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De 1790 jusqu'au , le département incluait également l'arrondissement de Grasse. À la suite de cette modification, le Var ne coule plus aujourd'hui dans le département auquel il a donné son nom.
Histoire politique et rapports de force
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Le Var est connu pour être très impulsif dans ses choix politiques et souvent en décalage avec les opinions nationales. Département laïc, il se rapproche un peu de la géopolitique du département des Bouches-du-Rhône. Sous la Révolution, une partie a soutenu la révolte fédéraliste de Toulon de 1793. Par la suite, il fait partie intégrante du Midi blanc, au sein d'un courant conservateur et royaliste.
En 1851, beaucoup de Varois ont soutenu la révolte contre le coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte. Le département possédait également, spécifiquement au sein du Midi rouge, la dénomination de « Var rouge » de 1851 à 1985, avec l'existence d'un important mouvement républicain lors du Seconde Empire, puis radical-socialiste. Ceci s'explique par la sociologie et l'économie particulière du département : avant tout rural (et viticole), mais également ouvrier par la présence du bassin industriel lié à l'arsenal maritime et l'existence d'une bourgeoisie toulonnaise décentralisée vis-à-vis de Paris. Dans la période de l'Après-guerre, le reflux du militantisme politique, l'installation importante de Pieds-noirs rapatriés et de néoretraités et l'évolution de la région devenue touristique, fait disparaitre l'influence du socialisme. Le département subit également l'influence des Alpes-Maritimes (le plus important organe de presse régionale dans l'est du département étant Nice-Matin proche du pouvoir médeciniste) au point qu'il faille parler de « Var bleu » après 1984[1].
À partir des années 1980, le Var glisse progressivement à droite, comme en témoigne le basculement du conseil général en 1985 ; à cette date, Édouard Soldani, président socialiste du département cède son siège à Maurice Arreckx (UDF). Le département donne également de très bons scores au Front national, notamment par la prise de Toulon en 1995. Ce changement géopolitique est en grande partie lié aux mutations sociologiques et économiques du département qui ont commencé vers les années 1970. Par ailleurs la classe politique varoise a plusieurs fois été marquée par des scandales, que ce soit de corruption ou de complicités avec le banditisme local, avec l'assassinat de la députée Yann Piat en 1994.
Lors des élections départementales de 2015, l'Union de la droite remporte les élections avec 40 sièges, les 6 autres sièges sont remportés par le FN[2].
La préfecture du Var est localisée à Toulon. Le département possède en outre trois sous-préfectures à Brignoles et Draguignan. L'arrondissement de Grasse a été transféré dans le département des Alpes-Maritimes en 1860.
François Léotard démissionne le 2 juillet 1992. Cet événement intervenant moins d'un an avant les élections suivantes de 1993, le siège est laissé vacant.
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Lors de cette élection le centre-droit porté par l'UDF fait basculer le département, après plus de 84 ans de domination par la SFIO. Cette élection marque la fin du « Var rouge ». Maurice Arreckx, député-maire de Toulon, est élu président du Conseil général du Var. À La Seyne, le maire Charles Scaglia (UDF), précède le communiste Maurice Paul de cinq voix. Cette élection estannulée. Un nouveau vote a lieu les 2 et 9 novembre 1986.
En raison du détachement de l'arrondissement de Grasse en 1860, la 3e circonscription du Var est supprimée en 1863. Aimé Lescoat de Kervéguen décéde en 1868, il remplacé par Pons Peyruc.