La commune est drainée par le Viaur, le Lieux, le ruisseau d'Espériols, le ruisseau de Vernhas, le Néguebiau, le ruisseau de la Batherie, le ruisseau de la Branche, le ruisseau de Mader, le ruisseau de Ribassès, le ruisseau des Clauzels et par divers petits cours d'eau[2].
Le Lieux, d'une longueur totale de 25,3 km, prend sa source dans la commune de Quins et se jette dans le Viaur à Crespin, après avoir arrosé 7 communes[4].
La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[6],[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[8],[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 942 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Colombiès à 21 km à vol d'oiseau[12], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 989,2 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
Sites Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17] :
Les « Vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'étendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[18] ;
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Tauriac-de-Naucelle comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1],[19],
la « Rivière du Viaur » (697,7 ha), couvrant 18 communes dont 14 dans l'Aveyron et 4 dans le Tarn[20] ;
et la « Vallée du Viaur de Tanus à la confluence du Lieux » (1 035 ha), couvrant 4 communes dont 2 dans l'Aveyron et 2 dans le Tarn[21]
et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[19],
la « Vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[22].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Tauriac-de-Naucelle est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[23].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[24],[25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (45 %), zones agricoles hétérogènes (34,2 %), forêts (20,8 %)[26].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes Pays Ségali, dont la commune est membre[27].
La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme approuvé[28]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[29].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[30]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[33]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[34]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[35],[36].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].
Dans le département de l'Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[38].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Tauriac-de-Naucelle est classée à risque moyen à élevé[39]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[40] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[41].
Toponymie
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Histoire
La commune de Tauriac-de-Naucelle est créée par ordonnance du en regroupant les communes de Tauriac, Saint-Martial, Cabrespines (rattachées à la mairie de Crespin depuis la Révolution) et le village de Bertrazès (soustrait à la commune de Saint-Just-sur-Viaur). La commune prend naissance l'année suivante, le .
Un changement de nom de la commune est envisagé entre 1944 et 1945[42]. Le chef-lieu de la commune est transféré du village de Tauriac-de-Naucelle au village de Saint-Martial le , sans que le nom de la commune ne soit modifié[43].
Avec la commune voisine de Tanus, dans le Tarn, Tauriac-de-Naucelle partage deux grands ponts sur le Viaur. Le viaduc ferroviaire construit sur la ligne de Castelnaudary à Rodez entre 1895 et 1902 d'une longueur 460 m et de 116 m de haut En 1998 est ouvert le viaduc routier de 573 mètres de longueur supportant la RN 88
Le conseil municipal de Tauriac-de-Naucelle, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[46] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[47]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[48] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 61,63 %[49].
Jean-Luc Tarroux est élu nouveau maire de la commune le [50].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[51]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Pays Ségali[52].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].
En 2022, la commune comptait 386 habitants[Note 3], en évolution de +4,61 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 212 personnes, parmi lesquelles on compte 72,7 % d'actifs (63,5 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs) et 27,3 % d'inactifs[Note 5],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 72 emplois en 2018, contre 75 en 2013 et 80 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 138, soit un indicateur de concentration d'emploi de 52,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,1 %[I 8].
Sur ces 138 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 56 travaillent dans la commune, soit 41 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 73 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
39 établissements[Note 6] sont implantés à Tauriac-de-Naucelle au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 11].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
39
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
18
46,2 %
(17,7 %)
Construction
4
10,3 %
(13 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
6
15,4 %
(27,5 %)
Activités immobilières
2
5,1 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
5
12,8 %
(12,4 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
1
2,6 %
(12,7 %)
Autres activités de services
3
7,7 %
(7,8 %)
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 46,2 % du nombre total d'établissements de la commune (18 sur les 39 entreprises implantées à Tauriac-de-Naucelle), contre 17,7 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[59]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 64 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 47 en 2000 puis à 41 en 2010[61] et enfin à 35 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[62],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 560 ha en 1988 à 1 696 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à 48 ha[61].
Culture locale et patrimoine
Édifices religieux
Église de Saint-Martial[63], anciennement paroisse de Saint Martial de Contenson annexe de Tauriac.
L'église de Saint-Martial de Contenson est dédiée à Martial de Limoges vivant au IIIe siècle. Le village des Canabières (en Lévezou) était le siège de la plus ancienne commanderie de l'ordre hospitalier de St-Jean de Jérusalem (avant 1120) et elle avait comme dépendances : Saint-Jean-de-Bouloc, Canet, Bellegarde, le domaine de Bolhac, le fief d'Aboul, la paroisse de Tauriac et son annexe Saint-Martial de Contenson, et enfin la Clau, ancienne Maison du Temple réunie à celle des Canabières au XVᵉ siècle.
Paul-Joseph Bodin, ingénieur français, inventeur des arcs équilibrés. On lui doit entre autres la construction du viaduc du Viaur en 1902.
Héraldique
Blason
D’or à un chef-pal d’azur chargé en chef d’un viaduc d’une seule arche d’argent, se mouvant des flancs de l’écu et une croix de Malte de même mise sous l’arche, le pal accosté à dextre d’un calice et au senestre d’une aigle, le tout de sable.
Détails
Le chef-pal par sa forme en T sert d’initiale au nom de la commune. D’azur, il représente le Viaur qui traverse le territoire.
Le viaduc représente celui de Bodin, daté de 1902. Il a permis le franchissement du Viaur en cet endroit fort accidenté.
La croix de Malte indique que Tauriac était le siège d’une commanderie de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Le territoire de Tauriac est composé de trois villages importants : Tauriac, La-Baraque-Saint-Jean et Saint-Martial. Ce sont ces deux autres villages qui sont représentés de part et d’autre du pal.
Le calice est le symbole iconographique de saint Martial car il pouvait ressusciter les morts. Il est de sable sur fond or pour rappeler les couleurs employées dans le blason de Naucelle.
L’aigle est le symbole iconographique de saint Jean. Il vient donc représenter le hameau de La-Baraque-Saint-Jean. Les couleurs utilisées sont également celles de Naucelle.
Les ornements sont deux gerbes de seigle d’or mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin d’honorer l’activité agricole.
Le listel d’argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.
La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Bibliographie
François Garcia, Le viaduc du Viaur : révolutions ferroviaire et socio-économique, Toulouse, CRDP Midi-Pyrénées, coll. « Images de nos régions », , 192 p., ill., couv. ill. ; 24 cm (ISBN2-86565-169-X, ISSN1264-014X, BNF35852658)
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Naucèla : Cabanés, Camjac, Centres, Maljac, Quins, Sent-Just, Tauriac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Naucèla, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 231 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN2-907279-11-4, ISSN1151-8375, BNF36678769)
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[60].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )