Dans le centre du département de la Dordogne, la commune de Manzac-sur-Vern se situe à la limite du Périgord central et du Landais. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux[2], zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Périgueux dont la commune faisait également partie. Elle est arrosée par le Vern et par deux de ses affluents de rive droite, le Serre et le ruisseau des Chabannes.
La commune est desservie par les routes départementales (RD) 4, 43 et 44.
Le bourg de Manzac-sur-Vern, au croisement des trois routes départementales et à la confluence du Vern et du ruisseau des Chabannes, jouit d'une situation géographique intéressante. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-est de Saint-Astier, neuf kilomètres à l'est de Neuvic et douze kilomètres au nord-ouest de Vergt.
Communes limitrophes
Manzac-sur-Vern est limitrophe de sept autres communes, dont Grun-Bordas au sud-est par un quadripoint.
Les limites communales de Manzac-sur-Vern et celles de ses communes adjacentes.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Manzac-sur-Vern est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
c5b :
Campanien 2 : calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie (formations de Marsaguet, de Segonzac et sommet de Trémolat)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 81 m[7] à l'ouest, près du lieu-dit les Brasseries, là où le Vern quitte la commune et entre sur celle de Grignols et 214 m[7] à l'extrême nord, au nord du lieu-dit Lassalet, sur la RD 43, en limite de la commune de Montrem[8].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,96 km2[7],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,45 km2[5].
Le Vern, d'une longueur totale de 40,36 km, prend sa source en limite des communes de Val de Louyre et Caudeau et Veyrines-de-Vergt, et se jette dans l'Isle en rive gauche à Neuvic[17]. Il traverse la commune du sud-est à l'ouest sur six kilomètres, lui servant de limite sur près d'un kilomètre et demi en deux tronçons séparés, face à Saint-Paul-de-Serre et Grignols.
Son affluent de rive droite le ruisseau des Chabannes arrose le territoire communal du nord-est au centre sur plus de trois kilomètres et demi.
Le Serre, autre affluent de rive droite du Vern, baigne l'est de la commune sur près d'un kilomètre et demi.
Son affluent de rive droite le Rosier borde le territoire communal à l'est sur 500 mètres, face à Saint-Paul-de-Serre.
Le Vern à Gencille.
Le Vern au pont de la RD 4.
Réseaux hydrographique et routier de Manzac-sur-Vern.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 14 km à vol d'oiseau[22], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].
Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[30].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2022, une ZNIEFF est recensée sur la commune d’après l'INPN[31].
Cette ZNIEFF de type 1[Note 4] concerne certains coteaux du Vern[32],[33], notamment deux petites zones distinctes totalisant une vingtaine d'hectares, au nord de la route départementale 44, près des lieux-dits Lapeyre à l'est, et le Fraisse à l'ouest,. Celles-ci représentent environ 4 % de la superficie totale de cette ZNIEFF où une espèce déterminante de plantes et quatre espèces d'oiseaux protégées au titre de la Directive oiseaux de l'Union européenne ont été répertoriées[32].
Il existe également une ZNIEFF de type 2[Note 5] « Vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, le Salembre, le Jouis et le Vern » qui concerne notamment toute la vallée du Vern depuis l'amont de Bordas jusqu'à sa confluence avec l'Isle[34].
Urbanisme
Typologie
Au , Manzac-sur-Vern est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35].
Elle est située hors unité urbaine[36]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[36]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[37],[38].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (44,6 %), prairies (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), terres arables (4,5 %), zones urbanisées (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
les Péchères (deux lieux-dits du même nom, l'un au nord[41], l'autre, en ruines, au sud[42])
Pinquat
le Poteau
les Pradeaux
Pronchieras
Raynaud
Rouffignac
le Rudelou
Saunerie
le Thur
la Toutardie
les Trimours
Veyrinas.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Manzac-sur-Vern est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].
Manzac-sur-Vern est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[45]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[46],[47].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 91,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[50].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[43].
