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Marie Clotilde Gallien-Berthon  Cet article est une ébauche concernant une peintre française. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Marie Clotilde Gallien-Berthon  Portrait de l'artiste à Constantine vers 1900.
Marie Clotilde Gallien-Berthon, née le à Constantine (Algérie) et morte le à Nice, est une peintre française[1]. BiographieMarie Clotilde Gallien, fille d'Alexandre, brigadier de service forestier, et de Rose Marie Deloly, nait en 1870 à Constantine en Algérie et y épouse en 1887 Pierre Berthon, employé de préfecture[2]. Ils auront trois enfants. Son mari décède en 1901 en Algérie, sa mère, veuve depuis 20 ans, en 1911. Fin 1912 la famille Gallien-Berthon vend ses biens à Constantine, dont un établissement de bains et deux maisons, avec entrepôts[3]. Elle est élève des peintres académiques Jules Lefebvre et François Schommer, du portraitiste Marcel Baschet[1] et de l'aquarelliste Mathilde Delattre[4], ainsi que de Henri Royer[5]. C'est une peintre orientaliste, portraitiste et aquarelliste. Elle expose au salon de l'Union des femmes peintres et sculpteurs (1906, 1910[6], 1913[7], 1917, 1918[8], 1922[9], 1923[10], 1925[11], 1929[12], 1933[13])[14], à la Société des amis des arts de Seine-et-Oise (1912[15]), au Salon des artistes français de 1908 à 1953, et en 1960 à titre posthume[16] (1910 (autoportrait)[6], 1913[17], 1920[18], mention honorable en 1925[19], 1927[20], 1929[21]), réalise une exposition particulière à la Maison des Artistes (Avenue de Wagram) en 1921[22], expose à la Société des amis des arts de Bordeaux (1922[4]), à la Société coloniale des artistes français (1924[5]). Elle organise fin 1913-début 1914 à Constantine une exposition conjointe de ses œuvres et de celles de son fils Maurice Alexandre, lui aussi peintre, qui sera tué au front en septembre 1914. À cette occasion la critique considère qu'"elle est entrée résolument dans sa voie, celle du "plein air"[23]. Elle habite 71 rue de Vaugirard à Paris dans les années 1920. En 1930 elle expose à la Galerie de la Fédération française des artistes[24] ; en 1932 elle réalise une exposition particulière de 110 œuvres (études algériennes et grandes aquarelles) à la galerie Bernheim-Jeune[25], une autre à la salle Alexandre Lefranc en fin d'année[26]. Elle expose également dans les années 30 au Salon des médecins[27], son deuxième fils et son gendre s'étant engagés dans la carrière médicale. En 1938 elle participe à Dinard à l'exposition des artistes peintres des salons parisiens[28]. En 1948, alors qu'elle habite Lisieux, elle expose au salon de la Société des beaux-arts de la France d'Outre-mer[29]. Elle décède en 1959 à Nice. Œuvres dans les collections publiques
Notes et références
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