Le Vexin français est une ancienne province et une région naturelle de France, qui se situe dans le nord-ouest de l'Île-de-France et pour une petite partie dans les Hauts-de-France, étendue sur les départements du Val-d'Oise, des Yvelines et de l'Oise. Pontoise forme désormais, avec la ville de Cergy, une agglomération, qui contraste avec le caractère rural du Vexin français, dont elle est pourtant la capitale historique.
Géographie
Le Vexin français, comme son homologue le Vexin normand, se présente pour l'essentiel comme un plateau calcaire couvert de limons, aux espaces bien dégagés, à l'altitude variant de 100 à 140 m environ, surmonté de buttes boisées, et à vocation agricole (grande culture céréalière). Il est clairement délimité au sud par les méandres de la Seine, qui l'ont creusé en formant par endroits des vallées abruptes. Le territoire de forme grossièrement rectangulaire, d'environ 40 kilomètres sur 35, est délimité géographiquement par des cours d'eau relativement encaissés :
Dans l'Oise, les limites du Vexin français sont théoriquement marquées par la cuesta du Vexin qui sépare le plateau du Vexin de celui du pays de Thelle voisin. Cependant, certains villages situés au-delà de cette limite (sur les coteaux de la cuesta, dans la vallée de la Troesne ou de l'Esches voire au-delà) sont souvent considérés comme vexinois, ils le portent parfois dans leur nom même[1]. Parmi ces villages hors des strictes limites géographiques du territoire, certains, rares, ne présentent que peu des caractéristiques paysagères et architecturales du Vexin[2]. Ils sont néanmoins comptabilisés dans la nomenclature de la section organisation administrative, ci-après. Les limites picardes nord et est du Vexin français sont les plus floues de la région naturelle, les autres étant clairement délimitées par des cours d'eau d'importance (Seine, Oise et Epte), ce qui occasionne des incertitudes s'agissant de la classification de certaines communes dans une entité ou une autre, comme souvent lorsqu'il s'agit de délimiter des régions naturelles.
L'intérieur du plateau est dominé par une série de buttes et irrigué par plusieurs cours d'eau, affluents des précédents :
Les vallées présentent des aspects très variés, tantôt se constituant en véritables plaines alluviales telle l'Aubette de Magny, tantôt en vallée longue et relativement encaissée telle la Viosne.
Sept des quatorze buttes constituent une ligne de crête séparant le plateau au nord de la vallée de la Seine au sud, cette ligne débute dans le massif de l'Hautil à l'est et se termine dans l'ancienne forêt d'Arthies à l'ouest. Les autres buttes sont plus ou moins éparpillées et isolées sur le plateau. La plupart sont constituées de gypse et d'une couverture en meulière très dure et inculte, elles sont pour cette raison le plus souvent boisées. Certaines buttes découronnées ont vu s'établir des villages à leur sommet (Cléry-en-Vexin, Grisy-les-Plâtres) ou sur leurs flancs (Bréançon).
Les buttes de Rosne, au nord, constituent le point culminant du Vexin et le deuxième de la région Île-de-France tout entière avec 216 mètres.
La région est à dominante très rurale, et à faible densité de population, à l'exception des vallées de la Seine et de l'Oise, aujourd'hui largement urbanisées, qui forment ses limites sud et qui subit l'attraction des grands centres urbains situés à sa périphérie. Ce sont principalement Rouen à l'ouest et Paris à l'est, et, plus proches, Vernon et Mantes-la-Jolie au sud, et surtout la ville nouvelle de Cergy-Pontoise au sud-est qui compte 200 000 habitants et plus de 90 000 emplois et comprend la capitale historique du Vexin français, Pontoise.
