie Orală, « Rezistența anticomunistă în zona Aiud. “Grupul Spaniol” » [« La Résistance Anticommuniste dans la région d'Aiud. Le « groupe Spaniol » »], Anuarul Institutului de Istorie Orală, Cluj, Presa universitară clujeană / Editura Argonaut, vol. III, , p. 28-30 (ISSN1454-4865, présentation en ligne).
(ro) Theodor Bărbulescu et Liviu Țăranu, « Rezistența anticomunistă? Cazul colonelului I. Uță » [« La Résistance anticommuniste ? Le cas du Colonel I. Uță »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", nos 44/45, (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Camelia Ivan Duică, « Din istoria rezistenței anticomuniste din Banat. Organizația dr. Liviu Vuc (1948-1952) » [« De la Résistance anticommuniste du Banat. L'organisation du Dr Liviu Vuc (1948-1952) »], Analele Universității "Dunărea de Jos", Galați, Departamentul de Istorie, Facultatea de Istorie, Filosofie si Teologie, istorie no II, , p. 121-133 (ISSN2344-472X, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Mircea Rusnac, « Mișcarea de rezistență anticomunistă din Banat (1945-1953) » [« Le mouvement de résistance anticommuniste du Banat (1945-1953). Les groupes principaux. »], Banatica, Reșita, Muzeul Banatului Montan, nos 16-2, , p. 303-328 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Monica Grigore, « Grupul Arnota – un episod al rezistenței anticomuniste românești din nordul Olteniei », dans Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității / Gheorghe Onișoru (coordinateur), Mișcarea armată de rezistență anticomunistă din România, 1944-1962 [« Le groupe Arnota - Un épisode de la résistance anticommuniste roumaine du nord de l'Olténie »], Bucarest, Editura Kullusys, coll. « Studii 2 », (ISBN978-973-86421-1-9, présentation en ligne), p. 102-103.
(ro) Dorin Dobrincu, « Macedo-românii și rezistența armată anticomunistă din Dobrogea (1948-1952) » [« Les macédo-roumains et la résistance armée anticommuniste de Dobrogea (1948-1952) »], Interferențe româno-elene (secolele XV-XX), Iași, Leonidas Rados / Fundația Academică “A.D. Xenopol”, , p. 233-275 (présentation en ligne).
(ro) Theodor Băbulescu et Liviu Țăranu, « Existența cotidiană a unui 'bandit': cazul Vasile Motrescu », dans Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității / Gheorghe Onișoru (coordinateur), Mișcarea armată de rezistență anticomunistă din Romania. 1944-1962 [« L'existence quotidienne d'un 'bandit' : le cas de Vasile Motrescu »], Bucarest, Editura Kullusys, coll. « Studii 2 », (ISBN978-973-86421-1-9, présentation en ligne, lire en ligne), p. 281-299.
(ro) Dorin Dobrincu, « Sfidarea Securității în Bucovina. Grupul de rezistență armată anticomunistă Gavril Vatamaniuc (1949-1958) » [« Défier la Securitate en Bucovine. Le groupe de résistance armée anticommuniste Gavril Vatamaniuc »], Revista de Istorie Socială, Iași, Facultatea de Istorie, Universitatea „Alexandru Ioan Cuza” din Iași, vol. VIII-IX, 2003-2004, p. 363-412 (ISSN1453-5378, présentation en ligne).
(ro) Dorin Dobrincu, « Bucovineni contra sovietici. Rezistența armată antisovietică/anticomunistă din Bucovina (martie-august 1944 - iulie 1946) » [« La Résistance armée anticommuniste de Roumanie 1944-1962 »], Anuarul Institutului de Istorie Orală, Cluj, Presa universitară clujeană / Editura Argonaut, vol. V, , p. 123-182 (ISSN1454-4865, présentation en ligne).
(ro) Octavian Coman, « Trebuie să ai curaj, trebuie să spui nu » [« Tu dois avoir du courage, tu dois dire non »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", vol. 9, no 49, (lire en ligne).
(ro) Ion Constantinescu Mărăcineanu, « Un erou de legendă: Colonelul (r) Gh. Arsenescu » [« Un héros de légende : le colonel (r) Gh. Arsenescu »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", no 49, (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « „Rămășitele grupului Ion Uță”: Formațiunile din Banat conduse de frații Duicu, Dumitru Mutașcu și Dumitru Ișfănuț (1949-1954) » [« Les survivants du groupe Ion Uță : les formations de la Résistance du Banat dirigées par les frères Duicu, Dumitru Mutașcu et Dumitru Ișfănuț (1949-1954) »], Annales Universitatis Apulensis, Alba Iulia, Universitatea "1 Decembrie 1918", series Historica no 9/I, , p. 193-215 (ISSN1453-9306, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Nesupunere în Bucovina. Grupurile de rezistență armată anticomunistă Cenușă–Motrescu (1948-1951), Pătrăucean-Gherman și Cenușă-Pătrăucean 1948-1951 » [« Insoumission en Bucovine. Les groupes de résistance armée anticommuniste Cenușă–Motrescu, Pătrăucean-Gherman et Cenușă-Pătrăucean 1948-1951 »], Anuarul Institutului de Istorie A.D. Xenopol, Iași, vol. XLII, no II, , p. 451-481 (ISSN1221-3705, présentation en ligne).
(ro) Dorin Dobrincu, « Rezistența armată anticomunistă din Bucovina: 'Gărzile Decebal' și grupul Grigore Sandu (1949) » [« La résistance armée anticommuniste de Bucovine : 'Gărzile Decebal' et le groupe Grigore Sandu (1949) »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", nos 51/52, , p. 33-48 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Formațiuni din rezistanța armată anticomunistă în sudul Moldovei (1945-1958) » [« Formations de la résistance armée anticommuniste dans le sud de la Moldavie (1945-1958) »], Anuarul Institutului de Istorie Orală, Cluj, Presa universitară clujeană / Editura Argonaut, vol. VI, , p. 163-192 (ISSN1454-4865, présentation en ligne).
(ro) Dorin Dobrincu, « Organizația Națională Creștină de Luptă Împotriva Comunismului Partizanii României Mare și planul de răsculare a Banatului (1948-1949) » [« L'organisation Nationale Chrétienne de Lutte Contre le Communisme Partisans de la Grande Roumanie et le plan de rébellion du Banat (1948-1949) »], Analele științifice ale Universității Alexandru Ioan Cuza din Iași, Iași, Universitatea „Alexandru Ioan Cuza” din Iași, Facultatea de Istorie, seria Istorie no LI, , p. 295-316 (ISSN1221-843X, présentation en ligne).
(ro) Oana Ionel, « Alexandru Dejeu și Securitatea » [« Alexandru Dejeu et la Securitate »], Experimentul Pitești ? Reeducarea prin tortură. Opresiunea țărănimii române în timpul dictaturii comuniste, Pitești, Fundația Culturală "Memoria", filiala Argeș, , p. 419-428. (ISBN973-86965-4-2, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Liviu Pleșa et Cosmin Budeancă, Florentin Olteanu, Iulia Pop (éditeurs) (Travaux présentés au Symposium Internațional Făgăraș-Sâmbăta de Sus, les 24-26 mars 2006), « Implicarea militarilor în mișcarea de rezistență armată - Cazul maiorului Nicolae Dabija (1948-1949) » [« L'implication des militaires dans les mouvements de résistance armée - Le cas du major Nicolae Dabija (1948-1949) »], Rezistența anticomunistă – cercetare științifică și valorificare muzeală, Cluj, Editura Argonaut, vol. I, , p. 105-124 (ISBN978-973-109-016-0, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Oana Ionel et Cosmin Budeancă, Florentin Olteanu, Julia Pop (éditeurs) (Travaux présentés au Symposium Internațional Făgăraș-Sâmbăta de Sus, les 24-26 mars 2006), « Anihilarea organizației 'Garda Albă' de către Securitate (1949) » [« La destruction de l'organisation "Garda Albă" par la Securitate (1949) »], Rezistența anticomunistă. Cercetare științifică și valorificarea muzeală, Cluj, Editura Argonaut, vol. I, , p. 142-158 (ISBN978-973-109-016-0, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Grupuri 'minore' din rezistență anticomunistă bucovineană (1948-1961) » [« Les groupes 'mineurs' de la Résistance anticommuniste de Bucovine 1948-1961 »], Codrul Cosminului, Suceava, Editura Universității din Suceava, no 12, , p. 179-194 (ISSN2067-5860, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Formațiuni „minore” de rezistența anticomunistă și fugari solitari din nordul Transilvaniei (1949-1958) » [« Les formations mineures de la résistance anticommuniste et les fuyards solitaires du nord de la Transylvanie »], Annales Universitatis Apulensis (Universitatea „1 Decembrie 1918” din Alba Iulia), historica no 10/I, , p. 133-146 (p. 133) (ISSN1453-9306, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Rezistența armată anticomunistă în sud-estul Munților Apuseni (I) » [« La Résistance armée anticommuniste du sud-est des monts Apuseni (I) »], Revista 22, Bucarest, Grupul pentru Dialog Social, (ISSN1220-5761, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Florian Banu et Cosmin Budeancă, Florentin Olteanu, Iulia Pop (Travaux présentés au Symposium Internațional Făgăraș-Sâmbăta de Sus, les 24-26 mars 2006), « Mișcarea de rezistență armată anticomunistă din România - între negare și hiperbolizare » [« Le Mouvement de résistance armée anticommuniste de Roumanie - Entre la