Le Cailly actionnait dès le Moyen Âge des moulins à eau. On en signale un construit au milieu du XIIIe siècle pour Eudes Clément, archevêque de Rouen ; quatre sont attestés en 1262 et quatre figurent sur la carte de Cassini au XVIIIe siècle[4] Le laminoir de la Manufacture Royale de Plomb laminé aménagé en 1735 et ancêtre de l'usine Vallourec était également actionnée par le Cailly[5].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
Typologie
Au , Déville-lès-Rouen est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].
Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (98,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (46,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (36,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,7 %), forêts (1,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 5 929, alors qu'il était de 5 668 en 2016 et de 5 178 en 2011[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Déville-lès-Rouen en 2021 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) par rapport au département (4,1 %) et à la France entière (9,7 %).
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
1,1
4,1
9,7
Logements vacants (en %)
5,8
7,9
8,1
La commune respecte les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de la loi SRU de disposer d'au moins 20 % de son parc de résidences principales constituées de logements sociaux[19].
Le nom de la localité est attesté sous la forme Daevillam vers 1060[20], Déville en 1801, Déville-lès-Rouen en 1894[2].
lès-Rouen signifie « près de Rouen ». En français, la préposition « lès » signifie « près de ». D'usage vieilli, elle n'est guère plus rencontrée que dans les toponymes, plus particulièrement ceux de localités.
Histoire
L'histoire de Déville-lès-Rouen a été écrite par l'historien rouennais Robert Eude qui a également dessiné son blason. Une petite rue porte son nom aujourd'hui[réf. nécessaire].
Dèx le VIIIe siècle, les archevêques de Rouen ont un manoir à Déville. Il est habité par Eudes Rigaud au 13e siècle et embelli en 1500/1501 par Georges d'Amboise, mais abandonné peu après au profit du château de Gaillon. Au XIXe siècle, seujls des vestiges de la chapelle subsistaient[21].
La tradition industrielle de Déville-lès-Rouen est très ancienne, et remonte aux moulins du Moyen Âge, qui fournissaient la force motrice ou l'eau du Cailly et de la Clérette. À partir du XVIIIe et au XIXe siècle, deux filières indistrielles sont représentées dans la commune : la métallurgie, représentée par le travail du plomb, du cuivre et du fer, et le textile qu'il soit lainier, cotonnier ou linier, ces deux branches occupant un nombre d'ouvriers très important. Durant la seconde moitié du XIXe siècle l'industrie du coton s'impose tandis que disparaissent les sites lainiers et liniers. Des activités connexes à ces industries apparaissent, et notamment des usines de produits chimiques, des moulins pour la trituration du bois de teinture, des ateliers de gravure sur cylindres, blanchisseries, moulin à tan et deux tanneries-corroierie. Une briqueterie est attestée en 1881[22].
La Manufacture royale de plomb laminé est créée en 1729. L'entreprise, devenue la société Laveissière en 1825, La Compagnie française des métaux en 1889, la Compagnie des tubes de Normandie en 1957, Sidelor en 1961 et Vallourec dès 1968, et qui s'est étendue progressivement jusqu'à occuper 13 ha de terrains, occupait, au plus fort de son activité, jusqu'à 1 200 salariés, a fermé en 2021, et est devenue une friche industrielle[5],[23],[24].
Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), et qui a été transformée en métropole, sous le nom Métropole Rouen Normandie. La ville en est désormais membre[I 1].
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Dominique Gambier obtient la majorité absolue des suffrages, avec 2 012 voix (57,96 %, 27 conseillers communautaires élus dont 3 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[25] :
- Jean-Claude Gaillard (FN, 883 voix, 25,43 %, 4 conseillers municipaux élus) ;
- Salem Kacimi (UDI, 576 voix, 16,59 %, 2 conseillers municipaux élus) .
Lors de ce scrutin,48,44 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste DVG menée par le maire sortant Dominique Gambier obtient la majorité absolue des suffrages, avec 1 099 voix (51,72 %, 25 conseillers municipaux élus dont 2 métropolitains), devançant de 73 voix celle PS-PRG-ND menée par Vincent Duchaussoy, qui a recueilli 1 026 voix (48,28 %, 8 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 67,4 % des électeurs se sont abstenus[26]
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Afin de remplacer un équipement vétuste, la commune a décidé en 2024 la construction d'un nouveau centre culturel, qui comprendra notamment une salle de 450 places assises, dont 250 rétractables, soit une capacité maximum de 700 personnes, ainsi qu'un restaurant, à l'emplacement de l’ancienne piscine municipale. Le cabinet d'architecture en est chargé, pour une livraison à partir de 2027[34].
Équipements sportifs
La piscine municipale Christine-Caron, rue Jules-Ferry, qui remplace un équipement ancien, est mise en service le et comprend un bassin sportif de 25 mètres doté de quatre lignes d'eau, un bassin d’activité de santé de 120 m² et une pataugeoire ludique de 30 m²[35].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 10 745 habitants[Note 5], en évolution de +3,68 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Paris Normandie, quotidien régional, a son siège dans la commune depuis 2006.
