Share to: share facebook share twitter share wa share telegram print page

 

Ouigo

Ouigo
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo de la marque.
Description de cette image, également commentée ci-après
Rames TGV Ouigo sur la LGV Méditerranée,
près de Montboucher-sur-Jabron.
Type Marque
Date d'introduction 2013
Marché(s) Transport ferroviaire de voyageurs
Propriétaire(s) actuel(s)

SNCF Voyageurs ou ses filiales :

Slogan « Let's Go »
Site officiel www.ouigo.comVoir et modifier les données sur Wikidata

Ouigo est le nom du service commercial ferroviaire à bas coûts de SNCF Voyageurs. Il est lancé en France en plusieurs étapes : d'abord avec des rames TGV (spécialement réaménagées) le , puis avec des trains classiques les (pour les liaisons nationales) et (pour la relation avec la Belgique, dans le cadre d'une collaboration internationale avec la SNCB). La marque est aussi déployée en Espagne à partir du (en utilisant des TGV), par le biais d'une filiale créée ad hoc.

Ce service répond à une segmentation du marché (la marque haut de gamme TGV inOui, dévoilée en 2017, s'inscrit également dans cette logique). Sa tarification se rapproche de celles de l'autocar et du covoiturage[1], tandis que le niveau de service est similaire à l'avion (en particulier à bas coûts) avec des délais de présence obligatoire avant le départ et des options payantes (telles que le Wi-Fi dans les TGV[2]).

Histoire

Lancement et fonctionnement

Contrôle des billets avant l'embarquement, en gare d'Avignon TGV.
Intérieur d'une rame TGV Ouigo, au niveau inférieur.

Lancée par la SNCF le sur les liaisons entre Marne-la-Vallée et Marseille ou Montpellier (via Lyon-Saint-Exupéry), l'offre Ouigo, inspirée des compagnies aériennes low cost[3], est présentée dans un contexte de crise économique, qui avait conduit à une baisse de la fréquentation et de la rentabilité des TGV classiques en 2012[4]. Les titres de transport ne sont disponibles qu'en ligne, sur le site officiel Ouigo, mais aussi les sites partenaires : SNCF Connect (principal site commercial de la SNCF), Trainline ou encore Kombo ; néanmoins, les billets peuvent également être achetés en agences de voyages depuis l'été 2024[5].

Comme dans les compagnies aériennes à bas prix, le transport d'un bagage supplémentaire est payant au-delà d'une valise et d'un sac par passager (en outre, la taille maximale d'un bagage doit être de 55 × 35 × 25 cm, afin de pouvoir être mis sous le siège[6]). De même, les titres de transports (imprimables quatre jours avant le départ) sont contrôlés avant la montée dans le train ; cela implique pour les clients de devoir se présenter au plus tard cinq minutes avant le départ du train[7]. L'utilisation de l'outil de production est maximisée : les trains circulent en moyenne 13 heures par jour, soit le double des TGV classiques, et sont entretenus uniquement la nuit. Les trains offrent 20 % de places en plus en supprimant la première classe et la voiture-bar, et en utilisant un type de sièges moins larges. Le coût de production d'une place dans un TGV Ouigo est donc 50 % moins élevé que celui d'une place dans un TGV classique[8]. Ce principe a des conséquences sur le fonctionnement des équipements de confort ainsi que la propreté, d'autant plus qu'il n'y a pas assez de rames de réserve pour prendre le temps de traiter efficacement les problèmes[9] ; la sécurité des circulations est de surcroît remise en question par les syndicats (à la suite d'un incident grave concernant les essieux d'une rame TGV en ), tandis que SNCF Voyageurs se veut rassurante[10].

Contrairement à iDTGV (dissoute fin 2017), Ouigo n'est pas une filiale indépendante, mais constitue un service spécifique au sein de la maison-mère SNCF, plus précisément la branche Voyages SNCF[11]. Pour les cheminots travaillant pour la marque Ouigo, des conditions de travail spécifiques ont toutefois été négociées[12], sans pour autant modifier leur statut (il n'y a d'ailleurs aucune particularité concernant les conducteurs, si ce n'est qu'ils s'occupent du dégarage des rames et de les amener au nettoyage, contrairement à leurs collègues dans la majorité des cas)[13].