La principale ville du Vexin normand voisin, Gisors, compte environ 10 000 habitants ; elle exerce une certaine influence économique sur le nord du Vexin français. Cependant sa situation dans le département voisin de l'Eure et la région voisine Normandie diminuent ce pouvoir d'attraction relatif. Les seules agglomérations notables du Vexin français se trouvent en général en périphérie du plateau agricole : la petite ville de Chaumont-en-Vexin au nord-est, l'agglomération de Cergy-Pontoise à l'est, Meulan-en-Yvelines et Limay au sud. Magny-en-Vexin, compte tenu de sa situation relativement centrale, tend à devenir la petite capitale du plateau agricole du Vexin français, avec une vocation commerciale marquée.
Le paysage se caractérise par un groupement important de la population en villages, qui s'est accentué au fil des siècles, les rares écarts et fermes isolées ne représentant que 5 % de la population totale.
Le sous-sol comprend plusieurs types de roches superposées. La première est la craie blanche campanienne, la plus ancienne, datant d'environ 80 millions d'années et d'environ quatre-vingts mètres d'épaisseur, qui affleure dans les fonds de vallées. Elle est surmontée par une couche calcaire du Montien (65 millions d'années), pierre à bâtir vexinoise par excellence, puis par les couches d'argile et de sable de l'Yprésien, dont les argiles du Sparnacien, épaisses de cinq à quinze mètres, leur caractère imperméable provoque l'apparition de lignes de sources et rend les fonds de vallées marécageuses. Cette couche est surmontée par le sable du Cuisien, de dix à trente mètres d'épaisseur.
On trouve ensuite l'importante masse calcaire du Lutétien, d'une épaisseur de vingt à quarante mètres, et qui constitue l'assise du plateau du Vexin. Sa présence explique l'existence de phénomènes karstiques. Les couches du Bartonien qui lui succèdent (40 millions d'années) voient s'alterner le grès et le sable de l'Auversien, puis le calcaire de Saint-Ouen, et enfin les sables du Marinésien, épais de cinq à trente mètres.
Réseau de communication
À l'exception de la vallée de la Seine au sud parcourue de plusieurs grandes voies de communication, et de la vallée de l'Oise dans une moindre mesure, le Vexin français n'est parcouru que par des axes relativement secondaires qui expliquent en partie son long isolement. Seule la route nationale 14 le traverse, récemment mise à deux fois deux voies jusqu'à la sortie de Magny-en-Vexin. La seule voie ferrée traversant le plateau est la ligne Transilien Paris Saint-Lazare - Gisors-Embranchement, ligne secondaire de grande couronne, essentiellement utilisée pour un trafic voyageurs pendulaire de grande couronne et des départs/retours de week-ends.
Le comté du Vexin était tenu par un grand féodal, Raoul de Gouy, également possesseur des comtés d'Amiens et du Valois. En 1063, Gauthier III de Gouy meurt empoisonné, prisonnier de Guillaume le Bâtard. Son cousin Raoul IV de Vexin lui succède, et son unique fils Simon de Vexin entre au monastère en 1077. En 1082[4], le roi des Francs Philippe Ier en profite pour reprendre le Vexin français donnée par son père au duc de Normandie.
Cette partition engendrera plusieurs siècles de conflits entre les deux voisins, surtout lorsque le duc de Normandie devint roi d'Angleterre en 1066, et que les ambitions des deux souverains ne cessèrent de grandir.
Cette annexion ne fut pas du goût des ducs de Normandie : la région connaît des attaques en 1087, 1094, 1097-1098 et 1124[réf. nécessaire]. C'est d'ailleurs en 1087 que Guillaume le Conquérant, revenu en Normandie, pille au cours de l'été le Vexin français et doit faire face aux attaques du roi Philippe Ier, et qu'il sera mortellement blessé au cours de l'attaque de la ville de Mantes[4],[note 1].
La vallée de l'Epte est alors puissamment fortifiée : de nombreux ouvrages militaires sont édifiés tant par le roi de France que par le duc de Normandie. On peut citer parmi ceux encore plus ou moins partiellement existants : Gisors, Neaufles-Saint-Martin et Château-sur-Epte côté normand, Trie-Château et La Roche-Guyon côté français. On peut y ajouter le château de Pontoise, capitale historique du Vexin français, où le roi Louis VI le Gros réside fréquemment. Néanmoins, ces forteresses n'empêchent en rien de nombreux pillages et dévastations dans la région durant plus d'un siècle.
