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Tombeau du jardin

Tombeau du jardin
Tombeau du jardin.
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Le tombeau du jardin est un tombeau vide qui se trouve dans un jardin à Jérusalem et est reconnu par les protestants et les évangéliques comme le tombeau de Joseph d'Arimathie dans lequel, selon les évangiles, il aurait mis Jésus de Nazareth après sa crucifixion avant sa résurrection trois jours après. Il est situé en dehors des murs de la ville antique et à proximité de la Porte de Damas près de la « falaise du crâne ». Le jardin est administré par la Garden Tomb Association, membre de l’Alliance évangélique mondiale.

Histoire

Panneau près du tombeau, citant l'Évangile de Jean 19:40-42 qui mentionne le tombeau du jardin.
Intérieur du tombeau.

Le tombeau taillé dans la roche a été découvert en 1867 par des archéologues et a été proposé comme le site de l'enterrement et de la résurrection de Jésus, à la place de l'église du Saint-Sépulcre[1].

La Garden Tomb Association, une fondation basée en Grande-Bretagne, a acheté pour 2 000 livres sterling le Jardin de la Tombe en 1894 dans l'optique de préserver le site qu'elle considère être le jardin de Joseph d'Arimathie dans lequel Jésus aurait été enterré après la Crucifixion, c'est-à-dire le tombeau du Christ[2]. La fondation a aménagé un jardin fleuri de géraniums et de lauriers-roses en référence à celui de Joseph d'Arimathie qui selon les évangiles possédait le jardin où se trouvait le tombeau où Jésus a séjourné pendant un ou deux jours avant de ressusciter[3].

Les protestants, dont les évangéliques, considèrent le site comme le tombeau de Jésus[4].

En 1992, le jardin et le tombeau recevaient chaque année près de 100 000 touristes et pèlerins[5].

Le jardin est administré par la Garden Tomb Association, membre de l’Alliance évangélique d'Israël et de l’Alliance évangélique mondiale [6].

Origines

Dans la Bible, le Golgotha est le site où a eu lieu la crucifixion de Jésus de Nazareth. On en trouve l'évocation dans les évangiles qui expliquent que le terme signifie « lieu du crâne ». Le terme grec des évangiles (Γολγοθᾶ[ς]) vient de l'araméen gulgūltá signifiant « crâne »[7] qui se dit calva en latin, d'où dérive le mot « calvaire ».

La localisation se fonde sur la référence de l'Évangile selon Jean, qui relate que Jésus aurait été enterré dans le tombeau de Joseph d'Arimathie, dans un jardin [2]:

« Or, il y avait un jardin dans le lieu où Jésus avait été crucifié, et dans le jardin un sépulcre neuf, où personne encore n'avait été mis. [...] Ce fut là qu'ils déposèrent Jésus, à cause de la préparation des Juifs, parce que le sépulcre était proche[8]. »

Tranchée creusée devant l'entrée du tombeau lors des fouilles menées par Conrad Schick en 1889[9].

Identification des sites chrétiens

Au Ier siècle

Le plan de la nouvelle ville d'Aelia Capitolina, avec deux paires de routes principales : cardo (nord-sud) et Decumanus (est-ouest) dans Aelia Capitolina. Les deux cardines convergeaient sur une place semi-circulaire près de la porte de Damas. Le Temple de Vénus situé au centre de la cité sera détruit pour y construire l'église du Saint-Sépulcre sur le lieu supposé du Golgotha.

Après la crucifixion de Jésus, Jérusalem a connu plusieurs bouleversements. Notamment d'importantes destructions ont eu lieu pendant le siège de Jérusalem et surtout la ville a entièrement été rasée à l'issue de la défaite de la révolte de Bar Kokhba (135), en représailles à cette révolte[10]. Les sources juives et chrétiennes mentionnent qu'après la destruction de la ville le légat romain a fait passer une charrue pour labourer la surface de la nouvelle cité. Une nouvelle ville appelée Ælia Capitolina est alors construite sur l'emplacement de Jérusalem dans des dimensions plus petites que la ville juive[11], sur le plan d'une colonie romaine[10]. Les Juifs, toutes tendances confondues sont expulsés de la ville comme de l'ensemble de la Chôra[10], qui s'étend sur une partie importante de la Judée[10]. Les survivants du mouvement nazôréen créé par Jésus ont été expulsés de la ville avec les autres juifs[12],[13]. Ils se replient vers le nord et s'implantent en Galilée dans la région de Nazareth et de l'autre côté du Jourdain sur le Golan[14] et en Bathanée. Les Juifs — et donc aussi les nazôréens[13] — sont désormais interdits de droit de cité à Ælia sous peine de mort, sauf le 9 Ab du calendrier hébraïque « où ils ont le droit de venir se lamenter sur les ruines du Temple afin d'en commémorer la chute ou ses [deux] chutes successives[15]. » Cette interdiction est maintenue, jusqu'à ce qu'elle soit renouvelée par les empereurs chrétiens[16]. La localisation des sites mentionnés dans les textes juifs a ainsi été perdue et par exemple le mont Sion cesse de désigner l'Ophel et le mont du Temple pour se transférer sur le site actuel[17],[18].