Selon la chercheuse en sciences sociales Dominique Memmi, Ouigo réintroduirait implicitement un service de « troisième classe qui ne dit pas son nom », en proposant une prestation qualifiée de minimale[14]. Bien que ce service ait fait perdre des passagers aux TGV « premium » (désormais exploités sous la marque TGV inOui), il permet à la SNCF de mieux occuper le terrain face à la concurrence intermodale (avion, covoiturage, autocars) mais aussi intramodale[3]. De surcroît, il s'avère que les TGV inOui et les trains Ouigo sont complémentaires, les premiers circulant surtout aux heures de pointe, pour transporter la clientèle professionnelle (généralement peu sensible au prix, mais il lui arrive d'utiliser Ouigo[5]), tandis que les seconds sont plutôt positionnés en dehors de ces périodes, pour les voyageurs de loisirs (qui portent surtout leur attention au coût) ; la fréquence de chaque service est en outre adaptée aux destinations desservies, selon des variables sociodémographiques (notamment la taille des villes et leur pyramide des âges) et l'importance de la concurrence intermodale précitée[15]. In fine, cela améliore les profits de l'entreprise ferroviaire[15].

En 2024, Ouigo est classée 25e sur 27 (bien qu'elle arrive à la 2e place pour le seul critère des prix) dans le classement des compagnies ferroviaires européennes établi par l'organisation Transport & Environnement[16].

Extensions du réseau

Des liaisons supplémentaires sont créées le  : de Tourcoing (dans la métropole de Lille) à Lyon-Perrache, Nantes et Rennes, avec des arrêts dans des gares intermédiaires du parcours[17].

La SNCF lance une liaison vers Strasbourg le , ainsi qu'une autre vers Bordeaux à la même date, le tout à partir de Roissy, Marne-la-Vallée et Massy[18].

En outre, le service Ouigo est également disponible au départ ou à destination des gares principales de Paris, pour attirer une clientèle supplémentaire[19]. C'est déjà le cas de Paris-Montparnasse-Vaugirard, depuis le [20] (puis les halls 1 et 2 de Paris-Montparnasse au lieu de Vaugirard, depuis [21]). Paris-Est est à son tour desservie à partir du  ; depuis cette dernière, les trains atteignent, outre Strasbourg (initialement desservie depuis Roissy[22]), Metz, Nancy (dont la desserte est néanmoins supprimée en [23]) et Colmar[24] (desserte également arrêtée en ). Depuis le de la même année, le service utilise aussi Paris-Gare-de-Lyon (en ajoutant la destination de Nice) et, par ailleurs, Lille-Flandres (en plus de Tourcoing)[25].

Enfin, une relation Paris-Montparnasse – Toulouse est mise en place le [26].

Depuis le , Paris-Gare-de-Lyon est également le point de départ d'allers-retours vers les deux gares de Nîmes et de Nîmes-Pont-du-Gard, ainsi que les deux gares de Montpellier-Saint-Roch et de Montpellier-Sud-de-France[27] ; à cela s'ajoute Lyon-Perrache (via Lyon-Part-Dieu), depuis le [28].

À partir du , une relation hivernale entre Aéroport Charles-de-Gaulle TGV et Marne-la-Vallée-Chessy, d'une part, et Bourg-Saint-Maurice, d'autre part, est mise en place (pour l'Île-de-France, elle est toutefois reportée à Paris-Gare-de-Lyon le ) ; elle dessert les gares de Lyon-Saint-Exupéry, Grenoble, Albertville, Moutiers-Salins-Brides-les-Bains et Aime-La Plagne[29],[30],[31].

Le , Ouigo atteint, depuis Paris, Perpignan (via Sète, Agde, Béziers et Narbonne), dans le prolongement de la desserte de Montpellier[32].

Le , une nouvelle relation entre Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV et Toulon est créée ; elle dessert les gares de Marne-la-Vallée-Chessy, Lyon-Saint-Exupéry et Aix-en-Provence TGV[33].

