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Jean-Pierre Ferland naît le à Montréal d'Armand Ferland, garagiste, et Anne Roy. La famille, qui compte quatre autres frères et deux sœurs, habite l'appartement du 5089, rue Chambord. Armand Ferland était le propriétaire d'un garage au croisement de l'avenue du Mont-Royal et de la rue de Mentana, aujourd'hui devenue la Place des Fleurs-De-Macadam, du nom de la chanson qui parle de la jeunesse du chansonnier dans les rues du Plateau Mont-Royal.
Télévision et les premières années dans le monde de la chanson
Jean-Pierre Ferland est d'abord commis à la Société Radio-Canada (SRC) à Montréal en 1954, où ses collègues l'encouragent à développer son talent pour la chanson. Il quitte la SRC en 1958 et se fait d'abord connaître en compagnie des Bozos. En 1959, il chante pour la première fois à la télévision de la SRC à l'émission Music-hall. Avec Clémence DesRochers, il donne un spectacle qui demeurera un an à l'affiche du théâtre Anjou. À l'automne 1960, Roger Lemelin lui a confié un rôle dans son téléroman En haut de la pente douce[6]. Ce sera son unique rôle de comédien à la télévision[7].
En 1962, sa chanson Feuilles de gui, musique de Pierre Brabant, remporte le concours de la SRC Chansons sur mesure et le grand prix du Gala international de la chanson à Bruxelles. La même année, Ferland chante au cabaret La Tête de l'art à Paris et coanime L'Été des Bozos à la SRC. L'année suivante, il représente le Canada en Pologne lors du troisième Festival de Sopot et reçoit le prix du meilleur interprète à Cracovie.
Il devient animateur de Jeunesse oblige à la télévision de la SRC[8], une émission qui contribue à révéler les jeunes chansonniers québécois, et fait une tournée au Québec en 1964. En 1965 et 1968, il remporte le grand prix du Festival du disque de Montréal. En 1966, il participe à un premier gala à la Place des Arts aux côtés de la troupe des Feux-Follets, suivi d'une tournée au Québec, en Ontario, à l'Ile-du-Prince-Édouard, au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse.
Il chante un mois à Paris, où il commence à s'imposer de plus en plus. Je reviens chez nous, qui restera son plus grand succès en France, souligne son retour à Montréal (1968) où il se fait entendre à la Comédie-Canadienne et à Terre des hommes. La même année, son microsillon Jean-Pierre Ferland (Barclay B-80006) remporte le Grand prix du disque de l'Académie Charles-Cros. Sa carrière parisienne se poursuit en 1969 alors qu'il donne, avec Marie Laforêt, un spectacle à l'Olympia et à La Tête de l'art. On le retrouve ensuite à l'Expo 70 d'Osaka.
En 1970, l'album Jaune marque un tournant dans la chanson québécoise tant par sa musique résolument moderne que la qualité de son enregistrement réalisé au studio André Perry. La liste des musiciens sur Jaune comprend les requins de studio Tony Levin, qui serait renommé pour sa participation à la carrière solo de Peter Gabriel ainsi qu'avec le groupe King Crimson, alors que le guitariste David Spinozza jouera avec Paul McCartney sur deux albums, Ram et Red Rose Speedway. Il jouera aussi avec John Lennon sur l'album Mind Games ainsi que Ringo Starr sur Ringo the 4th. Le batteur Jim Young a, quant à lui, joué avec Ben E. King, Rupert Holmes et Gary Glitter. Soixante mille exemplaires de Jaune sont vendus en un an. Suivent des spectacles à la Place des Arts (dont un avec l'Orchestre symphonique de Montréal). Jean-Pierre Ferland récidive avec l'album Soleil qui prolonge la révolution Jaune. Les albums Les vierges du Québec (1973) et Le Showbusiness (1974) entament un virage rock réussi autour d'une poésie urbaine souvent désabusée et touchante. Le , jour de son anniversaire de naissance, lors des nombreuses festivités de la Fête nationale du Québec, il s'entoure de dix personnalités féminines pour donner sur le Mont Royal un concert mémorable. Parmi les chanteuses unies pour le célébrer, on peut souligner la présence de Renée Claude, Emmanuëlle, France Castel et Ginette Reno. Deux ans plus tard, en 1977, il enregistre La pleine lune, mélange de rock et de ballade, dans lequel on retrouve Maudit Blues, Une histoire de discothèque et Que veux-tu que je te dise. Pendant toutes ces années, Ferland triomphe à la place des Arts (plusieurs semaines en 1975, 1976, 1978 et 1980) et en tournée partout au Québec. Il renoue même avec la France à l'occasion d'une tournée de promotion au printemps 1978.