Toponymie
Selon différentes études, Manzac viendrait soit du latin Manitius[51], soit de Minisius[52], nom de personnage gallo-roman, suivi du suffixe -acum, correspondant au « domaine de Manitius (ou de Minisius) ». Le Vern, accolé au nom en 1911, est le principal cours d'eau qui baigne la commune.
Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[55].
Histoire
Sur le territoire communal, d'antiques traces gallo-romaines ont été identifiées[52].
L'abbaye de Ligueux fonde un prieuré bénédictin au hameau de Pronchères (ou Pontchéras), mentionné dans un texte en 1178 (Ecclesia de Pronchiéras)[52],[56],[57].
La première mention écrite connue du lieu remonte à 1243 sous la forme « Menzac », la graphie actuelle apparaissant en 1382[52].
En 1648, un pouillé recensant les bénéfices de l'archevêque de Bordeaux mentionne le prieuré de Manzac parmi les biens de l'abbaye de Brantôme[58].
Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[60].
Au , Manzac-sur-Vern quitte la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord pour rejoindre la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux[61].
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[62],[63].
Les habitants de Manzac-sur-Vern se nomment les Manzacois[71].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[73].
En 2022, la commune comptait 541 habitants[Note 9], en évolution de −9,38 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En novembre, sur un week-end, biennale de peinture, sculpture et encadrement (19e édition en 2024)[76].
Économie
Emploi
En 2015[77], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 269 personnes, soit 45,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (41) a fortement augmenté par rapport à 2010 (25) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,2 %.
Établissements
Au , la commune compte 51 établissements[78], dont trente-deux au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[79].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Pierre-ès-Liens[57] du XVe siècle a conservé un portail roman du XIIe siècle[80]. Sa façade occidentale date du XIXe siècle et son clocher est de style néogothique. L'intérieur présente des traces de litre funéraire. L'église a été restaurée à la fin des années 1990.
Le presbytère a été ravagé par un incendie au début des années 2000. Sa rénovation l'a transformé en résidence.
Léonce Cubélier de Beynac (-), poète né et décédé à Manzac[86],[87].
Christian Pabœuf (1956...), y habitant depuis 2003, compositeur de musique pour le ciné concert et le théâtre, a écrit et joué les musiques pour la pièce Un petit chaperon rouge du Chantier Théâtre qui a obtenu le "Molière" du meilleur spectacle jeune public 2006[88]. Christian Paboeuf a joué dans 22 pays (Japon, 6 pays du golfe persique, Égypte, Brésil, Ukraine, Sénégal, Guatemala, Costa Rica, Nicaragua, Salvador, Norvège, Tchéquie, etc., dans différents modes d'expression : ciné concerts, théâtre, concerts, sons et lumières. Il est aussi graphiste. Il a enregistré sous son nom ou le nom de sa formation « Il Monstro » 5 CD dont l'un a été enregistré à la Maison de la Radio à Paris, produit par France Musique et distribué par Harmonia Mundi. Plusieurs de ces CD ou de ses concerts ont fait l'objet d'une émission sur France Musique. Il vend des disques aux Etats Unis (soyons juste quelques dizaines...) Il assure les ateliers ciné concert au "Festival International du Film de La Rochelle depuis 2014.
Valentin Huot (1929-2017), champion de France de cyclisme en 1957 et 1958 et coureur du Tour de France, il s'est ensuite reconverti dans la fraisiculture à Manzac-sur-Vern[89].
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1re édition en 1963, (ISBN2-85023-076-6), p. 431.
↑Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN978-2-9501476-1-5), p. 15.
↑Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome I, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN2-84373-341-3), p. 33.
↑ a et bAbbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 56.
↑Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN2-84373-342-1), p. 152.
↑André Bernard et Maurice Biret, Manzac-sur-Vern au fil des siècles, 2003, p. 23-24.
↑Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN2-912347-11-4), p. 98.
↑Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN2-912347-11-4), p. 100.