Au IVe siècle

Golgotha voulant dire « lieu du crâne », Jésus aurait été crucifié sur le plateau situé au-dessus de cette forme de « crâne » (photo prise en 1901).

Après la conversion de l'empereur Constantin (313), les autorités chrétiennes et impériales cherchent à identifier les grands lieux de la vie de Jésus pour y installer des églises chrétiennes. C'est à ce moment que le Golgotha est situé sur le lieu où sera construit l'église du Saint-Sépulcre et où se trouve alors un Temple dédié à Vénus qui sera démoli pour la circonstance[19]. Aucun lieu de culte chrétien, pas même le Golgotha, n'est historiquement attesté à Jérusalem avant le IVe siècle[20]. Il existe plusieurs traditions contradictoires qui expliquent comment le site a été identifié. Dans l'une d'entre elles, l'évêque Macaire de Jérusalem révèle à l'empereur Constantin l'emplacement où fut crucifié et enterré « le Christ », lors du premier concile de Nicée[21] (325). Des légendes ont aussi été construites qui font jouer un grand rôle à Hélène, la mère de Constantin, qui s'est rendue en « Terre sainte » vers 326-328[22]. L'évêque métropolite de Palestine, Eusèbe de Césarée, qui écrit sa Vie de Constantin, avant que les légendes impliquant Hélène n'apparaissent, donne une troisième version. Selon lui, la plupart des travaux pour la construction de la Basilique avaient déjà eu lieu sur l'ordre de Constantin lorsque Hélène est arrivée à Jérusalem[23]. Sur la base des écrits chrétiens de l'époque et notamment ceux d'Eusèbe, plusieurs critiques estiment que Constantin a choisi de construire sa Basilique dédiée à la crucifixion de Jésus sur le site qu'occupait le temple de Vénus, car celui-ci se trouvait au centre de la cité à l'endroit le plus glorieux pour commémorer l'événement le plus important du christianisme[24]. Le fait que la construction de cette basilique à cet endroit impliquait de détruire un temple païen ne devait pas déplaire aux autorités chrétiennes, le Temple de Vénus ayant été construit en 135-150, lors de la construction d'Ælia Capitolina « sans avoir le moindre objectif de recouvrir un lieu saint chrétien[24]. »

Arguments avancés

Le premier qui semble avoir proposé de situer la crucifixion de jésus sur le plateau au-dessus de la « falaise du crâne » semble être un théologien allemand nommé Otto Thenius[25] qui fit cette proposition en 1842[26]. En 1881, le lieutenant Conder, en mission archéologique pour le compte du Palestine Exploration Fund a ensuite repris cette proposition[27]. Lorsque le major général Charles Gordon, s'intéresse à la question en cette fin du XIXe siècle, cette proposition est ainsi connue des spécialistes et notamment des occidentaux présents à Jérusalem. Lors des fouilles, en 1883, Gordon découvre une tombe taillée dans la roche[28].

Le Golgotha proposé est situé au-delà de l'enceinte de la vieille ville de Jérusalem et clairement au-delà du « deuxième mur » et donc à l'extérieur de la ville de Jérusalem à l'époque de Jésus. Sur place, Gordon fut frappé par la ressemblance qu'offrent les reliefs de la roche sur la falaise avec un crâne. Il adopta alors l'hypothèse que cette similarité pouvait constituer l'origine de l'appellation Golgotha, « le lieu du crâne » évoquée dans les quatre évangiles. Le plateau situé au sommet de la « falaise du crâne » peut largement accueillir trois croix et même davantage, ce qui n'est pas le cas du site traditionnel.