négation et l'hyperbolisation »], Rezistența anticomunistă – cercetare științifică și valorificare muzeală, Cluj, Editura Argonaut, vol. I, , p. 299-314 (ISBN978-973-109-016-0, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Doru Radosav, « Rezistenta anticomunistă armată din România între istorie și memorie » [« La Résistance anticommuniste de Roumanie entre histoire et mémoire »], Comunism și represiune în România. Istoria tematică a unui fratricid național, Iași, Editura Polirom, vol. VIII, , p. 87-107 (ISBN973-46-0312-4, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Romulus Rusan et Ion Gavrila-ogoranu, « Liber în munți » [« Libre dans les montagnes »] (Morceaux des conférences et discussions lors de l'université d'été de Sighet en juillet 2003), Revista 22, Bucarest, Grupul pentru Dialog Social, (ISSN1220-5761, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Cornea Corneliu, « Rezistenta anticomunistă în Arad » [« La Résistance anticommuniste à Arad »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", nos 55/56, (présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Serenela Ghițeanu (source de l'article: Jurnale din rezistenta anticomunista, Vasile Motrescu, Mircea Dobre, Editura Nemira, 2006), « Cum e posibil sa fii erou? » [« Comment est-il possible d'être un héros ? »], Revista 22, Bucarest, Grupul pentru Dialog Social, (ISSN1220-5761, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Rezistența armată anticomunistă în sud-estul Munților Apuseni (II) » [« La Résistance armée anticommuniste du sud-est des monts Apuseni (II) »], Revista 22, Bucarest, Grupul pentru Dialog Social, (ISSN1220-5761, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Rezistența armată anticomunistă din Munții Făgăraș - versantul nordic. „Grupul carpatic făgărășan” / Grupul Ion Gavrilă (1949/50-1955/56) » [« La résistance armée des Monts Făgăraș - versant sud. 'Le groupe carpatic făgărășan / Groupe Ion Gavrilă (1949/50-1955/56)' »], Anuarul Institutului de Istorie 'George Barițiu', Bucarest, Editura Academiei Române, historica no XLVI, , p. 433-502 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(en) Dorin Dobrincu, « The Anti-Communist Armed Resistance on the Southern Slope of the Făgăraș Mountains and the Iezer Mountains. The Groups Led by Colonel Gheorghe Arsenescu and Lieutenant Toma Arnăuțoiu (1948-1960) I » [« La Résistance armée anticommuniste sur le versant sud des monts Făgăraș et des montagnes Iezer. Les groupes dirigés par Gheorghe Arsenescu et le Lieutenant Toma Arnăuțoiu ; 1948-1960) I »], Revista Archivelor, Bucarest, Arhivele Nationale ale României, nos 3-4, 2007 (lxxxiv), p. 249-272 (ISSN1453-1755, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Viorel Rus, « Originile Năsăudene ale Organizației Anticomuniste "Haiducii lui Avram Iancu - Divizia Sumanele Negre" » [« Haiducii lui Avram Iancu – Divizia Sumanele Negre', une organisation anticommuniste originaire de Năsăudale »], Arhiva Someșană, Năsăud, no VII, , p. 205-214 (ISSN1583-3542, présentation en ligne, lire en ligne [archive du ], consulté le ).
(ro) Silviu B. Moldovan et Mihai Demetriade, Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), « Ion Mitucă, de la rezistență la disidență : Memoriu de Ion Mitucă privind aspecte ale vieții deținuților politici din lagărul Cavnic » [« Ion Mitucă, de la résistance à la dissidence / Mémoire de Ion Mitucă au sujet de la vie des détenus politiques dans le camp de concentration de Cavnic »], Caietele CNSAS, Bucarest, Editura Consiliului Național pentru Studierea Arhivelor Securității, no 2, , p. 74-147 (ISSN1844-6590, lire en ligne, consulté le ).
(en) Dorin Dobrincu, « The Anti-Communist Armed Resistance on the Southern Slope of the Făgăraș Mountains and the Iezer Mountains. The Groups Led by Colonel Gheorghe Arsenescu and Lieutenant Toma Arnăuțoiu (1948-1960) II » [« La Résistance armée anticommuniste sur le versant sud des monts Făgăraș et des montagnes Iezer. Les groupes dirigés par Gheorghe Arsenescu et le Lieutenant Toma Arnăuțoiu ; 1948-1960) »], Revista Archivelor, Bucarest, Arhivele Nationale ale României, no 1, 2008 (lxxxv), p. 283-311 (ISSN1453-1755, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(en) Dorin Dobrincu, « The Anti-Communist Armed Resistance on the Southern Slope of the Făgăraș Mountains and the Iezer Mountains. The Groups Led by Colonel Gheorghe Arsenescu and Lieutenant Toma Arnăuțoiu (1948-1960) III » [« La Résistance armée anticommuniste sur le versant sud des monts Făgăraș et des montagnes Iezer. Les groupes dirigés par Gheorghe Arsenescu et le Lieutenant Toma Arnăuțoiu ; 1948-1960) III »], Revista Archivelor, Bucarest, Arhivele Nationale ale României, no 2, 2008 (lxxxv), p. 160-186 (ISSN1453-1755, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Paula Ivan, « Formele de represiune a rezistenței anticomuniste în memoria colectivă (I) » [« Les formes de répression de la Résistance anticommuniste dans la mémoire collective (I) »], Revista Arhivelor, Bucarest, Arhivele Nationale ale României, no 1, 2009 (lxxxvi), p. 219-245. (ISSN1453-1755, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Dorin Dobrincu, « Rezistența armată anticomunistă și rezistența greco-catolică în centrul Transilvaniei. Organizația « Partizanii Regelui Mihai - Armata Secretă » (1948-1950) » [« La Résistance armée anticommuniste et la Résistance gréco-catholique dans le centre de la Transylvanie. L'organisation 'les partisans du Roi Michel - Armée Secrète' (1948-1950) »], Revista Arhivelor, Bucarest, Arhivele Nationale ale României, istorie no 1, 2009 (lxxxvi), p. 204-218 (ISSN1453-1755, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) IICCMER, « Acțiunea de exhumare a partizanului anticomunist Vitan Petru împușcat de securitate la 21 noiembrie 1952. » [« Exhumation du partisan Vitan Petru, abattu par la Securitate le 21 novembre 1952 »], Archive des évènements de l'Institut de Recherche sur les Crimes du Communisme et la Mémoire de l'Exil Roumain (IICCMER), Bucarest, (lire en ligne, consulté le ).
(ro) IICCMER, « O nouă acțiune de exhumare organizată de IICCR. Cazul Nicolae (Mișu) Selagea, împușcat de Securitate la 2 septembrie 1950. » [« Une nouvelle exhumation organisée par l'IICCMER. Le cas de Nicolae (Mișu) Selagea, tué par la Securitate le 2 septembre 1950 »], Archive des évènements de l'Institut de Recherche sur les Crimes du Communisme et la Mémoire de l'Exil Roumain (IICCMER), Bucarest, (lire en ligne, consulté le ).
(ro) IICCMER, « Acțiune de exhumare organizată de IICCR în septembrie 2009. Cazul Nicolae (Mișu) Selagea, împușcat de Securitate la 2 septembrie 1950 » [« Exhumation organisée par l'IICCR en septembre 2009. Le cas de Nicolae (Mișu) Selagea abattu par la Securitate le 2 septembre 1950 »], Archive des évènements de l'Institut de Recherche sur les Crimes du Communisme et la Mémoire de l'Exil Roumain (IICCMER), Bucarest, (lire en ligne, consulté le ).
(ro) Nicolae Ioniță, Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), « Fișe biografice ale șefilor de direcții centrale din Securitate, în anii ’60. » [« Fiches biographiques des chefs de direction centrale de la Securitate, dans les années 60 »], Caietele CNSAS, Bucarest, Editura CNSAS, no 1(3), , p. 105-106 (ISSN1844-6590, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Memoria, « Unde sunt cei care nu mai sunt - "Catalogul" celor uciși în temnițele comuniste » [« Où sont ceux qui ne sont plus - 'Catalogue' de ceux qui furent tués dans les geôles communistes »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", vol. XXXII, nos 68/69, , p. 241 (lettre D) (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Memoria, « Documente - Din arhiva Securității » [« Au sujet des archives de la Securitate »], Memoria, Revista gândirii arestate, Bucarest, Fundația Culturală "Memoria", vol. XXXII, nos 68/69, , p. 231 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(en) Andrei Miroiu, « Wiping Out ‘The Bandits’: Romanian Counterinsurgency Strategies in the Early Communist Period » [« Nettoyer les « bandits » : Les stratégies de contre-insurrection roumaine dans les premières années du communisme »], The Journal of Slavic Military Studies, Londres, Taylor and Francis, vol. 23, no 4, , p. 666–691 (ISSN1351-8046, DOI10.1080/13518046.2010.526021, présentation en ligne).
(ro) Dorin Dobrincu, « Rezistența armată anticomunistă din Vrancea. Organizația „Vlad Țepeș II” (1949-1950) » [« La Résistance armée anticommuniste de Vrancea. L'organisation 'Vlad Țepeș II' (1949-1950) »], Colloquium politicum, Timișoara, Universitatea de Vest din Timișoara, no 1, , p. 103-145 (ISSN2065-8664).
