Cette voie, nommée « rue de Moscou » à l'origine, avait été rebaptisée « rue de Cucq » par Armand Durand, faisant fonction de maire, après que les Allemands lui avaient demandé la modification du nom, lors de l'Occupation en .
Elle comprend plusieurs villas remarquables (inventaire des monuments historiques, inventaire général du patrimoine culturel) ou intéressantes par leur intérêt architectural ou historique.
Localisation
La rue de Moscou est la première rue parallèle à l'ouest du boulevard Daloz, à l'Est de l'ensemble de voies défini par le géomètre Raymond Lens.
Côté impair
Intersection avec l'avenue Louis-Hubert
Salle Gérard Bascoulergue au 1, rue de Moscou.
Plaque à l'entrée de la salle Gérard Bascoulergue.
parking public
1 (lot 399) - salle des sports Gérard Bascoulergue du nom de l'adjoint au maire de 1995 à 2000[1]. Au no 1, un parking souterrain de 195 places est en copropriété[2].
(lot 314) constructions de plusieurs petits immeubles en 2018-2019, intégrant l'ancienne villa, dont l'entrée est située 53, rue Joseph-Duboc.
allée pour accès aux n°15 (lot 55) et 15bis (lot 56)
17 (lot 365) (entrée 63, rue d'Étaples) résidence La Colomberaie[3].
Intersection avec la rue d'Étaples
19 (lot 152) - (entrée après 72 rue d'Étaples) résidence Véronèse construite en 1999. Cet immeuble en copropriété comprend 11 appartements[5].
21 (lot 413) - en rénovation en 2024 (ex hôtel Itsara Suites & Spa)
21 bis (lot 411) - Allée menant à un petit immeuble en copropriété de cinq appartements[6].
23 (lot 149) - villa
25 (lot 146) et 27 (lot 147) - (entrée au 61, rue Léon-Garet) deux villas jumelles réunies, rénovées en 2022 avec le concours de la Fondation du patrimoine.
31-33 (lot 169) - École publique[8] Antoine de Saint-Exupéry[3]. Le bâtiment de 1908 est dû à l'architecte Fernand Buisset et à l'entrepreneur Roger. L'école est inaugurée le . En 1930, elle est agrandie par une surélévation d'un étage côté rue de Moscou et la création d'une extension sur la rue de Bruxelles[9].
Intersection avec la rue de Bruxelles
35, rue de Moscou.
Plaque Berger au 35, rue de Moscou.
37, rue de Moscou.
41 et 43, rue de Moscou.
Plaques Goffaux et R Choppin aux 41 et 43, rue de Moscou.
Plaque Raoul Choppin, architecte de Berck aux 41 et 43, rue de Moscou.
35 (lot 196) - villa Sonia[3] (entrepreneur Berger).
37 (lot 194) - ancien Garage de la Forêt, immeuble de trois niveaux.
39-41-43 - construction coupée en trois villas (plaque « R. Choppin / Architecte / Berck-Plage » et plaque « Goffaux / entrepreneur / Paris-Plage ») :
39 (lot 197) - villa Ma Barquette[3], construite en 1911.
45-47 (lot 201) - Immeuble - Commerces au rez-de-chaussée : La Boutique de Mélanie, Florence Koojman
Intersection avec la rue Saint-Jean
51, rue de Moscou.
Plaque Saxer au 51, rue de Moscou.
Viilla Pomme d'Api au 65bis, rue de Moscou.
Gravure Quételart au 65bis, rue de Moscou.
49 (lot 85) - Commerce au rez-de-chaussée : Vanessabruno
51 (lot 84) - villa (plaque « L. Saxer / architecte / Le Touquet »), Alba Fleurs gravé dans la pierre en haut de la façade du commerce au rez-de-chaussée : Sylvie Thiriez (jusque 2023).
53 (lot 83)- Commerce au rez-de-chaussée : agence immobilière L'Adresse
59 (lot 82) - Commerces au rez-de-chaussée : Ets Mélières, La Maison du Tapissier, agence immobilière Les Quatre Saisons[10].