La colline sur le plateau de laquelle aurait été crucifié Jésus est appelée aujourd'hui El-Edhemîyeh, du nom d'Ibrāhīm ibn Adham[29]. Elle est située à côté de l'actuelle porte de Damas, près de l'actuel dépôt d'autobus de Jérusalem-Est, au-dessus de la « grotte de Jérémie » et la « falaise du crâne » est située juste à l'ouest de l'entrée de cette grotte.

Une immense citerne souterraine a été retrouvée en 1890 à l'ouest de la « falaise du crâne » qui semble avoir été une citerne agricole[30]. La taille importante de la citerne indique que c'était probablement dans ce secteur que se trouvaient les jardins dont parlent plusieurs sources dont les sources chrétiennes. « En 1924, la découverte d'un pressoir à raisin renforce l'hypothèse d'un opulent jardin[31]. » Ce qui renvoie à l'éventuelle localisation des jardins de Joseph d'Arimathie et de Gethsémani. Dans les Actes de Pilate, le gouverneur romain dit en effet à Jésus « tu seras crucifié sur le lieu même où tu as été arrêté ». Or, les trois évangiles synoptiques indiquent que Jésus a été arrêté dans le jardin de Gethsémani —  qui signifie pressoir à huile — et qui serait donc situé au nord de Jérusalem, à côté du lieu d'exécution de Jésus, là où se trouvaient les jardins, alors que le lieu retenu au IVe siècle pour ce jardin, se trouve très loin du Golgotha, de l'autre côté du Cédron, sur le flanc du mont des Oliviers. L'évangile attribué à Jean indique aussi qu'il « y avait un jardin au lieu où il avait été crucifié[32],[33]. » Selon les évangiles, lorsque Simon de Cyrène est requis pour aider Jésus « pour porter sa croix », il « passait par là, revenant des champs (Mc 15:21) » (qui est aussi traduit par revenant de la campagne), ce qui renforce l'idée que Jésus a été crucifié dans la zone où les habitants de Jérusalem possédaient leurs jardins.

Le phénomène de paréidolie affecte la paroi rocheuse depuis 2015, les orbites restent visibles mais le nez est tombé à la suite de l'érosion de la paroi rocheuse[réf. nécessaire].

Critiques

Un militaire anglais de la fin du XIXe siècle, le major général Charles Gordon, s'intéressa aux contradictions existant entre la localisation traditionnellement admise du Golgotha et sa description par les évangiles[34]. Il profita alors d'un voyage à Jérusalem en 1883-1884[35]pour rechercher un site plus cohérent avec ces derniers.

Le rocher retenu par les autorités chrétiennes au IVe siècle et qui se trouve désormais à l'intérieur de l'église « est trop étroit pour permettre l'érection de trois croix[36] ». Or toutes les sources antiques et de nombreuses représentations indiquent que Jésus a été crucifié entre deux « brigands ». Ce rocher est aussi « trop escarpé pour être gravi surtout par un condamné particulièrement affaibli[36] ». Or selon les évangiles, Jésus avait subi préalablement le supplice de la flagellation (Mc 15:15) et était tellement affaibli que le légionnaire romain qui commandait l'exécution a dû demander à Simon de Cyrène de l'aider à transporter « sa croix (Mc 15:21) » (probablement le seul patibulum).

De plus, le site retenu au IVe siècle semble être situé à l'intérieur de l'enceinte de la ville au moins dans l'enceinte définie par ce que Flavius Josèphe appelle le troisième mur et peut-être même à l'intérieur du « deuxième mur ». Or les traditions chrétiennes et notamment l'évangile attribué à Jean disent que « le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville[37] » et donc obligatoirement à l'extérieur du mur d'enceinte. Toutefois, les défenseurs du site traditionnel estiment que dans cette partie, l'enceinte externe de la ville s'interrompait à hauteur des tours au nord du palais d'Hérode. Ils estiment qu'avant le « troisième mur » construit quelques années après la crucifixion de Jésus par Agrippa Ier (37-44), l'enceinte ne suivait pas les défenses naturelles du site, l'archéologie ne permettant pas de discerner en général, des périodes aussi courte. Par ailleurs, le tracé exact du « deuxième mur » n'est pas connu avec précision dans cette partie de la ville et les défenseurs du site traditionnel estiment qu'il passait juste devant le site de l'église du Saint-Sépulcre en faisant deux décrochements.