(ro) Puica Buhoci, « Istorie și frauda (I). Caz Penal: cum au dispărut documente incriminatorii din Arhivele C.N.S.A.S. Un furt “garantat” de Academia Cațavencu. Documente » [« Histoire et fraude (I). Affaire criminelle : comment ont disparu des documents incriminants des archives du C.N.S.A.S. Un vol 'garanti' par l'Académie Cațavencu. Documents »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 68-69, 2010 (xviii) (ISSN1221-6917, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Marius Oprea, « Raiul lui Șușman » [« Le ciel de Șușman »], Observator cultural, Bucarest, Editura SC Observator cultural SA, no 532, (lire en ligne, consulté le ).
(en) Oana Mateescu, « Losing the Phenomenon: Time and Indeterminacy in the Practice of Anthrohistory » [« Perdre le phénomène: Temps et indétermination de la pratique de l'Anthrohistoire »], Unsettling Knowledge, Questioning Discipline, Ann Arbor, Michigan, University of Michigan Press, (ISBN978-0472051359, présentation en ligne, lire en ligne [archive du ], consulté le ).
(ro) Lucia Hossu-Longin, « Măturile de la Tescani », Observator cultural, Bucarest, Editura SC Observator cultural SA, no 588, (lire en ligne, consulté le ).
(ro) Puica Buhoci, « Istorie și frauda (II). Cum a dispărut o delațiune din Arhiva C.N.S.A.S pentru a se deschide apoi un proces de calomnie » [« Histoire et fraude (I). Comment a disparu une dénonciation des archives C.N.S.A.S afin d'intenter un procès en diffamation »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 70-71, 2011 (xix) (ISSN1221-6917, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Radu Stancu, « Ideologie, represiune și pedeapsa cu moartea în deceniul dinaintea adoptării Codului penal din 1969 » [« Idéologies, répressions et peines de mort dans la décennie précédant l'adoption du code pénal de 1969 »], Revista Arhivelor, Bucarest, Arhivele Nationale ale României, no LXXXIX - 1, , p. 181-203 (page 195) (ISSN1453-1755, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Liviu Pleșa, « Călăul Mihail Patriciu » [« Le boucher Mihail Patriciu »], Revista 22, Bucarest, Grupul pentru Dialog Social, (ISSN1220-5761, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) IICCMER, « Campaniile de arheologie contemporană ale IICCMER - Dezgropînd crimele comunismului » [« Campagne archéologique contemporaine de l'IICCMER - Déterrer les crimes du communisme »], Observator cultural, Bucarest, Editura SC Observator cultural SA, no 672, (lire en ligne, consulté le ).
(ro) Gabriel Moisa, « Organizația condusă de Adrian Mihuț (1948-1956) » [« L'organisation anticommuniste conduite par Adrian Mihuț (1948-1956) »], Crisia, Oradea, Editura Muzeului Țării Crișurilor din Oradea, no XLIII, , p. 161-179 (ISSN1016-2798, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Gabriel Moisa et Cosmin Budeancă et Olteanu Florentin, « Adrian Mihuț - Lider al grupului de rezistență de pe Valea Crișului Alb (1948-1956) » [« Adrian Mihuț - Chef du groupe de résistance dans la vallée Crișul Alb »], Destine individuale și colective în comunism, Iași, Editura Polirom, no XLIII, (ISBN978-973-46-3432-3, présentation en ligne).
(ro) Liviu Pleșa, « Cum ucidea Securitatea. Cazul ofițerului Mihail Kovács » [« Comment tuait la Securitate. La case de l'officier Mihail Kovács »], Revista 22, Bucarest, Grupul pentru Dialog Social, (ISSN1220-5761, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
Autres sources
Livres
(en) Peter Grose, Operation Rollback : America's Secret War Behind the Iron Curtain [« Opération Refoulement : La guerre secrète de l'Amérique derrière le rideau de fer »], New-York, Houghton Mifflin Harcourt / Mariner Books, , 256 p. (ISBN978-0-618-15458-6, présentation en ligne), p. 166.
(ro) Gheorghe Onișoru (coordinateur), Consiliul Național pentru Studierea Arhivelor Securității (C.N.S.A.S), Totalitarism și rezistență, teroare și represiune în România comunistă [« Totalitarisme et résistance, terreur et répression en Roumanie communiste »], Bucarest, Editura CNSAS, coll. « Studii » (no 1), (ISBN973-0-02533-9, présentation en ligne, lire en ligne).
(ro) Marius Oprea, "Banalitatea răului". O istorie a Securității în documente [« "La banalité du mal". Une histoire de la Securitate en documents. 1949-1989 »], Iași, Editura Polirom, , 582 p. (ISBN973-683-927-3, présentation en ligne).
(en) Kevin McDermott et Matthew Stibbe, Revolution and resistance in Eastern Europe : challenges to communist rule [« Révolution et résistance en Europe de l'Est : les défits au régime communiste »], Londres, Berg, , 224 p. (ISBN978-1-84520-259-0, présentation en ligne).
Claudia-Florentina Dobre, Un pays derrière les barbelés. Brève histoire de la répression communiste en Roumanie, Bucarest, Fundația Culturală Memoria, (ISBN978-606-8285-16-0, présentation en ligne).
(ro) Vlad Mitric-Ciupe, Arhitecții români și detenția politică, 1944-1964. Între destin concentraționar și vocație profesională [« Les architectes roumains et la détention politique, 1944-1964. Entre un destin concentrationnaire et vocation professionnelle »], Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), coll. « Colecția Studii », , 560 p. (ISBN978-973-7861-58-0, présentation en ligne).
(ro) IICCMER, « Acțiunea de căutare și deshumare a lui Gheorghe Pașca și Gavrilă Rus, uciși de Securitatea comunistă la 5 februarie 1956. » [« Recherche et Exhumation de Gheorghe Pașca et Gavrilă Rus, tués par la Securitate communiste le 5 février 1956 »], Archive des évènements de l'Institut de Recherche sur les Crimes du Communisme et la Mémoire de l'Exil Roumain (IICCMER), Bucarest, (lire en ligne, consulté le ).
(ro) Cosmin Budeanca, « Gheorghe Militaru: din lagărele sovietice în rezistența anticomunistă din România (I) » [« Gheorghe Militaru : du goulag soviétique à la résistance anticommniste de Roumanie (I) »], Memoria, revista gândirii arestate, Bucarest, Fundatia Culturala MEMORIA, nos 112/3, , p. 15-27 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Cosmin Budeanca, « Gheorghe Militaru: din lagărele sovietice în rezistența anticomunistă din România (II) » [« Gheorghe Militaru : du goulag soviétique à la résistance anticommniste de Roumanie (II) »], Memoria, revista gândirii arestate, Bucarest, Fundatia Culturala MEMORIA, nos 113/4, , p. 61-67 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Ionel Anitimirescu, « Rezistența anticomunistă din Vrancea: activitatea grupului din Herăstrău » [« La Résistance anticommuniste de Vrancea : l'activité du groupe d'Herăstrău »], Analele Bucovinei, Bucarest, Editurii Academiei Române, no XXX/1, , p. 222-233 (présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
Articles
(ro) Constantin Latea, « Epurări din armata româna. Criterii politice și mijloace de presiune: 1945-1958 » [« Les purges de l'armée roumaine / Critères politiques et moyens de pression »], Arhivele Totalitarismului, Bucarest, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului (INST), nos 1-2, , p. 222-240 (ISSN1221-6917, présentation en ligne).
(ro) Gheorghe Onișoru, « “Vin americanii!” – de la speranță la iluzie în România postbelică » [« "Les Américains arrivent!" - De l'espérance à l'illusion dans la Roumanie d'après-guerre »], Anuarul Institutului de Istorie A.D. Xenopol, Iași, Academia Română - Filiala Iași /Institutul de Istorie “A. D. Xenopol”, vol. XXXI, , p. 299-313 (ISSN1221-3705, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
(en) Eduard Mark, « The OSS in Romania, 1944-1945: An Intelligence Operation in the Early Cold War » [« L'OSS en Roumanie, 1944-1945: Une opération de renseignement dans les premières heures de la guerre froide »], Intelligence and National Security, London, Franck Cass, vol. 9, no 2, , p. 320-344 (présentation en ligne).
(ro) Cornel Jurju, Universitatea Babeș-Bolyai - Institutul de Istorie Orală, « Mitul «venirii americanilor». Studiu de caz: rezistența anticomunistă de la Huedin » [« Le mythe de la "venue des Américains". Etude de cas : la résistance anticommuniste de Huedin »], Anuarul Institutului de Istorie Orală, Cluj, Editura Argonaut, vol. III, , p. 173-192 (ISSN1454-4865, présentation en ligne).
Claudia Dobre, « Elisabeta Rizea de Nucșoara : un « lieu de mémoire » pour les roumains ? », Conserveries mémorielles - Revue transdisciplinaire, Université Laval, Québec, IHTP - Institut d'Histoire du Temps Présent, CELAT, (ISSN1718-5556, lire en ligne, consulté le ).
(ro) Jipa Rotaru, « Un erou al rezistenței anticomuniste din România anilor 50: Vasile Motrescu : Grupul Mandea. Între legendă și adevăr », dans Jipa Rotaru, "Eroism și eroi la români": Prima sesiune de comunicări științifice; Maia Catargi - Ialomița; 16-17 septembrie 2005 [« Le groupe Mandea. Entre légende et vérité »], Constanța, Editura Fundației Andrei Șaguna, (ISBN978-973-732-035-3, présentation en ligne), p. 203-210.