En , la liaison Paris – Hendaye (via Dax, Bayonne, Biarritz et Saint-Jean-de-Luz) sera lancée. Il est aussi projeté de créer une relation entre Paris-Nord et Lille-Flandres[34].

Ouigo Train Classique

Rame Ouigo Train Classique sur la ligne de Tours à Saint-Nazaire, près de Saint-Georges-sur-Loire.
Rame Ouigo Train Classique, en gare de Mons.

Depuis le , la filiale « Oslo » (signifiant « Offre de services librement organisés ») de SNCF Voyageurs exploite une offre ferroviaire dénommée Ouigo Train Classique[35]. Cette nouvelle offre succède au service Intercités 100 % Éco, supprimé en [36]. Proposant uniquement la seconde classe, ces trains effectuent d'abord les liaisons Paris-Bercy – Lyon-Perrache via Dijon-Ville et Paris-Austerlitz – Nantes via Chartres ou Les Aubrais[35],[37]. Le prix du billet, là encore vendu uniquement sur Internet, oscille entre 10 et 49 euros[38].

En , des extensions du réseau Ouigo Train Classique (dessertes de Lille-Flandres, Bruxelles-Midi, Rennes, Bordeaux-Saint-Jean et Marseille-Saint-Charles) sont envisagées par SNCF Voyageurs, compte tenu du succès commercial rencontré par le service (mais également pour mieux concurrencer l'utilisation de la voiture)[39]. La liaison Paris-Austerlitz – Rennes, via Chartres, est donc ajoutée le [40]. Par contre, la relation entre Paris et Lyon est supprimée en de la même année à cause d'une rentabilité insuffisante, mais aussi en raison d'importants travaux menés par SNCF Réseau qui limitaient déjà les périodes de circulations aux week-ends ; le matériel roulant est alors redéployé sur les liaisons Paris – Nantes et Paris – Rennes (cette dernière étant d'ailleurs renforcée par un deuxième aller-retour)[41],[42].

Exploitée conjointement avec la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB), la liaison internationale — ce qui constitue une première pour Ouigo — entre Paris-Nord et Bruxelles-Midi, effectuée en trois heures via Creil, Aulnoye-Aymeries et Mons, est lancée le [43],[44],[42] ; un arrêt à Saint-Quentin doit être ajouté à partir du [45]. Pour cette relation, le prix du billet varie entre 10 et 59 euros[46]. Le personnel qui y est affecté n'est pas celui d'Oslo, mais provient de la SNCB ou de la filiale « Trains Spéciaux » de la SNCF[43]. Cela permet de réintroduire un service ferroviaire à bas coûts entre les capitales française et belge, qui avait déjà existé entre et avec les trains de la marque Izy[44].

Déploiement de la marque en Espagne

Carte des lignes et des gares espagnoles desservies.

En , une annonce dévoile la création d'une ligne entre Madrid et Barcelone. Cette ligne assurera, dans un premier temps, cinq allers-retours quotidiens entre la gare de Madrid-Atocha et celle de Barcelone-Sants, avec des arrêts intermédiaires à Saragosse-Delicias et Tarragone[47]. Ce service n'est pas exploité directement par la SNCF, mais par sa filiale espagnole Ouigo España ; le montant des investissements s'élève à 600 millions d'euros[48].

Contrairement aux trains Ouigo en France, les rames espagnoles sont équipées d'une voiture-bar appelée « Ouibar[47] », ainsi que d'une première classe accessible avec l'option « Ouigo Plus », tout en proposant des tarifs plus bas que dans les AVE (dont le positionnement a toujours été haut de gamme) de la Renfe[49]. Cette dernière réagit en créant Avlo, pour concurrencer Ouigo[49].

Le lancement de la première ligne, initialement prévu pour , a été repoussé à puis, finalement, à à cause de la pandémie de Covid-19[47],[50]. Depuis le , cinq allers-retours Ouigo sont effectivement mis en place sur la liaison Madrid – Barcelone, après la circulation d'une rame inaugurale le [51]. Le réseau s'étend ensuite à la relation entre Madrid-Chamartín et Valence (en )[52], puis atteint Alicante (en )[53], Valladolid[54] (en ) et Murcie (en )[55],[56]. L'Andalousie (Cordoue, Séville et Malaga) est desservie à partir du [57].