En 1980, il présente un album à son nom, avec un ton léger, fantaisiste, supporté par des musiques de tendance folk. On y retrouve notamment un duo avec Nanette Workman dans C'est ça l'amour et une ode humoristique à la séduction avec l'ironique Les courtisanes. En 1981, changement de cap : un Ferland nettement plus mélancolique et introspectif enregistre Y'a pas deux chansons pareilles. Des chansons sur la famille et sur le sentiment amoureux s'alignent dans un album dominé principalement par l'utilisation quasi-exclusive du piano.
Une autre facette de Ferland se révèle en 1976 alors qu'il devient comédien, scripteur et musicien dans le film Chanson pour Julie de Jacques Vallée. C'est à la même époque qu'il donne le Show des cinq grands - mieux connu sous le titre de 1 fois 5 - aux côtés de Claude Léveillée, Gilles Vigneault, Robert Charlebois et Yvon Deschamps à Québec, dans le cadre de la Semaine du patrimoine, puis à Montréal, lors des fêtes de la Saint-Jean-Baptiste. Après une tournée au Québec, il enregistre en 1978, quatre émissions de Faut voir ça pour la télévision de la SRC; regroupées en un super-spécial intitulé Between Chopin and William Tell, elles sont présentées à CBC Television la même année.
Pendant les années 1980, sans délaisser la composition, Jean-Pierre Ferland revient à l'animation télévisée avec Station soleil (Radio-Québec, 1981-1987), Tapis rouge (SRC, 1986), L'Autobus du showbusiness (SRC, 1987) et Ferland/Nadeau (Télé-Métropole, 1990). En 1985, il participe à la Fondation Québec-Afrique en chantant dans le projet collectif Les Yeux de la faim, puis, à la suite de la sortie d'un album très marqué synthés pop-rock années 1980 et intitulé Androgyne, il participe à la tournée du spectacle Du gramophone au laser, pot-pourri des meilleures chansons québécoises des 50 dernières années, avec Louise Portal, Marie-Claire Séguin et Nanette Workman en 1984, puis Nicole Martin en remplacement de cette dernière en 1985. En 1989, Ferland fait jouer à la Place des Arts l'opéra Gala dont il a écrit les textes sur des musiques de Paul Baillargeon. Cette immense production, inspirée de la vie de l'amante et muse de Salvador Dalí et Paul Éluard, Gala, interprétée par Sylvie Tremblay, ne tient l'affiche que quelques jours et devient un échec financier.
En 1992, Jean-Pierre Ferland fait un retour sur disque après huit ans d'absence. Il enregistre l'album Bleu, blanc, blues, opus dynamique et inspiré. Les chansons Pissou, T'es belle et Montréal est une femme deviennent de beaux succès. Le Théâtre du Nouveau Monde et le Spectrum l'accueillent pour son retour sur scène. C'est toutefois en 1995 que Jean-Pierre Ferland se révèle poétiquement et musicalement avec Écoute pas ça, un album qui rallie la critique et le public. Un son acoustique, une poésie qui va à l'essentiel dans des chansons qui touchent au cœur de toutes les générations : Une chance qu'on s'a, La musique, je ne veux pas dormir ce soir… toutes devenues des classiques en peu de temps. En 1999, il enregistre L'amour c'est d'l'ouvrage, qui sans frapper aussi fort que le précédent, contient lui aussi des succès comme On oublie qu'on oublie, Les grands bleus d'automne et Le plus beau slow. Pendant toutes ces années, Jean-Pierre Ferland ne cesse de se produire sur scène : à la PDA, au théâtre Corona, au Casino de Montréal et un peu partout en province. L'album en direct paru en 2000 est un fort beau témoignage sonore d'une fin de carrière riche et prolifique.
