Poète, romancier, nouvelliste et dramaturge, il est également reconnu comme un historien «rigoureux et novateur[1] » et un journaliste influent, promoteur des idées libérales dans son pays.
Marqué dans sa jeunesse par les invasions françaises, la domination des Anglais et surtout par les idées libérales venues principalement de France, il joue un rôle important dans l'évolution des idées qui conduisent à la révolution de 1910.
Hommages
Un grand nombre de villes du Portugal honorent le nom d'Alexandre Herculano : Lisbonne, Porto, Albufeira, Coimbra, etc.
Une statue représentant Alexandre Herculano en pied, exécutée en 1945 par le sculpteur portugais Salvador Barata Feyo (1899-1990) a été inaugurée le sur l'Avenue de la Liberté à Lisbonne, en même temps que celle de Almeida Garrett, autre grande figure du romantisme portugais.
Statue par Salvador Barata Feyo, avenue de la Liberté à Lisbonne.
Tombeau d'Alexandre Herculano.
Œuvres traduites en français
Eurico, roman-poème [« Enrico o presbytero »] (trad. du portugais par David A. Cohen), C. Leroy,
Légendes et récits du Portugal [« Lendas e narrativas »] (trad. du portugais par Diogo Quintela et Bernard Tissier, ill. Marion Duval), Paris, Chandeigne, , 381 p. (ISBN978-2-915540-12-3, BNF40140100)
Ronnie A. Lawton, « Herculano Alexandre (1810-1877) », dans Encyclopædia Universalis, Paris, Encyclopædia Universalis, (ISBN978-2-85229-551-3, lire en ligne).