Matériel roulant

TGV Ouigo

En France

Rame TGV Ouigo, en gare de Lyon-Saint-Exupéry TGV.

Le matériel affecté au service Ouigo est constitué de rames TGV à deux niveaux dédiées, constituées de motrices de la génération Dasye, et de voitures de la première génération des TGV Duplex aménagées pour pouvoir transporter 20 % de passagers en plus[58] (une rame Ouigo en unité simple peut en effet contenir 634 voyageurs, contre 510 sur une rame standard). Ce gain en capacité est rendu possible par moins d'espace pour les bagages, l'absence de première classe et de voiture-bar, et par l'utilisation d'un autre type de sièges[58],[59]. En 2024, le réseau dispose de 38 rames ; douze rames supplémentaires (dont l'aménagement intérieur, appelé « Tango », intègrera un nouveau type de siège permettant une capacité unitaire de 653 places, des prises électriques et USB, ainsi que huit crochets à vélo (soit seize pour les rames couplées), sont prévues entre 2025 et 2027[34].

Les rames Ouigo sont entretenues la nuit dans les technicentres SNCF de Lyon-Gerland[60], de Marseille, de Châtillon, du Landy (Saint-Denis)[61] et de Tourcoing[62], ainsi que dans le technicentre Est Européen (implanté sur les communes de Pantin et de Bobigny)[63].

En Espagne

Rame TGV Ouigo, en gare de Barcelone-Sants.

Le service est assuré par des rames Euroduplex spécifiques, dont le nombre devrait à terme atteindre 14. Ces rames ont été prélevées dans le parc de la SNCF (série 800), puis rendues aptes à rouler sur le réseau de l'ADIF ; elles sont partiellement réaménagées, tout en conservant la voiture-bar et la première classe[49]. Elles sont basées à Cerro Negro, dans la banlieue sud de Madrid, et sont entretenues par Alstom sur trois sites de la Renfe[47].

Ouigo Train Classique

En France (liaisons nationales)

Le service utilise neuf locomotives BB 22200[64] et 36 voitures Corail[65],[35]. Chaque train, comportant huit de ces voitures (qui sont toutes de seconde classe), permet de transporter jusqu'à 640 voyageurs[35],[37].

Entre la France et la Belgique (liaison internationale)

La relation Paris-Nord – Bruxelles-Midi utilise trois rames composées chacune de huit voitures I11 (pelliculées Ouigo), tractées par des locomotives de la série 18, ces matériels appartenant à la SNCB[43],[44].

Résultats

France

Entre et , deux millions et demi de personnes ont voyagé dans un train Ouigo[66] (la barre des deux millions de billets vendus a été atteinte en [67]).

Début , la direction indique que le seuil de rentabilité est atteint, et que trois millions et demi de passagers ont déjà été transportés[68].

Pour 2016, la SNCF annonce avoir transporté 5,1 millions de voyageurs[69]. L'offre représente désormais 5 % du trafic des TGV, dont 15 % sur la ligne Marseille – Paris[70]. De plus, sa direction indique que 40 % des passagers n'auraient pas voyagé si Ouigo n'avait pas existé[71]. Selon les prévisions de la SNCF, la barre des 7 millions devait être franchie en 2017 grâce aux nouvelles dessertes de Bordeaux et Strasbourg[8]. Ce chiffre a effectivement été dépassé en 2017 avec 7,5 millions de voyageurs transportés. En 2018, la croissance du trafic s'est poursuivie pour atteindre 11,6 millions de passagers[72].

Au début de 2017, les trains Ouigo sont remplis en moyenne à 88 %, soit vingt points de plus que les TGV classiques[8]. L'objectif de la SNCF est alors que la part de Ouigo dans le trafic des TGV atteigne 25 %, représentant 25 millions de passagers, à l'horizon 2020[19].

Le chiffre d'affaires de Ouigo dépasserait un milliard d'euros en 2022, d'après le cabinet Asterès[42]. En , Ouigo a transporté plus de 110 millions de voyageurs depuis son inauguration effectuée dix ans auparavant[3].