Vallourec possédait une usine de fabrication de tubes en acier jusqu'en 2021.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Maison de Flaubert, dont les parties les plus anciennes datent de la deuxième moitié du XVIIe siècle[38].
Maisons anciennes.
Chapelle Notre-Dame-de-la-Vallée.
Chapelle Saint-Siméon, construite au XIXe siècle au-dessus d'une source qui faisait l'objet d'un pèlerinage probablement depuis le haut Moyen Âge et dont l'eau était réputée surtout contre les dartres[39].
Église Saint-Pierre, comprenant des parties des XIIIe, XVIe et XVIIe siècles, les chapelles latérales ainsi que la travée ouest de la nef sont construites en 1850 par Deleau. Le chœur est agrandi et la sacristie reconstruite en 1855[40].
Ancienne filature de coton Saint-Pierre, 12 avenue Fauquet, sur le Cailly, construite en 1896 pour Gaston Duboc et Henri Lafosse à l'emplacement d'une ancienne usine de blanchiment. En 1912 la capacité de production de la filature est de 32 560 broches. L'établissement ferme en 1968 et les locaux réaménagés sont utilisés en partie en supermarché ou désaffectée En 1823, l'usine emploie 360 personnes, essentiellement des femmes[41],[42].
Ancienne fonderie de fer, 10 rue de la Gare, construite en 1871 pour Édouard Legris, dont la production (arbres de transmisson, engrenages) était essentiellement destinée aux usines textiles de la vallée. L'entreprise est reprise en 1895 par Édouard Breton, ingénieur de l’École centrale qui la transforme en fonderie d'acier à convertisseur acide, qui produit entre autres des pièces d'appui pour les ponts du métro aérien de Paris. De nouveaux ateliers de fabrication sont construits dans les années 1950 pour la société Breton Quenedey et Cie qui avait repris les lieux dans les années 1920. Les locaux sont utilisés par la société KSB qui y fabrique des pompes centrifuges et emploie, en 1995, environ 200 salariés[43].
Usine 77 rue du Grand Aulnay, sur le Cailly, construite comme teinturerie pour Fernand Lebaron dans la seconde moitié du XIXe siècle, puis utilisée après la Première Guerre mondiale comme usine de feutre utilisant comme matière première la laine. Vers 1920, la société anonyme Laoureux et Allard reprend l'établissement constitué alors d'ateliers de cardage, de feutrage et de foulonnage. L'énergie hydraulique est utilisée pour le foulonnage tandis que l'énergie thermique alimente l'atelier de cardage. L'usine existe toujours, bien que considérablement modifiée et produit divers articles de polissage en feutre. En 1998, elle occupait 30 salariés[44].
Usine 1 rue du Petit Aulnay et 27 rfue du Dr Bataille, sur le Cailly, attestée en 1839 comme usine d'impression sur étoffes, et partiellement reconstruite en 1887, lorsque la société Girard et Cie reçoit l'autorisation d'effectuer une nouvelle prise d'eau sur le Cailly. L'usine d'impression sur étoffes est exploitée ensuite par diverses entreprises, puis, en 1971, après la fermeture de la teinturerie, les locaux sont repris pour partie par les services techniques municipaux et pour le surplus par la société Novacel, qui y fabrique des films plastiques et emploie 200 personnes en 1995[45].
Usine de matériel de télécommunication TRT, 49 rue de la République, construite en 1946, reprise par Philips en 1956 puis Lucent Technologies en 1996. Elle emploie 640 personnes en 1999[46].
Guy Fleury (1941-2020), docteur ingénieur, professeur des universités et homme politique français, y est né.
Christian Sauvé (1943-2023), artiste peintre français, y est né.
Didier Notheaux (1948-2021), ancien joueur de football, puis entraîneur de football, y est né.
Roland Janvier (1956- ), chercheur en Sciences sociales qui a mené en parallèle une carrière dans le secteur social et médico-social et des travaux de recherche universitaire, y est né.
Tony Parker (1982-), joueur de basket-ballinternationalfranco-américain. Il a évolué au poste de meneur jusqu'à la fin de sa carrière professionnelle en 2019, y a été scolarisé à l'école-collège privé Sainte-Marie. Il a fait ses premières armes en basket au club de la ville, l'Amicale Laïque de Déville (ALD).
Anecdote
Dans un important arrêt Compagnie du gaz de Déville-lès-Rouen, du , le Conseil d'État a admis la possibilité pour la commune de modifier unilatéralement la convention qui la lie à une compagnie de gaz, consacrant ainsi la mutabilité du contrat administratif[49],[50].