65bis (lot 70) - villa Pomme d'Api[3], construite en 1923 sur les plans de l’architecte Louis Quételart pour lui-même : ce fut sa première habitation et agence. Il quittera cette villa en 1925 pour la villa Les Mutins. Cette villa (façades et toiture) est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis le [11] ;
Intersection avec la rue Saint-Louis
73, rue de Moscou.
67 (lot 123) - (entrée au 68, rue Saint-Louis) villa Rigoletto[3]. Devant la maison, on lit le nom Rigoletto mais en haut du pignon côté rue Saint-Louis, sur un fronton destiné à cet effet, le nom de la villa est gravé depuis l'origine en grosses lettres : Rigolletto (avec deux « l »).
69 (lot 124) - garages
71 (lot 133) - villa construite en 1914.
73 (lot 134) - Hôtel Jules, anciennement Hôtel de la Forêt.
Intersection avec la rue Raymond-Lens
77 rue de Moscou.
Extension des locaux de la GLDF au 77, rue de Moscou.
Plaque du cercle Morinie au 77, rue de Moscou.
89, rue de Moscou.
75 (lot 219) - (entrée au 56, rue Raymond-Lens) petit immeuble de deux niveaux, années 1960.
77 (lot 220) - villa Nos Loisirs[3], siège de l'association CDU de la Côte d'Opale, locaux de la loge Morinie de la Grande Loge de France (GLDF)[12],[13] depuis 1938[14]. Cet villa a été transformée en 5 appartements en copropriété[15].
89 (lot 232) - (entrée 47, rue Saint-Amand) immeuble Azur Eden[3], construit en 1926[16].
Intersection avec la rue Saint-Amand
91 (lot 261) - villa
95 (lot 402) - résidence
97 (lot 257) - immeuble ancien La Paix en copropriété de 10 appartements[17].
Intersection avec la rue de la Paix
99-109 (lots 332-331-356-357) - Résidence Queen Victoria[3], construite en 2009 sur les plans de Frédéric Quételard[18] - Commerce au rez-de-chaussée : Generali. Cet immeuble est constitué de cinq bâtiments :
A - entrée 64, rue de la Paix,
B et C - entrée 62, rue de la Paix,
D - entrée 99, rue de Moscou,
E - entrée 101, rue de Moscou.
111 (lot 394) - (entrée au 43, rue Jean-Monnet) villa.
Intersection avec la rue Jean-Monnet
(à partir de cette intersection, la rue est renommée rue Andreï-Sakharov)
113 (lot 129) - (entrée 46, rue Jean-Monnet) villa Chelsea[3].
115 (lot 131) - résidence Le Troubadour[3] construite en 1931. Cet immeuble en copropriété comprend 6 appartements[19].
117 (lot 132) -
117bis (lot 336) - Construction de 1928, accessible derrière le n°117.
117ter (lot 335) - accessible derrière le n°117.
119 (lot 134)- touquettoise ancienne.
121 (lots 136 et 137) - résidence La Maison bleue[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 12 appartements[20].
123 (lot 138) - résidence L'Écureuil. Cet immeuble en copropriété comprend 4 appartements[21].
2 (lots 18 et 410) - Immeubles construits en 2018-2019. Commerce au rez-de-chaussée : Casino.
Intersection avec la rue Joseph Duboc
16 (lot 65) - (entrée au 56, rue Joseph-Duboc) résidence Les Alcyons[3] (plaque « Charbonnier / Entrepreneur / Berck-Plage » ). Cet immeuble en copropriété comprend 4 appartements[24].
18 (lot 66) - villa.
20 (lot 67) - villa.
22 (lot 68) - villa.
24 (lot 345) - (entrée au 55, rue d'Étaples) résidence Le Wembley[3].
Intersection avec la rue d'Étaples
26 (lot 134) - (entrée au 68, rue d'Étaples) villa Les Sapins[3] (plaque « E. Berger / entrepreneur / Paris-Plage » et plaque « A. Bienaimé » / Architecte / Amiens). À la fin des années 1950, Edmond Flahaut y tenait un magasin de fruits et primeurs. La liquidation judiciaire a été prononcée le [25].