(ro) Gheorghe Gorun et Hadrian Gorun, « Un parașutat în România vândută: Mircea Popovici » [« Un parachuté dans une Roumanie trahie »], Anuarul Institutului de Istorie Orală, Cluj, Presa universitară clujeană / Editura Argonaut, vol. VIII, , p. 148-172 (ISSN1454-4865, présentation en ligne).
(ro) Alexandru Razes, « Miscarea de rezistenta antisovietica din Bucovina » [« le mouvement de résistance antisoviétique de Bucovine »], Foaie Națională, Bucarest, (lire en ligne, consulté le ).
Filmographie
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 1991, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], ép. 2 (« Recurs în cazul Motrescu. Rezistența armată anticomunistă în Obcinele Bucovinei a început încă de la sfârșitul războiului, când o grupare paramilitară s-a organizat împotriva Armatei Roșii. Între 1948 și 1955. ») : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur Vasile Motrescu.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 1991, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], ép. 3 (« Moșul. Film biografic al fostului șef al Rezistenței din Munții Făgăraș-Ion Gavrilă Ogoranu ») : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur Ion Gavrilă Ogoranu.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 1991, documentaire historique [présentation en ligne], « O istorie a bravilor: Grupul din masivul Vlădeasa-Suferințele urmașilor. În fostul sediu al securității din Cluj, au fost anchetați, începând cu 7 decembrie 1957, toți membri grupului Capotă-Dejeu. » : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur le groupe Capotă-Dejeu.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 1992, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « Viteaza din Nucșoara » : Le Mémorial de la Souffrance - Le fameux reportage de la TVR sur la vie d'Elisabeta Rizea, rediffusé régulièrement. L'interview a été réalisé en 1992.
(ro) Mărturia lui Gavril Vatamaniuc de Ioan Roșca / Procesul comunismului, 2008, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne] : Série d'interviews-témoignage / 55 vidéos.
(ro) Dezbatere privind sensul Procesului Comunismului / Mărturia lui Gavril Vatamaniuc de TVR Internațional / Procesul comunismului, 4 décembre 2009, documentaire historique [voir en ligne] : Emissions de TV : "Débat sur le sens du Procès du communisme / le témoignage de Gavril Vatamaniuc".
(ro) Conferință "Memoria vie a spiritualității românești cu un invitat deosebit: Gavril Vatamaniuc" de Fundația Creștină Părintele Arsenie Boca, 17 septembre 2010, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne] : organisée par la "Biblioteca Academiei de Studii Economice" et la "Fundația Creștină Părintele Arsenie Boca".
(ro) Zilele Rezistenței Naționale Anticomuniste, Sâmbăta de Sus, 22-24 iulie 2011, Simpozion : Gavril Vatamaniuc, luptătorul în rezistența armată anticomunistă din Munții Bucovinei de Fundația Ion Gavrilă Ogoranu, 22 juillet 2011, documentaire historique [voir en ligne].
(ro) Nascuta in grota partizanilor. Interviu cu Ioana V Arnautoiu de Iuliana Marciuc, coll. « Destine ca-n filme », 23 juillet 2013 [voir en ligne] [présentation en ligne] : Témoignage vidéo. Interview de Ioana V Arnăuţoiu, fille de Toma Arnautoiu, retraçant l'épopée tragique de son père, héros des montagnes, et de sa mère Maria Plop.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală : Șef al Penitenciarului de pedeapsă Maior Alexandru Vișinescu a condus închisoarea tăcerii de la Râmnicu Sărat între anii 1950-1963 de Lucia Hossu-Longin, 30 novembre 2013, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « Alexandru Vișinescu » : Reportage de la TVR sur les tortionnaires communistes.
(ro) Elisabeta Rizea de Mihai Constantinescu, 2013, documentaire historique, 72 minutes [présentation en ligne] : Documentaire soutenu par Asociația pentru Promovarea filmului românesc/Romanian Film Promotion (APFR).
(ro) În spatele cortinei de Bogdan Mustaţă, 2013, documentaire historique, 50 minutes [voir en ligne] [présentation en ligne] : L'objectif principal du film est de familiariser le public roumain et occidental avec l'image réelle et non masquée du communisme, loin de l'idéalisme promu par les nostalgiques ou ses promoteurs actuels. Ainsi, à travers le film « Derrière le rideau », nous voulons présenter au public roumain et européen l'histoire de la communisation forcée de la Roumanie, en suivant les principaux moyens par lesquels la destruction de la société a eu lieu entre 1944 et 1951 : de l'abolition de la propriété privée, la réforme agraire, la réforme monétaire, la nationalisation des objectifs industriels et la décapitation de l'armée, à la fraude massive des élections électorales en faveur du Parti communiste, l'abolition du pluralisme politique et de la liberté de la presse, la subordination de l'économie aux intérêts de l'Union soviétique et l'abolition de la monarchie.
(ro) Arheologia crimelor comunismului. Cazul Gheorghe Pașca și Gavrilă Rus - Năsăud (28-29.04.2014) de Gheorghe Petrov (IICCMER), 28-29 avril 2014, 72 minutes [voir en ligne] : Reportage de l'IICCMER sur l'archéologie des crimes communistes. Le cas Gheorghe Pașca et Gavrilă Rus - Năsăud (28-29.04.2014).
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 2015, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « O istorie a bravilor. Grupul lui Ion Paragină » : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur le groupe Ion Paragină.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 2015, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « Memorialul durerii: O istorie a bravilor - Victor Macoveiciuc » : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur Vladimir Macoveiciuc.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 2017, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « Memorialul Durerii: Poveşti de iubire în infern - Olimpia şi Gogu Puiu » : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur le chef de la résistance en Dobroudja Gogu Puiu et son épouqe Olimpia.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 2020, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « Memorialul Durerii: Figuri legendare ale rezistenței: Grupul Arnota » : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur le groupe Arnota.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 2020, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « Memorialul Durerii: Figuri legendare ale rezistenței - Dobrogea eroică » : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur la résistance en Dobrouja.
(ro) Memorialul Durerii, o istorie care nu se învață la școală de Lucia Hossu-Longin, 2020, documentaire historique [voir en ligne] [présentation en ligne], « Memorialul Durerii: Figuri legendare ale rezistenței - Gheorghe Pașca de pe Valea Izei » : Le Mémorial de la Souffrance - Reportage de la TVR sur la résistance en Dobrouja.
Fictions et adaptations cinématographiques
Binecuvântată fii, închisoare - (ro) Binecuvântată fii, închisoare de Nicolae Mărgineanu, 08 novembre 2001, 16/9, 90 minutes [présentation en ligne] : Adaptation cinématographique du livre autobiographique de l'écrivain Nicole Valéry-Grossu „Bénie sois-tu, prison”, publié en français, ultérieurement traduit en roumain en 1997.
Portretul luptătorului la tinerețe - (ro) Portretul luptătorului la tinerețe de Constantin Popescu, 13 février 2010, 16/9, 163 minutes [voir en ligne] : Film retraçant la vie de Ion Gavrila Ogoranu et son groupe de résistants.
Poarta Albă - (ro) Poarta Albă de Nicolae Mărgineanu, 17 octobre 2014, 16/9, 86 minutes [présentation en ligne] : Fresque dramatique sur l'un des plus terribles camps de concentration communiste roumain, sur le canal du Danube. De nombreux résistants y ont été envoyés et y ont péri.
(ro) Cicerone Ionițoiu, « Eroi ai rezistenței armate anticomuniste din România: Grupul Șușman » [« Les héros de la résistance armée anticommuniste de Roumanie : le groupe Șușman »], Photographies de la famille Șușman, publiées vers 2006 sur ce site, sur procesulcomunismului.com (Procesul comunismului, contrarevolutiei și tranzitiei criminale), (consulté le ).
(ro) Marius Oprea, « Acțiunea de deshumare a lui Șușman Teodor senior în satul Răchițele, comuna Mărgău, județul Cluj » [« Exhumation de Șușman Teodor senior dans le village de Răchițele, commune de Mărgău, județ de Cluj »], Page consacrée à Teodor Șușman « Exhumation de Șușman Teodor senior dans le village de Răchițele, commune de Mărgău, județ de Cluj », dont une galerie de photographies sur le site internet du Centre de Recherche sur les Crimes du Communisme de Roumanie (IICCMER), sur procesulcomunismului.com (Procesul comunismului, contrarevolutiei și tranzitiei criminale), (consulté le ).
Pages consacrées à la famille Șușman, publiées sur le site internet Despre demnitate : (ro) Alexandru Pătrașcu, « Din nou despre demnitate și despre Teodor Șușman » [« Du nouveau sur la dignité et sur Teodor Șușman »], sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ) ; (ro) Alexandru Pătrașcu, « Povestea familiei Șușman istorisită de Traian Șușman » [« L'histoire de la famille Șușman racontée par Traian Șușman »], sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ) ; (ro) Alexandru Pătrașcu, « Interviu Traian Șușman (4 martie 2000) » [« Interview de Traian Șușman (le 4 mars 2000) »], sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
Pages consacrées à la famille Șușman, publiées sur le site internet du Memorialului Victimelor Comunismului de la Sighet (Mémorial des victimes du Communisme de Sighet) : (ro) Dorin Dobrincu, « 1/2 februarie 1958, frații Teodor și Visalon Șușman mor în urma unei confruntări cu Securitatea » [« 1/2 février 1958, les frères Teodor et Visalon Șușman meurent à la suite d'une confrontation avec la Securitate »], sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ) ; (ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Familia Teodor ȘUȘMAN » [« La famille ȘUȘMAN »], sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ) ; (ro) Dorin Dobrincu, « Roman Oneț », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Claudiu Pădurean, « Cum a murit șeful luptei anticomuniste din Apuseni » [« Comment est mort le chef de la lutte anticommuniste dans les Apuseni »], sur romanialibera.ro (România Liberă), (consulté le ).
Memoria 1995, article "Grupul de rezistență maior Nicolae Dabija", p. 59-67.
Rezistența armată anticomunistă din România 1944-1962, Adrian Brișcă, 1999, titres "7.2. Grupul Dabija-Macavei (Muntele Mare) (1948-1949).", "7.3. Grupul maiorului Oniga (1948-1949).", "7.4. Grupul Ștefan Popa (Piatra Caprei - Alba) (1948-1949).", "7.11. Liga Apuseană a Moților (1949).", p. 42-67.
Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc, Vol. VII - Rezistenta anticomunistă din Munții Apuseni, Ion Gavrilă Ogoranu, 2007, titres "Cuvânt înainte - Grupurile de rezistență armată din sud-estul Munților Apuseni", "Frații Macavei", "Organizarea grupului armat Dabija", "Grupul de ofițeri de la București", "Formarea grupului Dabija", "Câteva cuvinte despre oamenii recrutati (așa cum i-a caracterizat Securitatea)", "Intrarea în grupul Dabija", "Începutul grupului Dabija" (după declarația lui Traian Macavei)", "Armamentul grupului Dabija", "Organizarea grupului Dabija în 3 martie 1949", "Manifestele", "Obținerea informațiilor", "Trădătorii", "Notă informativă redactată de maiorul Emil Oniga privind activitatea lui pentru descoperirea organizației Dabija", "Căderea grupului Dabija", "Declarații supraviețuitorilor", "Prinderea maiorul Nicolae Dabija", "Legături cu alte grupuri", "Procesele (Lotul Nicolae Dabija)", "Grupul Ionescu Diamandi (după fișele Securității)", "Biografii grupul maiorului Nicolae Dabija".
IICCMER 2009, article "O nouă acțiune de exhumare organizată de IICCR. Cazul Nicolae (Mișu) Selagea, împușcat de Securitate la 2 septembrie 1950.".
IICCMER 2009, article "Acțiune de exhumare organizată de IICCR în septembrie 2009. Cazul Nicolae (Mișu) Selagea, împușcat de Securitate la 2 septembrie 1950.".
(ro) Site mémoriel de la famille de Gogu Puiu. Plusieurs textes repris par la presse y décrivent la vie de Gogu Puiu et les vicissitudes des résistants de Dobroudja :
(ro) Elena Rădulescu, « Povestea lui Gogu Puiu » [« L'histoire de Gogu Puiu »], sur gogupuiu.ro (Asociația Gogu Puiu și Haiducii Dobrogei), (consulté le ).
Article sur Nicolae Doicaru(ro), chef de la Direction Régionale de la Securitate de Constanța, et organisateur des poursuites, de l'arrestation et de l'assassinat des partisans Dobrogea (1949): Nicolae Ioniță 2009, article "Fișe biografice ale șefilor de direcții centrale din Securitate, în anii ’60.", p. 105-106.
(ro) Alexandru Patrăscu, « Balada lui Gogu Puiu » [« La balade de Gogu Puiu »], sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
(ro) Cristian Hagi, « Haiducii anticomuniști ai Dobrogei » [« Les haïdouks anticommunistes de Dobroudja »], sur romanialibera.ro (România Liberă), (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Izabela Papazicu, « Un aromân necunoscut (I) » [« Un Aroumain inconnu (I) »] [archive du ], sur daimadeadun.wordpress.com (Zboară Niangrâpsiti - blog armânescu), (consulté le ).
(ro) Izabela Papazicu, « Un aromân necunoscut (II) » [« Un Aroumain inconnu (II) archive-url=https://archive.is/OU7cM »], sur daimadeadun.wordpress.com (Zboară Niangrâpsiti - blog armânescu), (consulté le ).
(ro) Izabela Papazicu, « Un aromân necunoscut (III) » [« Un Aroumain inconnu (III) »] [archive du ], sur daimadeadun.wordpress.com (Zboară Niangrâpsiti - blog armânescu), (consulté le ).
(ro) Izabela Papazicu, « Un aromân necunoscut (IV) » [« Un Aroumain inconnu (IV) »] [archive du ], sur daimadeadun.wordpress.com (Zboară Niangrâpsiti - blog armânescu), (consulté le ).
(ro) Izabela Papazicu, « Un aromân necunoscut (V) » [« Un Aroumain inconnu (V) »] [archive du ], sur daimadeadun.wordpress.com (Zboară Niangrâpsiti - blog armânescu), (consulté le ).
Dorin Dobrincu 2007, article "Rezistența armată anticomunistă din Munții Făgăraș - versantul nordic. „Grupul carpatic făgărășan” / Grupul Ion Gavrilă (1949/50-1955/56)", p. 433-502.
Dorin Dobrincu 1998, article "The Anti-Communist Armed Resistance on the Southern Slope of the Făgăraș Mountains and the Iezer Mountains. The Groups Led by Colonel Gheorghe Arsenescu and Lieutenant Toma Arnăuțoiu (1948-1960) I", p. 249-272.
Dorin Dobrincu 1998, article "The Anti-Communist Armed Resistance on the Southern Slope of the Făgăraș Mountains and the Iezer Mountains. The Groups Led by Colonel Gheorghe Arsenescu and Lieutenant Toma Arnăuțoiu (1948-1960) II", p. 283-311.
Dorin Dobrincu 1998, article "The Anti-Communist Armed Resistance on the Southern Slope of the Făgăraș Mountains and the Iezer Mountains. The Groups Led by Colonel Gheorghe Arsenescu and Lieutenant Toma Arnăuțoiu (1948-1960) III", p. 160-186.
Vladimir Tismăneanu 2009, Dorin Dobrincu: "The discovery of a historiographical subject: anti-communist armed resistance in Romania", p. 329-330.
Memoria 2009, article "Documente - Din arhiva Securității", p. 231.
(ro) Irina Munteanu, « Timpul mărturisirii » [« Le temps des témoignages »], sur jurnalul.ro (Jurnalul Național), (consulté le ).
(ro) Dana Dobre, « Eroii luptei de rezistența din Muscel » [« Les héros de la Résistance de Muscel »], sur romanialibera.ro (România Liberă), (consulté le ).
(ro) RI online, « Un destin - ANTON ARNAUTOIU din Muscel » [« Un destin - ANTON ARNAUTOIU de Muscel »], sur romanialibera.ro (România Liberă), (consulté le ).
(ro) Florin Mihai, « Luptătorii din munți » [« Les combattants des montagnes »], sur jurnalul.ro (Jurnalul Național), (consulté le ).
(ro) Alexandru Patrăscu, « Toma Arnăuțoiu », sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
(ro) Ioana Raluca Voicu-Arnăuțoiu, « Eroine Nucșoara » [« Les Héroïnes Nucșoara »], Un site consacré aux femmes combattantes dans la Résistance anticommuniste. Le site appartient à Ioana Raluca Voicu-Arnăuțoiu., sur eroinenucsoara.ro, (consulté le ).
(ro) Ioana Raluca Voicu-Arnăuțoiu, « Toma Arnăuțoiu », Site internet consacré aux partisans anticommunistes de Nucșoara : Biographie, photographies et documents sur le lieutenant., sur tomaarnautoiu.ro, (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Toma Arnăuțoiu », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « 18 iulie 1959 – frații Arnăuțoiu și alți 14 membri ai grupului Haiducii Muscelului sunt executați la Jilava » [« 18 juillet 1959 - Les frères Arnăuțoiu et 14 autres membres du groupe les Haïdouks de Muscel sont exécutés à Jilava »], Site internet consacré aux partisans anticommunistes de Nucșoara : Biographie, photographies et documents sur le lieutenant., sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « In memoriam Marina Chirca. », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Laurenția Arnăuțoiu. », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Cicerone Ionițoiu, « Reprimarea răscoalelor țărănești. » [« La répression des rebelions paysannes »], sur procesulcomunismului.com (Procesul comunismului, contrarevolutiei și tranzitiei criminale) (consulté le ), Partea a-VII-a, chapitre „Ocolul Vrancei, organizatie de țărani liberi, a fost jefuit”.
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Victor Lupșa », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « O mărturie impresionantă: Ioan Stoe despre părinții săi Victor și Maria Lupșa » [« Un témoignage impressionnant : Ioan Stoe au sujet de ses parents Victor et Maria Lupșa »], sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Cristina Pușcaș, « Organizația „Vlad Țepeș II” » [« L'organisation « Vlad Țepeș II » »], sur memoriarezistentei.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței), (consulté le ).
Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Musée Sighet : Salle 17 - Les Travaux forcés », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
↑ a et bOana Mateescu 2011, article "Losing the Phenomenon : Time and Indeterminacy in the Practice of Anthrohistory". Il y est souligné les incertitudes quant à la réalité de la qualité de résistant de Victor Lupșa, considéré comme un traître ou un sécuriste manipulateur par certains, mais comme un véritable résistants par les autres.
↑Dorin Dobrincu 2010, article "Rezistența armată anticomunistă din Vrancea. Organizația „Vlad Țepeș II” (1949-1950)", p. 103-145.