Plan approximatif de Jérusalem au Ier siècle. La falaise du crâne se trouve à gauche de la Grotte de Jérémie[38]
(Voir une carte plus précise).

En 2011, Vincent Lemire a accusé le jardin d'être « au cœur de la fabrication d'une contre-mémoire protestante des Lieux saints[33]. »

C'est la découverte en 1890 de la grande citerne qui semble déclencher la « révélation » que cette tombe connue depuis 1867 par son propriétaire qui creusait le sol pour trouver une source[27] pouvait être celle de Jésus[39]. Au lieu de s'en tenir à la constatation que cette découverte renforçait l'identification du calvaire de Gordon avec le Golgotha des évangiles, « une association est fondée et le le Times de Londres publie un appel en vue de réunir les fonds nécessaires à l'achat du terrain[40]. » « Or ces collines du nord de la ville, fourmillent d'excavations et de tombes anciennes[41], et rien ne permet de trancher en faveur de l'une d'entre elles[42],[39]. » Il semble que le seul critère qui ait été retenu pour sélectionner cette tombe — plutôt que par exemple celle située dans une excavation 200 mètres plus à l'ouest et que le lieutenant Conder proclame être la tombe de Jésus en 1881[43] — est que c'est la plus proche de la « falaise du crâne », juste à côté de la citerne retrouvée[38]. Plusieurs archéologues interviennent alors pour indiquer qu'il n'y a aucune raison de désigner cette tombe comme celle du jardin de Joseph d'Arimathie. Le fait que cette tombe ait été « un tombeau neuf, dans lequel personne n'avait encore été mis (Évangile selon Jean, 9, 41)[33] » au Ier siècle est même contesté. D'autres pensent qu'elle date de l'âge du fer et qu'elle a été réutilisée à l'époque byzantine[40]. Toutefois, l'archéologue Kathleen Kenyon estime pour sa part qu'il s'agit « d'une tombe typique du Ier siècle de notre ère[40]. »

Le lieutenant Conder, membre du Palestine Exploration Fund qui défend pourtant le Calvaire de Gordon comme l'endroit de la crucifixion de Jésus, estime malgré cela que « ce n'est pas une raison pour que nous répétions au XIXe siècle les erreurs du IVe siècle, et que nous indiquions ainsi au monde deux localisations pour le saint-Sépulcre aussi insensées l'une que l'autre[40]. » Mais ces mises en garde n'ont aucun effet sur la « machine mémorielle[44] », l'année suivante la Garden Tomb Association est fondée et dans la foulée le terrain est acheté[44].

En 1986, Gabriel Barkay a reproché aux défenseurs de l’emplacement du jardin et de l'Église du Saint-Sépulcre de présenter des arguments davantage théologique et apologétique que scientifique [3]. En 2010, le directeur du jardin, Richard Meryon, a affirmé dans un entretien à The Jerusalem Post que chaque camp avait des preuves académiques et archéologiques en faveur de l’emplacement réel, et qu’un seul des deux pouvait avoir raison, mais que l’important était le symbolisme du lieu et surtout l’histoire de Jésus et non une garantie du site exact[45]. Dans ce même entretien, Steve Bridge, un pasteur retraité bénévole dans le jardin, a affirmé que des groupes catholiques venaient régulièrement sur le site, et que les guides ne faisaient pas de politique, l’accent étant mis sur la crucifixion et la résurrection de Jésus.