En 2027, Ouigo devrait transporter 33 millions de clients, représentant 30 % du trafic réalisé par les trains à grande vitesse de la SNCF[9].

Ouigo Train Classique

Entre 2022 et 2024, 3,5 millions de voyageurs ont emprunté les trains de ce réseau[42].

Espagne

En 2023, l'activité enregistre une augmentation de 53 % du nombre de voyageurs (atteignant 4,6 millions), qui ont engendré une croissance de 31 % des revenus (s'établissant à 139 millions d'euros). Cependant, en raison de la guerre des prix créée par une forte concurrence, les pertes sont en hausse de 17 % (qui représentent ainsi 42,7 millions d'euros)[55].

Les pertes cumulées atteignent d'ailleurs 121 millions d'euros. Eu égard aux prix bas pratiqués par Ouigo malgré les pertes, la Renfe estime qu'il s'agit d'une concurrence déloyale[56].

Notes et références

  1. Camille Kaelblen, « Ouigo, Ouibus, Blablacar : comment voyager à moindre frais ? », sur rtl.fr, (consulté le ).
  2. Romain Pomian-Bonnemaison, « Les trains OUIGO activent le Wifi, joie chez les voyageurs », sur presse-citron.net, (consulté le ).
  3. a b et c David Barroux, « La SNCF fête les 10 ans de l’incroyable succès du TGV Ouigo », sur radioclassique.fr, (consulté le ).
  4. Aubin Busalb et Nathalie Arensonas, « La SNCF lance son TGV anti-crise », sur mobilicites.com, (version du sur Internet Archive).
  5. a et b Stéphane Jaladis, « Ouigo : réservations facilitées pour les voyageurs d’affaires », sur voyages-d-affaires.com, (consulté le ).
  6. Even Vallerie, « SNCF. Comment les TGV Ouigo réussissent à casser les prix », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  7. « Combien de temps faut-il être en gare avant le départ de mon train ? », sur ouigo.com (consulté le ).
  8. a b et c Lionel Steinmann, « La SNCF va quintupler son offre de TGV low cost », lesechos.fr, (consulté le ).
  9. a et b Pauline Damour, « Toilettes bouchées, retards, annulations… pourquoi les TGV Ouigo sont en surchauffe », sur challenges.fr, (consulté le ).
  10. Olivier Chicheportiche, « « Des épaves » : les syndicats de la SNCF déplorent l'état des rames des TGV Ouigo », sur bfmtv.com/economie, (consulté le ).
  11. Lionel Steinmann, « Avec Ouigo, comment la SNCF a fait du low cost sans susciter de mouvements des cheminots », lesechos.fr, (consulté le ).
  12. Stéphane Lauer, « Avec Ouigo, la SNCF arrête de mener grand train », sur lauer.blog.lemonde.fr, (version du sur Internet Archive).
  13. Par AFP, « TGV Ouigo, une organisation du travail aux coûts resserrés », sur lexpansion.lexpress.fr, (version du sur Internet Archive).
  14. Dominique Memmi, « Le retour de la 3e classe ? », sur laviedesidees.fr, (consulté le ).
  15. a et b Caroline Nourry, « Révolution sur les rails : comment le low cost défie le TGV traditionnel », sur theconversation.com, (consulté le ).
  16. Stéphane Jaladis, « Eurostar, lanterne rouge du classement des compagnies ferroviaires en Europe », sur voyages-d-affaires.com, (consulté le ).
  17. « Tourcoing: La gare de Tourcoing s’apprête à accueillir les Ouigo », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  18. « Ouigo ouvre ses ventes été et lance Bordeaux et Strasbourg », sur tourmag.com, (consulté le ).
  19. a et b Florence Guernalec, « Ouigo, l'arme fatale de la SNCF pour se donner de l'air », sur mobilicites.com, (version du sur Internet Archive).
  20. Clémentine Maligorne, « SNCF : ce qui attend les usagers du rail cette année : Les TGV Ouigo vont doubler », sur lefigaro.fr/economie, (consulté le ).
  21. Rail Passion no 255 (), Brèves : M.C., « Ouigo rejoint Montparnasse » (p. 11).
