Après une exposition, à 14 ans, dans sa ville natale, il fonde, à 17 ans, une maison de couture spécialisée dans les robes de bal et vêtements princiers[2], travaille pour une boutique new-yorkaise. La directrice de Vogue New York lui conseille la chambre syndicale de la couture parisienne pour ajouter « une touche européenne ».
Malgré la maladie de Parkinson, depuis les années 1990[2], il décore le restaurant Toupary au dernier étage de la Samaritaine, les musées Hermès, à Ginza - Tokyo, conçu par Renzo Piano, et à Séoul, conçu par Rena Dumas, inauguré en . Depuis 2004, il travaille avec les galeries Daniel Besseiche, MAAD, Cristal Saint Louis, soutenu par son assistant Roland Soetaert. En 2005, Maison et Objets - Scènes d'Intérieur présente un panel de ses créations design et « déco » sélectionnées par l'artiste lui-même. En 2007, Hermès présente la nouvelle scénographie/exposition de Hilton McConnico. Le lustre Extravagance, créé pour les cristalleries de Saint Louis, est mis à l'honneur dans un livre de collection de Bernard Chauveau Éditeur. En 2008, il crée pour la société Airdiem un narguilé au chéchia.
En 2009, il produit avec Formia International des œuvres en verre de Murano et illustre le Tarot des filles, en collaboration avec Alice Bensimon. Il fait aussi des Éditions d'Art de la Maison Lampe Berger.
David Souffan, Hilton McConnico, trad. de l'anglais par David Wharry, Paris, Éd. du Regard, 1998, 171 p., ill. (texte anglais et traduction française à la suite). (ISBN2-84105-013-0)