La liste ci-dessous correspond à celle publiée par le chanoine Parinet en 1931[1]. Les noms auxquels sont adjoints une référence supplémentaire ne figuraient pas dans cette publication ou ont fait l'objet de publications ultérieures.
Prieuré d'Olloix
Bertrand de Barres (c.1243-1245)[2] ; Prieur de Saint-Gilles (1239-1242)[3]
Guillaume Audebert (1288) ; commandeur de Montchamp (1280)
Maurice d’Ornon (1293-1297)
Pons de Faÿ / Pons du Fay (1301-1309)[9] ; Commandeur de Devesset (1294, 1298, 1300)
Eudes de Montaigut / Odon de Montaigu (1312-1344)[9] ; Assistant et conseiller du Grand Maître Foulques de Villaret au moment où celui-ci octroya les premières franchises de Bourganeuf ()Renaud de Faÿ (1347-1351)
Robert de Chaslus (1353-1360)
Astorg de Dienne (1365)
Guy de La Tour (1367-1369) : le premier à cumuler la dignité de prieur d’Auvergne et celle de commandeur de Bourganeuf.
Les commanderies de l'ancienne comté de Bourgogne / Franche-Comté, à savoir les commanderies quis se trouvaient dans les départements du Doubs, Haute-Saône et Jura ainsi que celles en Saône-et-Loire.
Notes
↑Philibert de Naillac, grand maître de 1396 à 1421, avait appartenu à la Langue d'Auvergne avant de rejoindre la Langue de France
↑Les dates entre parenthèses sont celles de leur magistère.
↑Département du Lot, intégré au prieuré d'Auvergne en 1319 par Hélion de Villeneuve[21]. Compte-tenu de sa localisation, il faudrait vérifier si on retrouve Saint-Julien de Cazillac parmi les possessions/membres d'une commanderie en Corrèze: Bellechassagne, Saint-Baudile, Saint-Maurice, Villemaux voir également Pontvieux dans le Puy-de-Dôme?
Visite par frère Bernard de La Liègue, procureur de frère Gaspard de Maisonseule, receveur de l'Ordre de Malte au grand-prieuré d'Auvergne, de la commanderie du Lieu-Dieu, vacante par la mort de frère Jean Jacquet.
↑Archives nationales K. 49. 6. no 4. 16e peau, Lettre de M. Augustin Chassaing du 10 janvier 1883.
↑Jacques Juillet, Templiers et hospitaliers en Quercy : commanderies et prieurés sur le chemin de Notre-Dame de Rocamadour, Le Mercure Dauphinois, , 4e éd., 332 p. (ISBN978-2-35662-213-6, présentation en ligne), p. 68-69
Georges Guigue et Claude Faure, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Rhône : H 703 à 48 H 2400 : Ordre de Malte, Langue d'Auvergne, Henri Georg, (présentation en ligne)
Jean-Bernard de Vaivre, « Odon de Montaigu, prieur d'Auvergne de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem au XIVe siècle », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, vol. 136, no 3, (lire en ligne)
Jean-Bernard de Vaivre, « Contributions de trois commandeurs de la langue d’Auvergne aux fortifications du Lango et du Château Saint-Pierre (note d'information) », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 152, no 4, (lire en ligne)
Gérard Moyse, « Les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem dans le diocèse de Besançon en 1373 », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Moyen-Age, Temps modernes, vol. 85, no 2, , p. 455-514 (lire en ligne)
Léopold Niepce, Le Grand-Prieuré d'Auvergne : Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Lyon, Librairie Générale Henri Geors, , XI-352 p. (OCLC422251418, présentation en ligne)
E. Parinet, « Le Grand prieuré et les Grands prieurs d'auvergne », Mémoires de la société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, t. XXV, , p. 1-40, lire en ligne sur Gallica