En 2020, à 85 ans, Jean-Pierre Ferland sort l'album Partir au vent. Outre la chanson du même nom, écrite pour le finaliste de La voix de 2013, Étienne Cotton, l'album propose des chansons interprétées par d'autres artistes, par exemple Ma chambre enregistrée par Céline Dion[9].
Plus grands succès
Parmi ses plus grands succès, outre ceux déjà mentionnés :
Les Immortelles
Les Fleurs de macadam
Ton visage (paroles : J.-P. Ferland / musique : Paul De Margerie)
Rue Sanguinet
Avant de m'assagir
Le Petit Roi (paroles : J.-P. Ferland / musique Michel Robidoux)
Ste-Adèle P.Q.
Un peu plus haut, un peu plus loin
Marie-Claire
Quand on aime on a toujours 20 ans (paroles : J.-P. Ferland / musique Michel Robidoux)
Une chance qu'on s'a (paroles : J.-P. Ferland / musique Alain Leblanc)
Chanteur romantique par excellence, Jean-Pierre Ferland s'est toujours entouré des meilleurs interprètes, la plupart du temps des femmes. L'art de Ferland « parle d'amour et de femmes, mais aussi de souvenirs, d'angoisses, d'espoirs et de rêves, toujours avec cette chaleur irrésistible qu'on lui connaît. Il se livre à son public dans un spectacle musical de grande qualité, chargé d'émotions les plus douces comme les plus bouleversantes » écrivait Claude Lacombe dans ICI Radio-Canada (-)[10].
Spectacle d'adieu et retour à la vie publique
Le , Jean-Pierre Ferland est victime d'un blocage de 80 % de la circulation sanguine à la carotide, ce qui le force à annuler le dernier spectacle qu'il devait donner au Centre Bell à Montréal le lendemain. Il récupère rapidement, ce qui lui permet le report de son spectacle d'adieu au . Il compte même alors donner un deuxième spectacle[11].
Jean-Pierre Ferland annonce ne plus revenir à la scène ou à la télévision et désire prendre une retraite, pour ne pas vieillir en public. Il donne un spectacle le , devant environ 13 500 personnes venues le voir pour son spectacle d'adieu. Il sort une fois de sa retraite, le soir du , afin de chanter en duo avec Céline Dion sur les plaines d'Abraham à Québec.
Jean-Pierre Ferland continue cependant à animer pendant l'été une émission radiophonique dominicale sur la première chaîne de Radio-Canada. Le , il donne un imposant spectacle bénéfice avec Ginette Reno afin de sauver la petite église de son village de Saint-Norbert. L'église étant menacée de fermeture alors qu'elle était reconnue exceptionnelle par le Conseil du patrimoine religieux du Québec, le duo d'artistes s'est produit devant trois mille personnes massées autour de l'église. Le destin de l'église fut changé et les réparations ont été effectuées afin d'assurer la pérennité du lieu. À l'été 2011, Jean-Pierre Ferland, remonte sur la scène pour soutenir la cause de la francophonie. Il se produit lors de trois spectacles, à Ottawa dans le cadre du Festival franco-ontarien, aux FrancoFolies de Montréal ainsi qu'au Festival d'été de Québec. Le , il participe à l'émission spéciale Céline Dion… sans attendre produite par les Productions J. Diffusée sur le réseau TVA, son enregistrement a lieu le dans les studios de la rue Maisonneuve Est[12]. Avec 57,9 % de parts de marché, ce spécial réunit 2 386 000 téléspectateurs[13].
Le , débute la diffusion de La Voix à TVA. Il y est un des quatre coachs de l'émission regardée par 2 593 000 téléspectateurs. La finale des auditions à l'aveugle bat le record des cotes d'écoute au Québec avec 2 832 000 téléspectateurs.