  22. Céline Rousseau, « SNCF : Strasbourg - Paris (Gare de l'Est) en Ouigo possible dès cet été », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  23. Mickaël Demeaux, « Fin du TGV Ouigo à Nancy : colère au Département », sur estrepublicain.fr, (consulté le ).
  24. Le Figaro.fr avec AFP, « SNCF: une nouvelle gare à Montpellier et Ouigo à la Gare de l'Est dès samedi », sur lefigaro.fr/economie, (consulté le ).
  25. Jean-Baptiste Duval, « TGV Ouigo: la carte des nouvelles destinations "soleil" au départ de Paris (en plus des autres) », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  26. Anthony Assemat, « SNCF : c’est parti pour la ligne Ouigo et ses billets à 19  entre Toulouse et Paris », sur actu.fr, Actu Toulouse, (consulté le ).
  27. « Le TGV Ouigo desservira Nîmes et Montpellier depuis la gare de Lyon », sur midilibre.fr, (consulté le ).
  28. Benjamin Terrasson, « Lyon : le premier OuiGo au départ du centre de Lyon vers Paris est parti », sur lyoncapitale.fr, (consulté le ).
  29. « Des trains Ouigo vont relier l’Île de France aux Alpes à partir du  », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  30. L. Levert, « Des Ouigo à Grenoble et Bourg-Saint-Maurice », sur railpassion.fr, (consulté le ).
  31. Elsa Rouden, « La montagne sans voiture : voici les stations de ski accessibles en TGV OUIGO depuis Paris », sur femina.fr, (consulté le ).
  32. Yann Gonon (avec l'AFP), « SNCF : Perpignan desservi par le TGV low-cost Ouigo au départ de Paris dès le lundi  », sur france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie, (consulté le ).
  33. Clément Peltier, « Train : un nouveau Ouigo entre Toulon et Roissy-Charles de Gaulle », sur lechotouristique.com, (consulté le ).
  34. a et b Stéphane Jaladis, « La SNCF va booster Ouigo d’ici 2027 », sur voyages-d-affaires.com, (consulté le ).
  35. a b c et d P. L. et M-H P., « La SNCF siffle le départ des nouveaux trains classiques Ouigo », sur lettreducheminot.fr, (consulté le ).
  36. Europe 1 avec AFP, « La SNCF va lancer des Ouigo roses, pas chers et à petite vitesse », sur europe1.fr, (consulté le ).
  37. a et b Adeline Daboval, « Paris-Lyon, Paris-Nantes : Ouigo va lancer des trains low-cost sur des lignes classiques », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  38. « Voyagez avec OUIGO Train Classique », sur sncf-connect.com (consulté le ).
  39. Stéphanie Bascou, « La SNCF veut étendre son offre de train low cost à petit prix pour concurrencer la voiture », sur capital.fr, (version du sur Internet Archive).
  40. Eric Bouvet, « Des trains Rennes-Paris via Laval et Le Mans, à partir de 10 euros, en plus de 4 heures », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  41. Valérie Bruno, « Paris-Lyon en train Ouigo classique, c’est fini », sur leprogres.fr, (consulté le ).
  42. a b c et d Sébastien Pommier, « À la SNCF, les « Ouigo Train Classique », nouvelle vitrine du voyage populaire », sur capital.fr, (consulté le ).
  43. a b et c Thibault Lapers, « OUIGO Train Classique Bruxelles - Paris officialisé », sur mobilithib.substack.com, (consulté le ).
  44. a b et c Alban Barthélemy, « Paris-Bruxelles en 3 heures et à prix doux : nous avons testé la nouvelle ligne OuiGo à petite vitesse », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  45. Jérôme Hémard, « Le train Paris-Bruxelles s’arrêtera bien en gare de Saint-Quentin dès le  », sur aisnenouvelle.fr, (consulté le ).
  46. « OUIGO débarque en Belgique, à vous les billets de train dès 10  pour Bruxelles ! », sur ouigo.com, (consulté le ).
  47. a b c et d L. Levert, « Ouigo España dévoile son offre », sur railpassion.fr, (consulté le ).
  48. « « Avec plus de 600 millions d'euros investis, nous sommes en Espagne pour longtemps » prévient la directrice générale de Ouigo Espagne », sur ville-rail-transports.com, (consulté le ).
