En , le dépôt du 7e régiment de dragons stationné à Lille prit le nom de Dragons du Nord et forma la cavalerie de armée du Nord avec 2 escadrons de la légion départementale de la gendarmerie montée.
Recréé en 1940 sous le nom de 7e régiment de dragons portés (7e RDP) il est destiné à former à la mobilisation des groupes de reconnaissance. Aussi des escadrons du 7e RDP doivent donner naissance à trois GRDI, chacun affecté à une division cuirassée (DCr)[1],[2] :
131e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (131e GRDI, pour la 1re DCR
132e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (132e GRDI, 2e DCR)
133e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (133e GRDI, 3e DCR)
Ces GRDI n'ont jamais été créés. Le 7e dragons est également prévu pour entrer dans la composition de la 4edivision légère mécanique. Cette dernière n'est jamais créée à cause de l'attaque allemande[3] et le 7e RDP est incorporé à la 4e division cuirassée du colonel de Gaulle le [4]. Il est alors formé, en plus de l'état-major régimentaire, de deux bataillons à deux escadrons de fusiliers, un escadron de mitrailleuses et d'engins et un escadron motocycliste. Le tout regroupe 1400 hommes, les fusiliers sont transportés dans des camions tout terrain Laffly et les motocyclistes dans des side-cars Gnome-Rhône. Le 1er bataillon (I/7e RDP) est commandé par le commandant de Torquat, le 2e (II/7e RDP) par le commandant Antech[5].
28 au - Combats au sud d'Abbeville. Attaque du bois de Fréchancourt avec le 3e cuirassiers, arrêt d'une contre-attaque allemande avec le 10e cuirassiers dans le bois de Villers.
8 au : Combats du nord de la Seine
12 au : Combats de la Loire (défense des ponts de Blois)
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Traditions et uniformes
Insigne
Le régiment ne possède pas d'insigne pendant ses campagnes. Un insigne est produit en 1970 à partir d'un croquis paru dans l'historique du 7e dragons en 1942[7].
↑François Vauvillier, « La division cuirassée en France en 1940 et ses perspectives 1 », Histoire de guerre, blindés et matériel, Histoire & Collections, no 79, , p. 44
↑Jacques Belle, « Près de 2 800 blindés perdus en 26 jours », Guerre, blindés et matériels, Histoire & Collections, no 133, , p. 39