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Pleuville

Pleuville
Pleuville
L'église de Pleuville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Eliane Ginette Pautrot
2020-2026
Code postal 16490
Code commune 16264
Démographie
Gentilé Pleuvillois
Population
municipale
318 hab. (2021 en évolution de −10,42 % par rapport à 2015)
Densité 9,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 28″ nord, 0° 29′ 48″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 187 m
Superficie 33,63 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Pleuville
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Pleuville

Pleuville est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Pleuvillois et les Pleuvilloises[1].

Géographie

Localisation et accès

Pleuville est une commune du nord-est de la Charente, limitrophe du département de la Vienne, située à 16 km au nord-ouest de Confolens et 56 km au nord-est d'Angoulême.

Le bourg de Pleuville est aussi à 9 km au sud-est de Charroux, 13 km au nord-est de Champagne-Mouton, 13 km à l'ouest d'Availles-Limouzine, 24 km à l'est de Ruffec, 56 km au sud de Poitiers[2].

La route principale traversant la commune et desservant le bourg est la D 30, route de Confolens à Charroux. La D 148 (D 948 en Charente) de Confolens à Niort traverse le nord de la commune et passe à 4 km du bourg[3].

Hameaux et lieux-dits

L'habitat est assez dispersé et la commune compte des hameaux : la Courcelle au nord-ouest du bourg, le Chaffaud à l'ouest, Vaine au sud, Nouaille, la Péranche à l'ouest de la commune, ainsi que de nombreuses fermes[3].

Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique, non loin du seuil du Poitou. Le Lias et le Dogger apparaissent sur les flancs de la vallée du Transon. Le plateau est toutefois recouvert sur une grande partie par des altérites sous forme d'argile sableuse, dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central et remaniées au Quaternaire[4],[5],[6].

La commune occupe un plateau d'une altitude moyenne de 170 m, et le relief est plus vallonné au sud de la commune traversé par la vallée du Transon. Le point culminant est à une altitude de 187 m, situé au sud-est à Maltard. Le point le plus bas est à 130 m, situé le long du Transon sur la limite départementale à l'ouest. Le bourg est à 160 m d'altitude[3].

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7] et pour partie dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[8]. Elle est drainée par le Maury, le Payroux, le Transon, le ruisseau de la Grande Homarie, le ruisseau de Saunier et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le Transon, affluent de la Charente sur sa rive droite à Chatain (Vienne), arrose le sud de la commune.

Le Transon reçoit sur sa rive droite de nombreux petits affluents communaux, parfois à sec l'été, dont le ruisseau de Saunier et le ruisseau de la Grande Homarie, au sud, et un autre passant au pied du bourg. Sur la rive gauche, le ruisseau des Vergnades limite la commune au sud.

La ligne de partage des eaux entre Charente et Loire traverse le nord-est de la commune, et le ruisseau de la Grollière qui fait la limite départementale au nord et le ruisseau de Torigné à l'est se dirigent vers le Clain, affluent de la Vienne qui naît à Hiesse.

En raison du sol argileux, de nombreuses retenues d'eau et étangs jalonnent la commune, comme les étangs de Chez le Besson, de la Roucherie, de la Courcelle, etc. ainsi que de nombreuses sources et fontaines, comme la Font de la Gorge au sud-ouest.

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Clain ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].Le SAGE « Clain», dont le territoire correspond au bassin du Clain, d'une superficie de 2 882 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[12]. Il est quant à lui une déclinaison du SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, mais assez dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine et du seuil du Poitou. Les précipitations sont plus nombreuses et les températures plus fraîches.

Urbanisme

Typologie

Au , Pleuville est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,7 %), terres arables (33 %), forêts (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Pleuville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Pleuville est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Charroux. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[21]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 1],[21],[22],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pleuville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 271 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 271 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie

Une forme ancienne est Plevilla (non datée)[26].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville (ou occitan -villa) au sens ancien de « domaine rural », dont le premier élément Pleu- représente un nom de personne germanique selon le cas général. Peut-être s'agit-il de Pleon[27], d'où une forme initiale latinisée *Pleone villa (non attestée) signifiant « domaine (rural) de Pleon ».