En 1195 le Vexin français est définitivement réuni au domaine royal par Philippe Auguste.
Le XIIIe siècle et la première moitié du XIVe siècle sont une grande époque de paix et de prospérité dans le Vexin, qui se traduit par la construction de nombreuses églises, d'importants défrichements, et une augmentation notable de la population, Pontoise compte alors 2150 feux en 1332, ce qui hisse la ville parmi les plus importantes du royaume.
Au début du XVe siècle, Pontoise et de nombreux villages sont ruinés, les cultures sont négligées faute d'hommes valides, et la forêt reprend ses droits sur les terres défrichées. Puis c'est la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, ces derniers tenant garnison à Pontoise en 1417. Toutefois, les Anglais reprennent la ville par surprise le . Le Vexin reste pendant dix-sept ans sous domination anglaise. En 1449, le château de Gisors est définitivement repris aux Anglais, c'est la fin de cette guerre pour le Vexin.
« J'ai vu de mes yeux les vastes plaines de la champagne, de la Brie, de la Beauce..., le Maine, le Perche, le Vexin normand et français, le Beauvaisis... déserts, en friche, dépeuplés couverts de ronces et de buissons... » décrit alors, dans sa chronique du roi Charles VII, l'évêque de Lisieux, Thomas Basin.
Le calme enfin retrouvé apporte une fièvre de reconstruction : c'est l'époque du gothique flamboyant, les riches bourgeois acquièrent des seigneuries et remplacent les châteaux forts par des résidences de plaisance[5].
La Renaissance
Vers 1550, le Vexin français retrouve sa population de 1332, soit environ 25 000 habitants. Mais la prospérité retrouvée ne dure pas longtemps : les guerres de Religion débutent, qui couvrent à peu près la deuxième partie du XVIe siècle.
« Ce pays s'estend depuis la petite rivière de Valmondois en l'Isle Adam jusques à une autre petite rivière qui passe par Fleury, nommée Andelle, à cinq lieues de Rouen. Ce pays est appelé en latin « Pagus Belgassinus » (comme est aussi le pays d'auprès de Troyes en Champagne, dit « Trecassinum »), en françois, Vequecin, par corruption de langage, pour dire Belgassin.... ».
Les XVIIe et XVIIIe siècles
Le Vexin fait peu parler de lui durant le XVIIe siècle. La vie y reprend son cours, seulement interrompu par plusieurs vagues successives de peste en 1625, 1630, 1636 et 1642 puis par la Fronde de 1648 à 1652.
Le XVIIIe siècle est particulièrement prospère : 80 % de la superficie du territoire est couverte par les labours, l'assolement triennal repose sur l'alternance du blé, de l'avoine et de la jachère. Le blé atteint un rendement remarquable de quinze quintaux à l'hectare. Le pâturage est également important, avec environ 30 000 ovins et de 7 à 8 000 vaches, même si les prairies naturelles n'occupent que 4 % de la superficie. La forêt connaît à cette époque son plus important recul, n'occupant plus que 8 % du territoire. Le pays est alors contrôlé par environ 400 grands fermiers, à qui le clergé et la noblesse a délégué, outre la terre et les moulins, la perception de l'impôt[7].
La Révolution et le XIXe siècle
La Révolution française n'a pas entraîné dans le Vexin les gros bouleversements connus ailleurs, sinon que la bourgeoisie s'est enrichie par l'achat de biens nationaux notamment.
La pomme de terre commence à être massivement cultivée, puis la production de betteraves à sucre déclenche la construction de sucreries et d'usines de distillation.
Le chemin de fer fait son apparition au milieu du XIXe siècle avec la ligne Paris-Dieppe, puis par des lignes secondaires comme Valmondois-Marines. Il permet aux Vexinois de vendre plus facilement leurs productions agricoles sur le marché parisien. Il apporte aussi à coût bien plus abordable les produits d'autres régions ; c'est ainsi que le vin est importé et la vigne disparaît peu à peu du paysage du Vexin français.