  49. a b et c François Delétraz, « En Espagne, la SNCF propose un Ouigo avec première classe et bar », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  50. (es) África Semprún, « SNCF retrasa la entrada de OuiGo al 10 de mayo con billetes a nueve euros », sur eleconomista.es, (consulté le ).
  51. Martial Mehr, « Train "low cost" - La SNCF déploiera ses TGV Ouigo en Espagne à partir du  », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  52. (es) « ¡OUIGO abre hoy la venta de billetes para viajar entre Valencia y Madrid desde 9 ! », sur ouigo.com, (consulté le ).
  53. « Ouigo Espagne lance une nouvelle ligne entre Madrid et Alicante », sur ville-rail-transports.com, (consulté le ).
  54. P.A., « Espagne : Ouigo obtient une nouvelle ligne TGV pour concurrencer la Renfe », sur lefigaro.fr/economie, (consulté le ).
  55. a et b (es) Diana Ramón Vilarasau, « Ouigo ya conecta Murcia con Madrid en Alta Velocidad », sur hosteltur.com, (consulté le ).
  56. a et b Aurélie Chamerois, « Ouigo, toujours en quête de rentabilité en Espagne », sur equinoxmagazine.fr, (consulté le ).
  57. Sandrine Morel, « Ouigo débarque en Andalousie et aspire à « devenir opérateur de référence en Espagne » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  58. a et b « TGV « low cost » : lancement au printemps entre Marne-la-Vallée et Marseille… et plus tard vers le Nord (VIDÉO) », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  59. Mélanie Taravant avec Gaétan Supertino et Marc Bourreau, « Les TGV low cost bientôt sur les rails », sur europe1.fr, (version du sur Internet Archive).
  60. Philippe Jacqué, « Ouigo, ou comment améliorer la productivité de la SNCF », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  61. France 3 (France Télévisions), « SNCF : au cœur d'un technicentre francilien », sur francetvinfo.fr, (consulté le ) : « Eurostar, TGV, Thalys, Ouigo, tous sont soumis à des analyses très précises ».
  62. Rail Passion no 237 () : « Ouigo tisse sa toile », p. 36.
  63. « Le technicentre SNCF de Bobigny/Pantin recrute des opérateurs de maintenance en CDI et CDD », sur est-ensemble.fr, (consulté le ) : « Il est en charge de la maintenance de 49 rames TGV (26 rames roulant sur le territoire français, 23 rames Euroduplex, 2 rames Ouigo et 20 Régiolis) ».
  64. P. L., « Premier aperçu du Ouigo Train classique », sur lettreducheminot.fr, (consulté le ).
  65. Pauline Damour, « Premier aperçu du Ouigo Train classique, la nouvelle offre de la SNCF à petits prix et à petite vitesse », sur challenges.fr, (consulté le ).
  66. Avec AFP, « Ouigo, le TGV à bas prix, s'ouvre aux groupes et tour-opérateurs », sur challenges.fr, (version du sur Internet Archive).
  67. AFP, « Le TGV low-cost Ouigo franchit le cap des 2 millions de billets vendus », sur lefigaro.fr/economie, (consulté le ).
  68. Marine Vautrin, « La SNCF étoffe son offre low-cost », sur reponseatout.com, (version du sur Internet Archive).
  69. Vincent Vérier, « SNCF : le TGV low-cost Ouigo étend sa toile », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  70. Fabrice Gliszczynski, « TGV low-cost : jusqu'où pousser Ouigo ? , s'interroge la SNCF », sur latribune.fr, (consulté le ).
  71. France 2 (France Télévisions), « SNCF : multiplication par cinq du trafic de "Ouigo" », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  72. Marine Thoron, « SNCF : le nombre de passagers du Ouigo vers le Sud a doublé en un an », sur capital.fr, (consulté le ).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes

Prefix: a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9

Portal di Ensiklopedia Dunia

Kembali kehalaman sebelumnya