Il s'agit du premier sommet du G20 à se tenir au Japon[2].
Les rencontres bilatérales menées en marge du sommet, notamment entre les États-Unis et la Chine, reçoivent plus d'importance que le sommet lui-même, certains observateurs pensant que le format de la réunion est devenu obsolète[3].
A l'issue du sommet, tous les pays sauf les États-Unis ont réaffirmé leur engagement de respecter l'accord de Paris sur le climat[8].
Les 20 pays se sont engagés « pour un commerce international juste, transparent et sans discrimination »[8],[9].
Critiques
Des ONG critiquent la partie du communiqué final du sommet du G20 dite « Osaka Blue Ocean Vision » car elle serait trop floue et manquerait de détails concrets d'application et car elle ne s'attaquerait pas à la production-même d'objets en plastique, seulement au traitement des déchets[10].
32 000 policiers sont déployés pour la sécurité du sommet[12] et 160 km de routes, en particulier de nombreuses portions du réseau autoroutier Hanshin et le pont Sky Gate Bridge R, sont réservés à la circulation des participants au sommet les 27 et [13].
Un peu moins de 700 écoles de la préfecture d'Osaka sont fermées pendant deux jours en raison de l'organisation du sommet[12].
Le quartier rouge de Tobita Shinchi a volontairement décidé d'interrompre ses activités pendant le sommet; de même, l'association locale d’établissements de pachinko s'est abstenue de remplacer ses machines pendant le mois de juin afin de ne pas donner de travail supplémentaire aux forces de police, car les nouvelles machines doivent être visuellement vérifiées et homologuées par la police avant de pouvoir servir[14].