Le , il crée l'Espace culturel Jean-Pierre Ferland sur le site de l'église de Saint-Norbert. L'église ayant été épargnée de fermeture par l'artiste et son amie Ginette Reno lors d'un spectacle bénéfice en 2010, cette dernière a été modifiée pour faire une salle multifonctionnelle pouvant servir les besoins du milieu tout en donnant la possibilité de faire des spectacles intimistes. Cet espace culturel est dédié autant au legs artistique de Jean-Pierre Ferland qu'aux jeunes artistes émergents voulant se produire dans une salle de spectacles patrimoniale.
En , Jean-Pierre Ferland fait une chute, ce qui cause un trouble pulmonaire qui lui vaudra un séjour de quelques semaines à l'hôpital en août. L'hiver suivant, il doit être hospitalisé pour environ un mois dû à « un problème de médication »[14].
(Réédité sous le titre de Jean-Pierre Ferland chez Adagio - 298.006 et Au tout début chez Maisonneuve en 1972 - 17003 et Mes premières chansons chez XXI-21 XXICD21697 en 2011 avec 2 pièces en bonus, celles du simple Tristesse et guitare – L'amure est morte émis en 1958)
Prologue (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
Le petit roi (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
Quand on aime on a toujours vingt ans (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
Sing Sing (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
God Is an American (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
Le chat du café des artistes (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
Y'a des jours (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
Ce qu'on dit quand on tient une femme dans ses bras (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
Épilogue (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
It ain't fair (Paroles : J.P. Ferland / Musique : Michel Robidoux)
(Réédité en 1988 – Jaune – PJC-1002 / Réédité le 24 mai 2005 - GSI Musique, PJC31134 - la réédition contient trois disques, soit le mixage original, une remasterisation des bandes originales ainsi qu'un remixage par divers artistes)
Faut pas aimer trop vite, faut pas aimer trop fort
Présentation
Le plus beau slow
Présentation
J'aime un homme
Le soleil emmène au soleil
Ma chambre
Marie-Claire
Présentation
After shave
Qu'êtes-vous devenues mes femmes
Présentation
Adieu ma beauté
On oublie qu'on oublie
Présentation
La musique
Présentation
Un peu plus haut, un peu plus loin
Une chance qu'on s'a
Fleurs de macadam
Ma période jaune
2007 : Ce soir-là (Jaune, PJC-4-1136 (5 juin 2007); Jaune, PJC-2-1137 (8 avril 2008))
DC 1
Ce soir-là (ouverture)
Le chasseur de baleine
Les immortelles
Ton visage
Les fleurs de macadam
Medley : La grande mélodie / Les femmes de trente ans / Si je savais parler aux femmes / Qu'êtes-vous devenus mes femmes ? / Marie-Claire / Ste-Adèle P.Q. / Je reviens chez nous
Un peu plus haut, un peu plus loin
Le petit roi
Quand on aime on a toujours vingt ans
Sing Sing
God is an American
Medley : Mon ami J.C. / Maman, ton fils passe un mauvais moment / Le chat du café des artistes / Le soleil emmène au soleil
La route 11
DC 2
Medley : T'es mon amour, t'es ma maîtresse / Simone / Qu'est-ce que ça peut ben faire
T'es belle
Medley : Envoye à maison / Swingnez votre compagnie / La danse à St-Dilon
Écoute pas ça
La musique
Une chance qu'on s'a
Je ne veux pas dormir ce soir
2011 : Les noces d'or de jaune (Tandem, TMUCD5848)
Y'a des jours
Quand on aime on a toujours vingt ans
Sing sing
Prologue
Le petit roi
Ce qu'on dit quand on tient une femme dans ses bras
God is an american
…
Le chat du café des artistes
It ain't fair