Mais le XIXe siècle laisse surtout l'ensemble du Vexin en dehors de la révolution industrielle : quelques usines apparaissent timidement ici et là (Bray-et-Lû par exemple) mais leur nombre reste très limité, la population stagne, les villages ne grossissent plus après la Révolution, le Vexin français compte 29 928 habitants en 1790, valeur proche de celle du Moyen Âge, il en compte 30 453 en 1876 et 32 195 en 1962. Le Vexin français demeure depuis une région à nette vocation agricole.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Pontoise est bombardée par les Allemands les et , puis, par les Alliés cette fois, les et .
En 1944, Rommel installe dans les boves de La Roche-Guyon son état-major, et une usine d'assemblage de fusées V1 est installée dans les champignonnières de Nucourt. Ces villages sont alors pilonnés par la R.A.F., Nucourt est détruit à 95 %, Moussy et Banthelu très atteints, et le château de La Roche-Guyon endommagé.
Le les troupes britanniques et canadiennes pénètrent dans le Vexin normand, remontent la vallée de l'Andelle et avancent sur Gisors, préalablement pilonné par les Alliés. Les représailles sont courantes : à Charmont, des paysans travaillant aux champs, sont fusillés par les Allemands le . Plusieurs mémoriaux et monuments aux morts sont édifiés[8].
La vallée de la Seine, et dans une moindre mesure, la vallée de l'Oise voient se développer une urbanisation de type pavillonnaire à partir des années 1920. Le phénomène de rurbanisation provoque une augmentation de population dans certains villages, parfois par la construction de lotissements (Avernes, La Chapelle-en-Vexin), bien peu respectueux de l'architecture traditionnelle vexinoise. Mais pour l'ensemble, relativement isolé dans le quart nord-ouest de l'Île-de-France, protégé de l'urbanisation massive par la mise en œuvre de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, qui a de fait contribué à canaliser l'urbanisation, et par la faiblesse des moyens de communication, le plateau du Vexin reste préservé de l'urbanisation en tache d'huile de l'agglomération parisienne et de la construction de grandes voies de communication. En effet, aucune autoroute ni voie ferrée d'importance ne le traverse.
En gardant à l'esprit les remarques relatives aux limites géographiques plus floues du Nord du Vexin, dans l'Oise, on peut arrêter le chiffre de 167 communes vexinoises. Elles s'étendent sur deux régions et trois départements : en Île-de-France, les Yvelines (31 communes) et le Val-d'Oise (88 communes) et l'Oise (47 communes) dans les Hauts-de-France.
Une partie des communes du Vexin français se sont regroupées en communautés d'agglomération ou de communes. Il s'agit d'une, plusieurs ou l'ensemble des communes des structures suivantes :
La plupart des communes encore rurales du Vexin français se sont constituées en parc naturel régional en 1995 dont le siège se trouve à Théméricourt. Il compte 94 communes (77 dans le Val-d'Oise et 17 dans les Yvelines) et six villes-portes. Il s'étend sur 680 km2 et compte 79 000 habitants.
Les communes de Picardie dans le département de l'Oise sont restées en dehors du parc naturel régional, la gestion conjointe d'un parc par deux régions (Île-de-France et Picardie), semblant, à l'époque, trop complexe (bien que cela existe déjà ailleurs depuis de nombreuses années comme dans le cas du parc naturel régional Normandie-Maine créé en... 1975). Dans le Val-d'Oise, deux communes (Ambleville et La Chapelle-en-Vexin) destinées géographiquement à en faire partie ont refusé d'entrer dans le parc lors de sa création. Toutefois, elles ont rejoint le parc en 2008 en même temps que trois communes des Yvelines (Évecquemont, Vaux-sur-Seine et Juziers)[11].