Héraldique
Blason
D'azur au manoir normand d’argent maçonné de sable, sur des ondes du champ mouvant de la pointe, à la crosse contournée d’or brochant sur le tout, à l’agneau regardant aussi d’argent, la tête nimbée du même, brochant en chef sur la crosse, au chef cousu de gueules chargé d’une roue dentée de 16 pièces aussi d’or accostée de quatre navettes d’argent en sautoir 2 à 2.
Alain Alexandre et Philippe Ruc, Un retour en arrière de 70 ans, 1983
Alain Alexandre, Claude Goupil et Philippe Ruc, Léopold Dautrême : éditeur-imprimeur de cartes postales, Petit-Caux, Wooz éditions, , 100 p. (ISBN979-10-96714-03-2, OCLC1018400342)
Bernard Crouin, Jean Grenet, Gérard Larchevesque et Philippe Ruc, 100 ans de la vie de l’Amicale Laïque de Déville-lès-Rouen - 1904-2004, 2004
Gaston Delbos et Philippe Ruc, De Rouen à Buchenwald par Auschwitz, souvenirs d’un déporté politique, 1999
Éric Lenouvel et Fernand Sobzack, L’année 1944 - il y a cinquante ans Déville-lès-Rouen, 1999
Éric Lenouvel, L’année 1944 - il y a soixante ans Déville-lès-Rouen (compléments), 2004
Renée Lessertois, 1939-1945 - les années difficiles, le courage et l’espoir, 2001
José Roda et Philippe Ruc, Les jardins ouvriers de Déville-lès-Rouen, 2005
Philippe Ruc, Une promenade en 1900, 1994
Philippe Ruc, Les déportés politiques, les résistants, les prisonniers et les requis, 1999
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑« Déville-lès-Rouen », Simulateur Solidarité et renouvellement urbain (SRU), Ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
↑Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) » [article], page 242.
↑Manon Leterq, « Fermeture de l'entreprise Vallourec, près de Rouen : 190 emplois impactés », 76 actu, (lire en ligne, consulté le )« Le fabricant de tubes Vallourec a annoncé mercredi 18 novembre 2020, la suppression de 350 postes en France, et la fermeture du site de Déville-lès-Rouen ».
↑Thierry Chion, « Près de Rouen, une exposition fait revivre le site Vallourec fermé en 2021 », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ).
↑Dominique Gambier, « Michel Cozette nous a quittés ! », sur dominiquegambier.fr, (consulté le )« Chef de file d’une liste de centre gauche, il est élu pour la première fois en mars 1965. Il sera réélu cinq mandats successifs, et restera Maire jusqu‘en 1995. C’est à cette date que je lui succèderai comme Maire de Déville ».
↑« Le maire de Déville-lès-Rouen Dominique Gambier a démissionné de son mandat », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le )« Le maire de Déville-lès-Rouen, Dominique Gambier, qui avait annoncé lors de ses vœux en janvier 2024, qu’il passerait la main au cours de l’année, a officiellement démissionné de son mandat. Le préfet de la Seine-Maritime a accepté sa démission ce jeudi 4 juillet 2024 ».
↑Fabien Massin, « Dominique Gambier quitte ses fonctions de maire : une page se tourne à Déville-lès-Rouen », 76 actu, (lire en ligne, consulté le )« Élu à Déville-lès-Rouen depuis 1989, maire depuis 1995, Dominique Gambier a quitté ses fonctions, tout en restant conseiller municipal ».
↑Sophie Bogatay, « Municipales à Déville-lès-Rouen : Dominique Gambier en marche pour un 5e mandat : Élu depuis 1995, Dominique Gambier repart en campagne pour un cinquième mandat, avec une liste sans étiquette », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le )« Il annonce avoir constitué une liste d’ouverture sans étiquette balayant tout le spectre : des communistes aux républicains en passant par les centristes ».
↑Sylvain Auffret, « Mirella Deloignon succède à Dominique Gambier comme maire de Déville-lès-Rouen : Annoncée en janvier, l'élection de Mirella Deloignon au poste de maire de Déville-lès-Rouen s’est déroulée jeudi 11 juillet 2024 en début de soirée lors d'un conseil municipal exceptionnel. Dominique Gambier continuera à siéger comme conseiller municipal. », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
↑Matéo Lhernault, « Voici à quoi ressemblera le prochain centre culturel Voltaire de Déville-lès-Rouen », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ).
↑Adrien Filoche, « Bassins, aquabike, jets d'eau... Découvrez la nouvelle piscine de Déville-lès-Rouen », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ).
↑Philippe Ruc, Usine en mémoire : La filature Saint-Pierre de Ménibus, Déville-lès-Rouen, Association Déville d'Hier / Déville d'Aujourd'hui, , 64 p. (ISBN978-2-916645-08-7, présentation en ligne).
↑José Roda et Philippe Ruc, Pierre Bérégovoy, l’homme de la rive : Du quartier Fresnel à l'Hôtel Matignon, Déville-lès-Rouen, , 319e éd., 140 p. (ISBN978-2-9516532-1-4, présentation en ligne)