Limite dialectale

La commune autrefois en domaine marchois (langue d'oc, mi-poitevin, mi-limousin)[28],[29] a progressivement glissé au XXe siècle, au moins en partie, en domaine poitevin (langue d'oil), le domaine marchois étant au sud-est[29].

Histoire

Antiquité

En 1997, les vestiges d'une ancienne villa gallo-romaine ont été trouvés par archéologie aérienne aux Petits Champs[30].

En limite avec la commune de Chatain, près de Tralbot, un retranchement rectangulaire a été décrit, appelé localement le camp romain. Il peut être lié à une voie antique de Chassenon à Charroux[31],[32].

Moyen Âge et Ancien Régime

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1623.

Première moitié du XXe siècle

Au début du XXe siècle, des gisements de pierre à chaux étaient exploités, à la Courcelle et à la Péranche. La chaux était destinée dans le canton à l'amendement des terres. En plus de l'élevage du bétail, celui des oies et dindons était assez important. Les foires avaient lieu le 21 de chaque mois, et on y trouvait principalement des moutons gras, mais aussi des porcs gras et des veaux de lait[33].

Seconde Guerre mondiale

La ligne de démarcation passait par la commune[34].

Peu après le débarquement de Normandie, l'équipe « IAN » de la commission inter-alliée Jedburgh est parachutée dans la nuit du 15 au près de Lussac-les-Châteaux (Vienne). Elle est composée du capitaine français Delorme, du commandant américain Jo Gildee et du sergent radio canadien Louis Bourgoin.

Le capitaine Delorme, sous les ordres du lieutenant colonel Michel, donne l’ordre à l’escorte de regagner Cherves-Châtelars (Charente) avec l’intention de rejoindre Joussé où le maquis Renard a été inquiété par les Allemands.

À Pleuville viennent d’arriver 200 soldats SS près de l’église : ce sont les fantassins de la Trupp motorisée 608. À cet instant, une moto transportant deux maquisards du groupe D1, venant de Pressac, arrive au bourg de Pleuville pour se diriger vers Charroux. Le hasard veut que la moto précède d’environ 100 mètres la voiture du capitaine Delorme.

Le , près du monument aux morts, des Allemands tirent sur la moto qui continue sa route malgré un blessé. Puis les Allemands attaquent la voiture. Le capitaine veut faire marche arrière mais ne peut pas. Mandinaud, le chauffeur, est grièvement blessé et ne peut descendre de la voiture. Il est tué d’une balle en pleine tête. Delorme, Gildee et le lieutenant André Very peuvent se cacher derrière un coin de mur. Bourgoin, quant à lui, se dirigeant vers les champs, « est tiré comme un lapin » et succombe. Déjà les maisons brûlent à Pleuville, 17 sont entièrement détruites.

Après avoir pris position dans le clocher et tiré sur tout ce qui bouge, ils se dirigent vers les Écures : une partie par le chemin de Fellet et l’autre, par la route en direction de Pressac. Les maquisards de RAF prévenus par Lucien Chaussonnaud de Pleuville peuvent prendre leurs armes et se disperser : cette initiative a certainement sauvé des vies.

Vers 16 heures, les premiers éléments allemands arrivent à l’entrée de Pressac, conduits par un milicien français. Cette commune ne doit pas être prévue dans l’ordre de mission car ils font demi-tour et reviennent aux Écures où ils mettent le feu aux gerbiers et se regroupent pour continuer à incendier les bâtiments.

Un détachement du maquis Maurice arrive en renfort avec des éléments des maquis Adolphe et Joël. Une partie prend position sur le champ de foire et l’autre partie s’arrête à Thorigné (un lieu-dit entre Pleuville et Pressac, dans la Vienne) pour organiser l’encerclement.