↑(ro) Père Vasile Rus, « Preoți marturisitori în rezistența anticomunistă de pe Valea Someșului » [« Les prêtres témoins de la Résistance anticommuniste de la Vallée du Someșul »], Les trois prêtres évoqués, dont le père Ioan Valeanu, sont des prêtres gréco-catholiques convertis à l'orthodoxie sous la pression des communistes. Voir les commentaires de l'auteur : le Père Vasile Rus, sur rasunetul.ro (Răsunetul), (consulté le ).
↑Cicerone Ionițoiu 1993, article "The Anticommunist Armed Resistance in Romania 1944-1962", p. 75-101.
↑(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
Dorin Dobrincu 2009, article "Rezistența armată anticomunistă și rezistența greco-catolică în centrul Transilvaniei. Organizația « Partizanii Regelui Mihai - Armata Secretă » (1948-1950)", p. 204-218.
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Capotă-Dejeu » :
Paula Ivan 2009, article "Formele de represiune a rezistenței anticomuniste în memoria colectivă (I)", p. 219-245.
Liviu Pleșa 2012, article "Călăul Mihail Patriciu". Un officier de la Securitate et tortionnaire adepte des éliminations systématiques, qui fera périr les membres du groupe par exécutions extra-judiciaires, avec l'aval des autorités communistes et soviétiques.
Andrei Miroiu 2010, article "Wiping Out ‘The Bandits’: Romanian Counterinsurgency Strategies in the Early Communist Period", p. 684. Le groupe acquit une partie de son armement d'une troupe de légionnaires roumains que les Allemands avaient parachuté dans la zone en 1944-1945. Il fut actif de 1948 à 1957. Pour éliminer ce groupe, les forces de sécurité roumaines utilisèrent des informateurs et interceptèrent la correspondance de membres des familles des rebelles.
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Petre Mărgineanu », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
↑(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Petre Mărgineanu », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Sandu (Alexandru) Maxim » :
Liviu Pleșa et al. 2006, article "Implicarea militarilor în mișcarea de rezistență armată - Cazul maiorului Nicolae Dabija (1948-1949)", p. 105-124.
IICCMER 2013, article "Campaniile de arheologie contemporană ale IICCMER - Dezgropînd crimele comunismului".
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
Liviu Pleșa et al. 2006, article "Implicarea militarilor în mișcarea de rezistență armată - Cazul maiorului Nicolae Dabija (1948-1949)", p. 105-124.
Ion Gavrilă Ogoranu 2007, Titres "Cuvânt înainte Grupurile de rezistență armată din sud-estul Munților Apuseni", "grupul Ștefan Popa (Nuțu)", "Biografii grupul Spaniol" et "Biografiile cadrelor implicate în represiune"..
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Cornel Deac - Nicolae Moldovan » :
Viorel Rus 2008, article "Originile Năsăudene ale Organizației Anticomuniste Haiducii lui Avram Iancu - Divizia Sumanele Negre", p. 205-214.
(ro) Silviu B Moldovan, « MIȘCAREA NAȚIONALĂ DE REZISTENȚĂ. Premiera : un studiu al istoricului Silviu Moldovan, extras din 'Enciclopedia regimului comunist. Represiunea' » [« Le mouvement national de Résistance. Une première : une étude de l'historien Silviu Moldovan, extrait de 'l'encyclopédie du régime communiste. La répression' »], Référence de l'encyclopédie : România 1945-1989. Enciclopedia regimului comunist. Represiunea, volume II (F-O), Coordinateur : Octavian Roske, édité par Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului – Academia Romana, Bucarest, 2012, sur ziaristionline.ro (Ziariști Online), (consulté le ).
(ro) Mihai Mincan et Paul Rogojinaru, « Partizanii din munți : primul front anticomunist » [« Les partisans des montagnes : le premier front anticommuniste »], sur historia.ro (Historia), (consulté le ).
(ro) Alexandru Pătrașcu, « Condamnarea comunismului, studiu de caz: România » [« La condamnation du communisme, une étude de cas: la Roumanie »], page consacrée à Leonida Bodiu sur le site internet Despre demnitate, sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
(ro) Ioana Diaconescu, Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Represiunea împotriva Rezistenței anticomuniste din munți. Un poet erou: Constant Tonegaru » [« La répression contre la Résistance anticommuniste des montagnes. Un poète héros : Constant Tonegaru »], article extrait du livre : "Scriitori în arhivele CNSAS", sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței), Bucarest, Fundația Academia Civică, (ISBN978-973-8214-66-8, consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « capitaine Leonida Bodiu » :
Oana Ionel 2006, article "Anihilarea organizației 'Garda Albă' de către Securitate (1949)", p. 142-158.
Viorel Rus 2005, article "Trei martiri ai rezistenței anticomuniste din județul Bistrița-Năsăud Leonida Bodiu, Dumitru Toader și Ioan Burdeți", p. 79-91.
(ro) Père Vasile Rus, « Preoți marturisitori în rezistența anticomunistă de pe Valea Someșului » [« Les prêtres témoins de la Résistance anticommuniste de la Vallée du Someșul »], Les trois prêtres évoqués, dont le père Ioan Valeanu, sont des prêtres gréco-catholiques convertis à l'orthodoxie sous la pression des communistes. Voir les commentaires de l'auteur : le Père Vasile Rus, sur rasunetul.ro (Răsunetul), (consulté le ).
(ro) Silvia Iliescu, « Mari oameni ai partidelor istorice. Ţărăniştii 1937-1947 (XXII) » [« Les grands hommes des partis politiques historiques. Le Parti National Paysan 1937-1947 (XXII) »], sur rador.ro (Radio România, Agenția de Presă), (consulté le ).
Oana Mateescu 2011, article "Losing the Phenomenon: Time and Indeterminacy in the Practice of Anthrohistory". Il y est souligné les incertitudes quant à la réalité de la qualité de résistant de Victor Lupșa, considéré comme un traître ou un sécuriste manipulateur par certains, mais comme un véritable résistant par les autres.
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Gligor Cantemir » :
Steliana Breazu 1995, article "Grupul de rezistență anticomunistă al lui Cantemir Gligor din munții Zarandului și Codrului, pe valea Crișului Alb", p. 233-235.
(ro) George Enache, « De la Arad, prin Aiud, spre veșnicie » [« D'Arad à Aidu, vers l'éternité »], sur ziarullumina.ro (Ziarul Lumina), (consulté le ).
(ro) Cristina Pușcaș, « Gligor Cantemir », sur memoriarezistentei.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței), (consulté le ).
↑(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Maria Plop », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței), (consulté le ).]
(ro) Adrian Nicolae Petcu, « Părintele Gheorghe Cârstoiu în temnița comunistă » [« Le Père Gheorghe Cârstoiu dans les geôles communistes »], sur ziarullumina.ro (Ziarul Lumina), (consulté le ).
IICCMER 2009, article "Acțiunea de exhumare a partizanului anticomunist Vitan Petru împușcat de securitate la 21 noiembrie 1952.".
Liviu Pleșa 2013, article "Cum ucidea Securitatea. Cazul ofițerului Mihail Kovács".
(ro) Carmen Cosman, « Eroul din muntii Sureanu a fost deshumat » [« le héros des montagnes Sureanu a été exhumé »], sur romanialibera.ro (România Liberă), (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur les groupes « Grupuri de preoți uniați » (Le groupe de prêtres uniates) :
Dorin Dobrincu 2009, article "Rezistența armată anticomunistă și rezistența greco-catolică în centrul Transilvaniei. Organizația « Partizanii Regelui Mihai - Armata Secretă » (1948-1950)", p. 204-218.
Adrian Brișcă 1997, article "Mihali-Ștrifundă Gavrilă (1901-1961)", p. 223-225.
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Gavrilă Mihali Ștrifunda », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Legendarul „voivod” Ștrifundă » [« Le légendaire 'Voivode' Ștrifundă »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Florin Mihai, « Luptătorii din munți » [« Les combattants des montagnes »], sur jurnalul.ro (Jurnalul Național), (consulté le ).
(ro) Carmen Cosman, « Muzeul atrocităților comunismului, la Ieud » [« Le musée des atrocités du communisme de Ieud »], sur romanialibera.ro (România Liberă), (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Eroii rezistenței anticomuniste / Grupul Dragomirești » [« Les héros de la Résistance anticommuniste / Le groupe Dragomirești »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) muzeedelasat.ro, « Casa Memorială Dunca Pâțu, Ieud » [« La maison mémorialeDunca Pâțu, Ieud »], site internet et musée virtuelle de différentes maisons de villages roumains, projet financé par l' Administrația Fondului Cultural Național, sur muzeedelasat.ro (Muzee de la sat), (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Nicolae Pop » :
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Nicolae Pop », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Familia Maria şi Nicolae Pop din Lăpuşul Românesc » [« La famille Maria et Nicolae Pop de Lăpusul Românesc »], sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
Pages consacrées à Nicolae Pop et à Aristina Pop sur le site internet Despre demnitate : (ro) Alexandru Pătrașcu, « Nicolae Pop », sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ) et (ro) Alexandru Pătrașcu, « Aristina », sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
(ro) Ovidiu Hategan, « Razbunarea gropilor comune » [« La revanche des fosses communes »], sur România Liberă - Editia Transilvania-Banat, (consulté le ).