En 2004, le territoire du parc naturel totalisait 13 497 emplois dans le secteur privé, dont 11 056 dans le Val-d'Oise et 2 441 dans les Yvelines[12].
Les actifs de la région travaillent essentiellement dans l'agglomération de Cergy-Pontoise, puis la vallée de la Seine (Mantes-la-Jolie, Les Mureaux), cependant, Marines, et surtout Magny-en-Vexin offrent de nombreux emplois et une certaine vivacité économique. Les actifs travaillant dans le Vexin français se localisent plutôt à l'ouest du territoire.
Le patrimoine du Vexin français est remarquablement bien conservé et a, fort heureusement, pour sa majeure partie survécu aux destructions de la Révolution. La révolution industrielle et l'urbanisation n'ayant que peu touché la région, ce riche patrimoine, tant monumental (châteaux, églises...) que vernaculaire (lavoirs, croix de chemins, fermes fortifiées, colombiers...) a justifié le classement du plateau en 1972 au titre des sites classés et la création d'un parc naturel régional, né par décret ministériel en 1995. Le Vexin français compte en effet pas moins de 120 églises et 80 châteaux, partiellement ou totalement classés monuments historiques.
Parmi le patrimoine vernaculaire le plus remarquable, on peut citer :
Pierre Coquelle, « Les Clochers romans du Vexin français et du Pincerais », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, s.n., vol. 25, , p. 47-66 (ISSN1148-8107, lire en ligne)
Pierre Coquelle, « Les Portails romans du Vexin français et du Pincerais », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, s.n., vol. 27, , p. 41-60 (ISSN1148-8107, lire en ligne)
Jacques Dupâquier, « Paysage et société : Le Vexin français au XVIIIe siècle », Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Pontoise, vol. LXVII, , p. 47-58 (ISSN1148-8107)
Jacques Dupâquier, Marcel Lachiver et Jean Meuvret, Mercuriales du pays de France et du Vexin français, 1640-1792, École pratique des hautes études, centre de recherches historiques, coll. « Monnaie, prix, conjoncture », , 241 p.
Marcel Lachiver, Paul Rivière et Roland Vasseur, Le Vexin français à travers les âges, Centre d'animation pédagogique et d'audio-visuel de la région de Pontoise, coll. « Travaux et de documents pour servir à l'histoire du Mantois et du Vexin », , 154 p..
P. H. Mitard, « Le Vexin français à l'époque gallo-romaine : Cormeilles », Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Pontoise, vol. LXVII, , p. 9-24 (ISSN1148-8107)
Léon Plancouard, « Proverbes & dictons du Vexin », Commission des antiquités et des arts du département de Seine-et-Oise, Versailles, vol. 17, , p. 103-118 (ISSN1146-9994, lire en ligne)
Daniel Rébaudo, « Les Laboureurs du Vexin au XVIIIe siècle », Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Pontoise, , p. 27-36 (ISSN1148-8077)
Jacques Sirat, « Le Vexin français à l'époque mérovingienne », Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Pontoise, vol. LXVII, , p. 25-32 (ISSN1148-8107)
Jacques Sirat, « Le Haut Moyen Âge en Vexin français », Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Pontoise, , p. 23-30 (ISSN1148-8077)
Collectif, Guide du Vexin français, éditions du Valhermeil, 1991, 295 p., (ISBN2905684275).
Collectif, Le Patrimoine des communes du Val-d'Oise, éditions Flohic, Paris 1999, 2 volumes, 1054 p., (ISBN2-84234-056-6)
Collectif, Nouveau Guide du Vexin français, éd. du Valhermeil, 2002, 363 p., (ISBN2-913328-30-X)
↑Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN978-284673-215-4), p. 25.
↑La commune de Montherlant est définie comme vexinoise sur le site du syndicat d'initiative local cependant ni l'atlas des paysages de l'Oise, ni le nouveau guide du Vexin français ne la recensent comme telle
↑Cette commune présente des caractéristiques plus proches du pays de Thelle et du Pays de Bray picard que du Vexin français