Galerie

Notes et références

  1. William D. Crump, Encyclopedia of Easter Celebrations Worldwide, McFarland, USA, 2021, p. 103
  2. a et b (en) John J. Rousseau, Jesus and His World: An Archaeological and Cultural Dictionary, USA, Fortress Press, , p.106.
  3. a et b (en) Gabriel Barkay, « The Garden Tomb: Was Jesus Buried Here? », Biblical Archaeology Review, vol. 12, no 2,‎ , p. 47
  4. Wesley G. Pippert, Jesus Christ's resurrection: Garden Tomb or Church of Holy Sepulchre?, upi.com, USA, 7 avril 1985
  5. (en) Joseph P. Free, Howard Frederic Vos, Archaeology and Bible History, Zondervan, , p. 253
  6. Garden Tomb Association, Partners, gardentomb.com, UK, consulté le 8 mai 2021
  7. Étymologie de Golgotha, par le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNTRL).
  8. Nouveau Testament, Évangile selon Jean, 9, 41-42.
  9. (en) Conrad Schick, Gordon’s Tomb, Palestine Exploration Fund Quarterly Statement, 1892, p. 120–124
  10. a b c et d Mimouni 2012, p. 522.
  11. Peter Schäfer, The Bar Kokhba War Reconsidered, 2003, Mohr Siebeck, Tubingen, Allemagne, p. XVIII.
  12. Simon Claude Mimouni, La tradition des évêques chrétiens d'origine juive de Jérusalem, in Studia patristica vol. XL, publié par Frances Margaret Young, Mark J. Edwards, Paul M. Parvis, éd. Peeters, Louvain, 2006, p. 462.
  13. a et b Blanchetière 2001, p. 127.
  14. Blanchetière 2001, p. 122.
  15. Mimouni 2012, p. 523.
  16. Blanchetière 2001, p. 127-128.
  17. Simon Claude Mimouni, Dormition et Assomption de Marie: histoire des traditions anciennes, Paris, Beauchesne, , 916 p. (ISBN 9782701013206, lire en ligne), p.534.
  18. Blanchetière 2001, p. 126.
  19. Taylor 1993, p. 113.
  20. Taylor 1993, p. 384.
  21. (en) Peter Walker, « Jerusalem in the Early Christian Centuries » P.W.L. Walker ed., Jerusalem Past and Present in the Purposes of God, Tyndale House, 1992, p. 83.
  22. (en) K.G. Holum, « Hadrian and St. Helena: Imperial Travel and the Origins of Christian Holy Land Pilgrimage », dans R. Ousterhout (éd.), The Blessings of Pilgrimage, Urbana, 1990, p. 66–81
  23. Charles Odahl, Constantine and the Christian Empire,
  24. a et b Taylor 1993, p. 113-142.
  25. Otto Thenius, Anhang. Das Vorexilische Jerusalem Und Dessen Tempel.
  26. The Garden-Tomb, Jerusalem, Brief history.
  27. a et b Lemire 2011, p. 176.
  28. (en) Sarah Kochav, Church of the Holy Sepulchre, Yad Ben-Zvi Press, , p. 29.
  29. (en) Gabriel Barkay, « The Garden Tomb: Was Jesus Buried Here ? », Biblical Archaeology Review, vol. 12, no 2,‎ , p. 44
  30. Lemire 2011, p. 178-179.
  31. Lemire 2011, p. 180-181.
  32. Nouveau Testament, Évangile selon Jean, 19, 41.
  33. a b et c Lemire 2011, p. 175.
  34. (en) Geoffrey W. Bromiley, International Standard Bible Encyclopedia: E-J, Wm. B. Eerdmans Publishing Co, Michigan, 1982, p. 1028.
  35. (en) Richard Losch, The Uttermost Part of the Earth : A Guide to Places in the Bible, Grand Rapids, MI, W.B. Eerdmans, (ISBN 978-0-8028-2805-7), p. 64
  36. a et b Blanchetière 2001, p. 125.
  37. Nouveau Testament, évangile selon Jean, 19, 20.
  38. a et b Vincent Lemire, La soif de Jérusalem: Essai d’hydrohistoire (1840-1948), Publications de la Sorbonne, 2011, Paris, p. 174 ; voir la carte.
  39. a et b Lemire 2011, p. 177.
  40. a b c et d Lemire 2011, p. 179.
  41. Notamment au niveau du couvent Saint-Étienne.
  42. Pour une description de cette zone et de ses carrières souterraines, voir Charles Wilson, Ordnance Survey of Jerusalem, 1865, chapitre VII, p. 61-70 ; Amihay Mazar, Iron Age Burial Caves North of The Damascus Gate, Jerusalem, Israel Exploration Journal, 26 no 1, 1976, p. 1-8.
  43. Lemire 2011, p. 176-177.
  44. a et b Lemire 2011, p. 180.
  45. Melanie Lidman, Tomb with a view, jpost.com, Israël, 2 avril 2010
  46. (en) Gabriel Barkay, « The Garden Tomb: Was Jesus Buried Here? », Biblical Archaeology Review, vol. 12, no 2,‎ , p. 51
  47. Au-dessus de la traverse horizontale sont peintes les lettres grecques IS (iota, première lettre et sigma, dernière lettre de Iesus) et CS (chi et sigma, première et dernière lettre du grec Χριστός, Khristos). En dessous de la traverse sont peintes les lettres A et W (alpha et oméga).

Bibliographie

Voir aussi

Liens externes

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