(ro) Mihai Creangă, « Cine a fost copilita codrului? » [« Qui était l'enfant des bois ? »], sur romanialibera.ro (România Liberă), (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur Aristina Pop :
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Aristina Pop Săileanu », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Fișă matricolă penală: Aristina Pop » [« Casier judiciaire d'Aristina Pop »], sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Aristina Pop Săileanu, Să trăiască partizanii până vin americanii » [« Aristina Pop Săileanu, Que vivent les partisans jusqu'à l'arrivée des Américains »], Extraits du livre d'Aristina Pop Săileanu : "Să trăiască partizanii până vin americanii. Povestiri din munți, din închisoare și din libertate", interview de Liana Petrescu, sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
↑(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Atanase Oniga », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Gheorghe Pașca » :
(ro) Ioana Lucacel et Mircea Crișan, « Memoria umilită a unui simbol al rezistenței anticomuniste » [« La mémoire humiliée d'un symbole de la Résistance anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Ioana Lucacel et Mircea Crișan, « O crimă ascunsă șase decenii: deshumarea eroului Pașca » [« Un crime caché pendant cinq décennies : l'exhumation du héros Pașca »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
Mircea Rusnac 2003, article "Mișcarea de rezistență anticomunistă din Banat (1945-1953), p. 303-328.
Dorin Dobrincu 2005, article "Organizația Națională Creștină de Luptă Împotriva Comunismului Partizanii României Mare și planul de răsculare a Banatului (1948-1949)", p. 295-316.
Vladimir Tismăneanu 2009, Dorin Dobrincu: "The discovery of a historiographical subject: anti-communist armed resistance in Romania", p. 327.
Florian Banu 2006, article "Mișcarea de rezistență armată anticomunistă din România - între negare și hiperbolizare", p. 299-314.
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Alexandru Pătrașcu, « Spiru Blănaru », sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
Dorin Dobrincu 2005, article "Rămășitele grupului Ion Uță: Formațiunile din Banat conduse de frații Duicu, Dumitru Mutașcu și Dumitru Ișfănuț (1949-1954)", p. 193-215.
Dorin Dobrincu 2005, article "Rămășitele grupului Ion Uță: Formațiunile din Banat conduse de frații Duicu, Dumitru Mutașcu și Dumitru Ișfănuț (1949-1954)", p. 207 et 211.
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Gheorghe Ungurașu » :
Dorin Dobrincu 2005, article "Formațiuni din rezistanța armată anticomunistă în sudul Moldovei (1945-1958)", p. titre "11. Grupul Constantin Dan", pages 179-181.
Revista Memoria 2009, article "Unde sunt cei care nu mai sunt - "Catalogul" celor uciși în temnițele comuniste", p. 241.
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur la résistance en Bucovine :
Dorin Dobrincu 2004, article "Bucovineni contra sovietici. Rezistența armată antisovietică/anticomunistă din Bucovina (martie-august 1944 - iulie 1946) ", p. 123-182.
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Constantin Cenușă » :
Adrian Brișcă 1994, article "Constantin Cenusa (1911-1964)", p. 324-327.
Dorin Dobrincu 2005, article "Nesupunere în Bucovina. Grupurile de rezistență armată anticomunistă Cenușă–Motrescu (1948-1951), Pătrăucean-Gherman și Cenușă-Pătrăucean 1948-1951", p. 451-481.
(ro) Père Silviu Cluci, « Maria de Putna », sur cidadededeus.wordpress.com (Blog Cidade de Deus), (consulté le ).
(ro) Marioara Cenușă, « Începutu amarului. Epopeea lui Constantin Cenușă » [« Le début de l'amertume. L'épopée de Constantin Cenușă »], sur despredemnitate.files.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
(ro) Cristina Pușcaș, « Mărioară Cenușă », sur memoriarezistentei.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței), (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur « Vasile Motrescu » :
Adrian Brișcă 1994, article "O zi din viața unui partizan. III / Documente privind viata cotidiana a partizanilor anticomunisti din Bucovina, 1944-1958", p. 93-116.
Adrian Brișcă 1995, article "O zi din viața unui partizan. VI / Documente privind viata cotidiana a partizanilor anticomunisti din Bucovina, 1944-1958", p. 83-104.
Dorin Dobrincu 2005, article "Nesupunere în Bucovina. Grupurile de rezistență armată anticomunistă Cenușă–Motrescu (1948-1951), Pătrăucean-Gherman și Cenușă-Pătrăucean 1948-1951", p. 451-481.
Vladimir Tismăneanu 2009, Dorin Dobrincu, The discovery of a historiographical subject: anti-communist armed resistance in Romania, p. 317, 318 et 320.
Adrian Brișcă 1993, article "Rezistenta anticomunista din Bucovina. Lupta de la Bâtca Corbului, 18 ianuarie 1955. Încercare de reconstituire", p. 89-98.
Adrian Brișcă 1994, article "O zi din viața unui partizan. III / Documente privind viata cotidiana a partizanilor anticomunisti din Bucovina, 1944-1958", p. 93-116.
Adrian Brișcă 1995, article "O zi din viața unui partizan. VI / Documente privind viata cotidiana a partizanilor anticomunisti din Bucovina, 1944-1958", p. 83-104.
Georges Diener 2001, article "Extraits d’entretien avec Gavril Vatamaniuc du 11 juin 1995 (réalisé et traduit par Georges Diener)", p. 150-158.
Dorin Dobrincu 2003-2004, article "Sfidarea Securității în Bucovina. Grupul de rezistență armată anticomunistă Gavril Vatamaniuc (1949-1958)", p. 363-412.
Pages consacrées à Gavril Vatamaniuc, publiées sur le site internet Despre demnitate : (ro) Alexandru Pătrașcu, « Gavril Vatamaniuc », sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ) ; (ro) Alexandru Pătrașcu, « Gavril Vatamaniuc (1924 – 2012) », sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ) ; (ro) Alexandru Pătrașcu, « Semnele – O povestire de Paște » [« Les signes - Une histoire de Pâques »], sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ) ; (ro) Alexandru Pătrașcu, « Semnele celorlați – O povestire din iad » [« Les traces des autres - Une histoire en enfer »], sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
Dorin Dobrincu 2004, article "Bucovineni contra sovietici. Rezistența armată antisovietică/anticomunistă din Bucovina (martie-august 1944 - iulie 1946) ", p. 160-173.
(ro) Alexandru Pătrașcu, « Povestea Crăciunului lui Vladimir Macoveiciuc » [« Le conte de Noël de Vladimir Macoveiciuc »], sur despredemnitate.wordpress.com (Despre demnitate / Povestea unor oameni (aproape) necunoscuți), (consulté le ).
3 articles sur les prêtres impliqués dans le groupe de résistance "Gărzile lui Decebal", publiés dans le journal Ziarul Lumina: (ro) Adrian Nicolae Petcu, « Clericii anticomuniști din "Gărzile lui Decebal" (I) » [« Les religieux anticommunistes du groupe 'les Gardes de Decebal (I)' »], sur ziarullumina.ro (Ziarul Lumina), (consulté le ) ; (ro) Adrian Nicolae Petcu, « Clericii anticomuniști din "Gărzile lui Decebal" (II) » [« Les religieux anticommunistes du groupe 'les Gardes de Decebal (II)' »], sur ziarullumina.ro (Ziarul Lumina), (consulté le ) ; (ro) Adrian Nicolae Petcu, « Clericii anticomuniști din "Gărzile lui Decebal" (III) » [« Les religieux anticommunistes du groupe 'les Gardes de Decebal (III)' »], sur ziarullumina.ro (Ziarul Lumina), (consulté le ).
(ro) Ion Antohe, « Călugărul Filaret Gămălău - om blând și cucernic » [« Le moine Filaret Gămălău - un homme doux et pieux »], Extrait de Răstigniri în România după Ialta (Les crucifixions en Roumanie après Ialta), Editura Albatros, București, 1995, p. 340., sur fericiticeiprigoniti.net (Fericiți cei Prigoniți), (consulté le ).
(ro) Petru Baciu, « Părintele Filaret Gămălău - în lanțuri pentru Hristos » [« Le Père Filaret Gămălău - enchaîné pour le Christ »], Extrait de Răstigniri ascunse. Mărturii, Vol. I (Les crucifixions cachées. Témoignages, Volume I), Editura Fundația Culturală Buna-Vestire, 2004, pp. 220-222., sur fericiticeiprigoniti.net (Fericiți cei Prigoniți), (consulté le ).
(ro) Nicolae Băciuț, « Părintele Filaret Gămălău - condamnat la moarte pentru ”vina” de a salva viața unui soldat » [« Le Père Filaret Gămălău - condamné à mort 'coupable' d'avoir sauvé la vie d'un soldat »], Interview réalisé par Nicolae Băciuț et publié avec le titre Nichifor - Poezia detenției, detenția poeziei (Nichifor - Poésie de la détention, détention de la poésie) dans le supplément littéraire du journal Mesagerului de Bistrița d'avril 2006, en page 3, sur fericiticeiprigoniti.net (Fericiți cei Prigoniți), (consulté le ).
(ro) Grigore Caraza, « Filaret Gămălău un preot cu o mare trăire duhovnicească » [« Filaret Gămălău, un prêtre d'une grande expérience spirituelle »], Extrait de Aiud însângerat, ediție îngrijită de Adrian Alui Gheorghe, ediția a V-a, Editura Tipo Moldova, Iași, 2013, page 44, sur fericiticeiprigoniti.net (Fericiți cei Prigoniți), (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le sous-lieutenant Jenică Arnăutu :
(ro) E.b., Vlad Toma, Tudor Despina, I.P. et P.C., « alexandru visinescu », 4 articles sur la condamnation en justice d'Alexandru Vișinescu pour crimes contre l'humanité, sur revisa22.ro (Revista 22), 24/07/2015 - 26/09/2015 - 10/02/2016 - 05/12/2016 (consulté le ).