Au moment du déploiement, les Allemands incendient les bâtiments : les premiers coups de feu éclatent et l’accrochage est très violent. Après l’incendie des maisons du bourg (ce sont les fermes des Écures et les gerbiers qui ont été détruits), l’intensité du combat ne diminue qu’avec la tombée de la nuit. Les hommes se replient et doivent revenir à Thorigné où doit s’effectuer le regroupement.

Les pertes allemandes, selon Max Surville, sont : 10 tués, 25 blessés et 3 camions détruits et du côté de la Résistance : 4 tués (le sergent radio canadien Louis Bourgoin et les maquisards Mandinaud du maquis Bayard, Jerassier et Quiring du maquis RAF) et 2 blessés.

Administration

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1956 mars 1971 Maurice Pelladeau    
mars 1971 mars 1983 Roger Pautrot    
mars 1983 mars 1989 François Trillaud    
mars 1989 1994 Anne-Marie Vincent    
1994 juin 2000 Jacques Bellayer SE Agriculteur
juin 2000 2020 Daniel Legendre SE Agriculteur
2020 En cours Éliane Pautrot   Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 318 habitants[Note 2], en évolution de −10,42 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
8197547738018429471 0201 0031 045
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0141 0219681 0451 0741 1261 0401 000970
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
963971874889831726718693672
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
606534511454364356338387360
2019 2021 - - - - - - -
323318-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 49,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 172 hommes pour 161 femmes, soit un taux de 51,65 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,9 
15,6 
75-89 ans
15,4 
31,1 
60-74 ans
35,9 
22,8 
45-59 ans
23,1 
7,2 
30-44 ans
9,0 
10,2 
15-29 ans
5,8 
13,2 
0-14 ans
9,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

Équipements, services et vie locale

Enseignement

L'école est un RPI entre Pleuville et Pressac. Pleuville accueille l'école élémentaire, avec une classe unique. Le secteur du collège est Confolens[41].

Lieux et monuments

Le château, au bourg.
  • Le château de Pleuville, situé au bourg, du XVIIe siècle très remanié au XIXe siècle.
  • Le château de Gorce date de la fin du Moyen Âge. Les bâtiments forment un U composé du châtelet d'entrée qui communique avec le logis par un pont volant et d'un bâtiment de commun attenant et, de part et d'autre d'une cour ouverte, des communs dont l'aile sud est cantonnée, aux extrémités, d'une tour de section carrée. Une partie des communs est du XVIIe siècle avec la date de 1654 sur une poutre. Il a été inscrit monument historique le [42].
  • Le château de la Grollière[43].
  • Menhir Le Bénitier des Sorciers : autrefois réputé pour être un lieu de sabbat des sorciers de la région[44],[45].

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Pleuville » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Pleuville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « SAGE Clain », sur gesteau.fr (consulté le ).
  13. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Pleuville », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pleuville », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 190
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 537.
  28. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  29. a et b Éric Nowak, Histoire et géographie des parlers poitevins et saintongeais, Éditions des Régionalismes, 2010.
  30. « Vestiges d'une villa gallo-romaine », notice no 971609328ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  31. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 125
  32. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 160
  33. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 272-273
  34. « La Ligne passait par Combiers », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pleuville (16264) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  42. « château de Gorce », notice no PA16000025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 552
  44. Brouillet, François-André-Ernest, Indicateur archéologique de l'arrondissement de Civrai : depuis l'époque anté-historique jusqu'à nos jours, pour servir à la statistique monumentale du département de la Vienne, Civrai, P.-A. Ferriol, (lire en ligne), p. 42
  45. « Pleuville : Menhir "Le Bénitier des Sorciers" », sur GRAHT (consulté le ) (46° 06′ 01″ N, 0° 26′ 46″ E)

Voir aussi

Bibliographie

  • Dujardin V., Moinot É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, no 243, Geste éditions, 2007.

Articles connexes

Liens externes

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