28 (lot 135) et 30 (lot 136) - même construction - au n°30 : villa Fortunio[3].
66 (lot 203) - villa Ma réderie[3], façade peinte en orange en 2023.
66 bis (lot 204) - angle (entrée au 73, rue Saint-Jean) - Commerce au rez-de-chaussée : Saint-James. Ce petit immeuble a été construit en 1926. En copropriété, il comprend trois appartements[30].
Intersection avec la rue Saint-Jean
68 (lot 51) - villa construite en 1901[I 1] (plaque « Goffaux / entrepreneur / Paris-Plage » et plaque « A. Bienaimé / Architecte / Amiens »)[31]. Commerce au rez-de-chaussée : Vicomte A.
88 (lot 142) - villa Les Paillettes (le nom avait été couvert de peinture sur le côté, rue Saint-Louis, mais elle redevient visible en 2024) transformée en 7 appartements en copropriété[33].
88 bis (lot 141) - Construction de 1930, accessible par un passage à gauche du n°88.
90 (lot 140) et 92 (lot 139) - même construction - plaque « E. Berger / entrepreneur / Paris-Plage ».
108 (lot 207) - villa à l'abandon (confirmation en 2024).
110 (lot 206) - anciennement Bar Le Galaxy[35]. Construction d'un immeuble de six logements, permis de construire du .
112 (lot 205) - construction sur un niveau.
(lot 344) (entrée 45, rue Saint-Amand) construction des années 1960 sur deux niveaux.
Intersection avec la rue Saint-Amand
114 (lot 262) - (entrée 50, rue Saint-Amand) villa Plaisance[3] construite en 1990[I 9]. Cette villa a été transformée en trois appartements en copropriété[36].
116 (lot 264) - plaque « Félix Verdier / entrepreneur / Paris-Plage ». Après transformation en 1970, cette villa est en copropriété de 5 appartements[37].
118 (lot 265) - vieille maison en brique.
120 (lot 266) - (entrée 51, rue de la Paix) résidence Les Optimistes[38] construite en 2019.
Intersection avec la rue de la Paix
122 (lot 318) - Immeuble Debucourt[3] sur cinq niveaux. Cet immeuble en copropriété comprend 9 appartements[39].
124 (lot 319) - Touquettoise Huet[3] surélevée sur quatre niveaux.
126 (lot 320) - villa Chardin[3] sur trois niveaux, construite en 1908[I 10].
128 (lot 321) - villa Fragonard[3] sur trois niveaux.
130-132 (lots 323 et 324) parking public[40], remplacé par un immeuble[41],[42],[43] construit par Vinci Immobilier, permis de construire du pour 21 logements collectifs, modifié en 2022 et 2023. La livraison est prévue au 2e trimestre 2026[44]et nommé résidence Alcôve.
136 (lot 328) - (entrée au 41, rue Jean-Monnet) Hôtel Be Cottage.
Rue Jean-Monnet (à partir de cette intersection, la rue est renommée rue AndreÏ-Sakharov)
(lot 128) parking public
140 (lot 127) - résidence Saint-Michel[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 22 appartements[45].
142 (lot 126) - résidence Baïkal[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 29 appartements[46].
164 (lot 288) - Centre des finances publiques, désaffecté en juillet 2022. Un immeuble de six logements va être construit, permis de construire du .
square Jules Pentier (lot 287)
(lot 204) (entrée au 53, rue Dorothée) résidence Central Parc[3].
Intersection avec la rue Dorothée
174 (lot 260) - (entrée au 46, rue Dorothée) la villa Les Trois valses a été démolie en 2023. Permis de construire d'une villa sur les plans de l'architecte Demarquette.
176 (lot 103) - villa
176 bis (lot 235) et 178 (lot 234) : même construction, villa, deux numéros
178 bis (lot 84) - villa Alléluia dont le nom n'est plus visible depuis que la façade a été repeinte.