(ro) Vasile Surcel, « Eroii din Vrancea: Paragină și Timaru » [« Les héros de Vrancea : Paragină et Timaru »], sur jurnalul.ro (Jurnalul Național), (consulté le ).
Dorin Dobrincu 2005, article "Formațiuni din rezistanța armată anticomunistă în sudul Moldovei (1945-1958)", p. titre "15. Organizația „Mâna Albă” ; pages 188-189.
(ro) Livia Dandara, « Victimele genociduui: militari [sinteză Livia Dandara] » [« Les victimes du génocide: les militaires »], sur procesulcomunismului.com (Procesul comunismului, contrarevolutiei şi tranzitiei criminale), 1989–2013 (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe « Organizația Vlad Țepeș II (Vrancea) » :
Dorin Dobrincu 2010, article "Rezistența armată anticomunistă din Vrancea. Organizația „Vlad Țepeș II” (1949-1950)", p. 103-145.
Oana Mateescu 2011, article "Losing the Phenomenon: Time and Indeterminacy in the Practice of Anthrohistory". Il y est souligné les incertitudes quant à la réalité de la qualité de résistant de Victor Lupșa, considéré comme un traître ou un sécuriste manipulateur par certains, mais comme un véritable résistants par les autres.
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Organizaţia „Vlad Ţepeş II” Vrancea » [« L'organisation "Vlad Ţepeş II" Vrancea »], sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Cristina Pușcaș, « Organizația „Vlad Țepeș II” » [« L'organisation « Vlad Țepeș II » »], sur memoriarezistentei.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței), (consulté le ).
(ro) Gazeta de Maramureș, « Rezistența armată anticomunistă » [« La résistance armée anticommuniste »], sur gazetademaramures.ro (Gazeta de Maramureș), (consulté le ).
(ro) Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței, « Ioan Carlaonț », sur memorialsighet.ro (Memorialul Victimelor Comunismului și al Rezistenței) (consulté le ).
(ro) Enciclopedia României Online, « Ion Carlaonț », sur enciclopediaromaniei.ro (Enciclopedia României Online), (consulté le ).
(ro) Cornel Șomâcu, « Despre rezistența anticomunistă în județul Gorj » [« Au sujet de la Résistance anticommuniste dans le Comté de Gorj »], sur verticalonline.ro (Vertical), (consulté le ).
(ro) Cornel Șomâcu, « Despre rezistența anticomunistă în județul Gorj » [« Au sujet de la Résistance anticommuniste dans le Comté de Gorj »], sur verticalonline.ro (Vertical), (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur le groupe Partizanii de la Arnota :
Monica Grigore 2003, article "Grupul Arnota – un episod al rezistenței anticomuniste românești din nordul Olteniei", p. 102-103.
Florian Banu 2006, article "Mișcarea de rezistență armată anticomunistă din România - între negare și hiperbolizare", p. 299-314 (p.15 du pdf).
Puica Buhoci 2010, article "Istorie și frauda (I). Caz Penal: cum au dispărut documente incriminatorii din Arhivele C.N.S.A.S. Un furt “garantat” de Academia Cațavencu. Documente".
Puica Buhoci 2011, article "Istorie și frauda (II). Cum a dispărut o delațiune din Arhiva C.N.S.A.S pentru a se deschide apoi un proces de calomnie".
(ro) Ziarul de Vâlcea, « Masacru la mânăstirea Arnota din Vâlcea! » [« Le massacre au monastère Arnta de Vâlcea »], sur ziaruldevalcea.ro (Ziarul de Vâlcea)), (consulté le ).
(ro) Istoria locală, « Vâlcea în regimul Gheorghe Gheorghiu-Dej (1948-1965) » [« Vâlcea pendant le régime de Gheorghe Gheorghiu-Dej »], Une union des bibliothèques publiques des comtés de Bihor, Braila, Cluj, Valcea, et Suceava, un projet soutenu par l'université de l'Illinois (USA), sur istorielocala.ro (Istoria locală), (consulté le ).
↑Ouvrages, articles et documents publiés sur la résistance de Dobroudja :
(ro) Ion Vatra, « Rezistenta antisovietică și anticomunistă în Basarabia postbelică » [« La résistance antisoviétique et anticommuniste dans la Bessarabie d'après-guerre »], sur moldova.org (Moldova.org est administrée par Asociația Obștească Sud-Est Media), (consulté le ).
(ro) Mihai Tașcă, « Rezistență anticomunistă în Basarabia: Cazul Clerului și enoriașilor de la Biserica din Chițcanii vechi. » [« Résistance anticommuniste en Bessarabie : le cas du clergé et des paroissiens de l'église de Chițcanii vechi. »], Deputatul în Sfatul Ţării Andrei Găină – unificator de ţarăMaterialele Conferinţei Ştiinţifice “Oameni de seamă de pe valea Răutului. Andrei Găină – unificător de ţară, Chișinău, , p. 152-160 (ISBN978-9975-4476-7-6, présentation en ligne, lire en ligne, consulté le ).
↑Une condamnation du communisme basée sur un travail exhaustif réalisé par des historiens et chercheurs reconnus. Même imparfait, et contesté sur certains points, le rapport de la commission a le mérite de dresser la véritable image du communisme, de ses crimes, sur le peuple roumain, sa culture, son patrimoine historique, architectural et culturel, et les conséquences désastreuses pour son économie : Comisia Prezidențială pentru Analiza Dictaturii Comuniste din România 2006, chapitre "Rezistența armată anticomunistă", p. 319-332.
↑(ro) C.N.S.A.S - Informations récupérées grâce aux dossiers concernant son épouse Olimpia Puiu, sur lesquels figure une liste de références de dossiers liés à Gogu Puiu: Dossier no 12512, Vol 2 ; Dossier no 170 Vol 1 ; Dossier no 1532 / Constanța / Vol 1 ; Dossier no 1406 / Vols 1,2,3,4,5 ; Dossier no 12636 Vols 1,2. Une déclaration dactylographiée, enregistrée par la Securitate et datée du 24/06/1947, a été découverte dans ces dossiers. Elle donne de nombreuses informations sur son parcours - La déclaration est disponible in extenso sur le site gogupuiu.ro : Déclaration faite par Gogu Puiu, dans le cadre de l'enquête déclenchée par son retour en Roumanie en avril 1947.
↑C.N.S.A.S - Dossier no 22.229 ; Dossier no 54217, Vol I Fond Op Puiu Gheorghe ; Dossier no 74561, Puiu Gheorghe - zis Gogu.
↑Plus de 30 ans si l'on considère que son chef Ion Gavrilă Ogoranu(ro) (étudiant en faculté d'agronomie en 1948) a échappé aux filets de la Securitate jusqu'en 1976.
↑Les sept volumes : Brazii se frâng, dar nu se îndoiesc (Les sapins se brisent mais ne ploient pas au vent), Ion Gavrilă Ogoranu, publiés entre 1993 et 2007.
↑Le premier fera de longues années de prison, le dernier : Ion Gavrilă sera pris en 1976, mais libéré parce que sa peine était prescrite (les résistants bénéficiant alors d'une amnistie). Gavrila était étroitement surveillé et contrôlé. L'hypothèse avancée que le président américain Nixon aurait sauvé Gavrila Ogoranu de l'exécution n'est étayée par aucune trace ou preuve dans les Archives nationales, ou bien du CNSAS. Il n'est pas confimée que, lors de la visite du président Nixon en 1969, un membre du personnel roumain ou américain ait eu la moindre discussion sur ce sujet.
↑Aussi appelé "Partizanii Majestății Sale Regele Mihai I" ou encore "Armata Albă" ou enfin "Garda Albă".
↑La Securitate a voulu faire passer Spiru Blănaru, légionnaire et étiqueté comme "fasciste", pour le chef de ce réseau, d'où le nom que l'on retrouve souvent : groupe Spiru Blănaru. Cependant, les documents retrouvés dans les archives ne laissent aucun doute sur le fait que le véritable chef était le notaire Gheorghe Ionescu, capitaine de réserve ayant l'expérience de la guerre. Blănaru n'avait pas fait la guerre et finissait juste ses études de droit. Soldat de première classe ("Fruntaș T.R"), il était trop jeune pour coordonner tout un groupe - Source : Adrian Brișcă, Rezistența armată din Banat (1945-1949) vol. I, Institutul Național pentru Studiul Totalitarismului, București, 2004, page 61 - (ISBN973-86654-2-6) - Référence du livre sur le site Memoria.ro.
↑Diverses orthographes se retrouvent dans les documents existants : Hazmei, Harsmei, Harșmei, Hașmei, Hojmei ou encore Hojnei.
↑Centrul de Investigare a Crimelor Comunismului - page facebook de l'association. L'CICCR agit pour identifier des actes de violation des droits de l'homme en Roumanie communiste, encourage des politiques institutionnelles dans l'objectif d'une véritable condamnation des violations et des crimes commis au nom du régime communiste en Roumanie, et soutient toutes les initiatives législatives, les procédures judiciaires et les recherches scientifiques qui aboutiront à une condamnation pénale et morale de ces crimes et abus.