L'assassin mondain
Simples
1958 : Marie-Ange la douce – Le chasseur de baleine (London, FC-410)
1958 : Tristesse et guitare – L'amure est morte (London, FC-411) inclus en bonus dans la réédition 2011 sous le titre Mes Premières Chansons - 1959 de l'album Jean-Pierre (1959)
1961 : Les immortelles – Ton visage (Sélect, 7040 – Europe : Pathé, 77.362)
1962 : Feuille de gui – Au fond du lac (par Marc Ogeret) (Sélect, 7041)
1962 : Les fleurs de macadam – À demain (Sélect, 7045)
1962 : Les immortelles – Les enfants que j'aurai – Ton visage – Du côté de la lune (Pacific, 91503 – publication européenne)
1962 : Ça fait longtemps déjà – Lucky seven – Flamenco pour Maria – La femme à François (Pacific, 91505 – publication européenne)
1962 : Les fleurs de macadam – À demain – J'amoure – Chanson morte (Pacific, 91536 – publication européenne)
1963 : Lise – Franco – Les grands-pères – Après (Pacific, 91542 – publication européenne)
1964 : Écrire une chanson – Je te cherche – Reste encore un peu – Laisse-moi t'attendre (Pacific, 91568 – publication européenne)
1964 : Je te cherche – M'aimeras-tu ou ne m'aimerais-tu pas (Sélect, 7068)
1965 : Les bums de la 33e Avenue – N'ouvre pas (Sélect, 7097)
1966 : À la santé de ceux qui restent – Louis Cyr – À marée basse – On dégringole (Barclay, 71125 – Publication européenne)
1967 : Je le sais – La grande mélodie Le chemin du roy – Le chemin du roy (Riviera, 500)
1968 : Je reviens chez nous – Marie-Claire (Barclay, 60018)
1968 : Je le sais – Marie-Claire – La grande mélodie; si je savais parler aux femmes (Barclay, 71251 – Publication européenne)
1969 : Je reviens chez nous – Les négresses – Je ne fais plus rire – Le cauchemar (Barclay, 71379)
1969 : Je reviens chez nous – Je le sais (Barclay, OR-876 – 1975, Barclay, OR-2011)
1969 : Bande originale du film Movin' avec Gordon Lightfoot : Face A - Lightfoot : Movin' – Talkin' Freight – Steel Rail Blues / Face B - Ferland : Avant de m'assagir – Allons-y (Peterson Custom Record Productions, PRC 5000)
1969 : Sainte-Adèle P.Q. – Je t'aime (S'il n'est pas trop tard) (Barclay, 60085)
1970 : T'appelles ça vivre toi Joe? – Mon ami (Barclay, 60107)
1974 : T'es mon amour, t'es ma maîtresse (avec Ginette Reno) – Qu'est-ce que ça peut ben faire? (Jaune, JF9-4)
1974 : Une peine d'amour – La soucoupe volante (Barclay, 60305)
1975 : Le showbusiness – Swingnez votre compagnie (Barclay, 60317)
1975 : Thrilladelphia – Pas maintenant (par André Perry) (Barclay, 60351)
1976 : Vivre à deux – Instrumental (Barclay, 60361)
1977 : Sur le quai de Mirabel – Maudit blues (Telson, AE.124)
1980 : La vie est longue – Les jambes (Telson, 148)
1980 : Les courtisanes – Chanson pour Félix (Telson, AE.1524)
1982 : Y'a pas deux chansons pareilles – Le doux billet doux (Pro-Culture, PPC-2011)
1982 : La chanson de ma grand-mère – Pour faire de la musique (Pro-Culture, PPC-2050)
1982 : Le cœur est tendre (version longue) – Le cœur est tendre (version courte) (Trans-Canada, PPC-201)
1983 : Baseball – Les Expos sont là (par le Montréal Pop) (Gestion Son Image, GSI 001)
1998 : Que veux-tu que j'te dise (L'Étoile du Nord, JBCD 9804)
T'es mon amour, t'es ma maîtresse (en duo avec Johanne Blouin sur son disque)
2009 L'eau. Lettre à Jean-Pierre (avec Jean Lapointe) (Musicor, MUPSCD6367)
2009 Bijoux de famille (Tandem.mu, TMUCD5817)
2010 Ensemble pour Haïti. Une chance qu'on s'a. (Autres titres par divers interprètes) (Musicor, MUPSCD-6396)
2010 Retrouvailles. Gros Pierre (avec Gilles Vigneault); Les gens de mon pays (avec le groupe). (Autres titres par divers interprètes) (Tandem, TMUCD5828)