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Guillestre

Guillestre
Guillestre
Vue de Guillestre depuis le mont Cugulet.
Blason de Guillestre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Briançon
Intercommunalité Communauté de communes du Guillestrois et du Queyras
(siège)
Maire
Mandat
Christine Portevin
2020-2026
Code postal 05600
Code commune 05065
Démographie
Gentilé Guillestrins
Population
municipale
2 292 hab. (2021 en évolution de −0,39 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ nord, 6° 39′ est
Altitude Min. 867 m
Max. 2 694 m
Superficie 51,29 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Guillestre
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guillestre
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Guillestre
Liens
Site web ville-guillestre.fr

Guillestre [ɡijɛstʁ] est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, et bureau centralisateur du canton qui porte le même nom.

Ses habitants sont appelés les Guillestrins.

Géographie

Localisation

La commune de Guillestre est située à une altitude moyenne de 1 000 m, dominant la rive gauche des gorges du Guil, peu avant sa confluence avec la Durance. Située à la porte du Queyras, elle est le point d'accès unique de cette vallée, notamment pendant les mois d'hiver (le col Agnel et le col Izoard étant fermés une partie de l'année).

Guillestre est un carrefour et un point de départ pour le col d'Izoard, le col de Vars et le col Agnel. Elle est aussi point de passage entre Embrun et Briançon.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

La commune est délimitée par :

Celles-ci sont représentées géographiquement de la manière suivante (à l'exclusion de Mont-Dauphin, enclave d'Eygliers)[1] :

Géologie et relief

Combe du Queyras[2].

La commune est située sur le plateau du Simoust au nord et, en fond de vallée en bas de Risoul au sud.

Hydrographie

Différents torrents et rivières traversent le territoire de la commune de Guillestre pour ensuite se jeter dans la Durance.

D'un côté, le Guil (longueur 51,5 km[3]) qui descend du Queyras et rejoint la Durance entre Guillestre et Mont-Dauphin. À celui-ci viennent s'ajouter le Chagne (long de 19,5 km, prenant sa source à Vars[4]), ainsi que l'un de ses affluents, le Rif Bel (long de 14,3 km[5] et prenant sa source au val d'Escreins).

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 727 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Crépin », sur la commune de Saint-Crépin à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −20,6 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication et transports

Voies routières

Guillestre est accessible par la route départementale 902A, reliant le centre-ville à la route nationale 94 menant vers Gap, Embrun et Briançon, ainsi que par la route départementale 902 reliant le Queyras à Vars (route des Grandes Alpes).

Du centre-ville, la départementale 86 mène vers Risoul.

Transports ferroviaires

L'accès ferroviaire est possible via les liaisons TER reliant Marseille, Valence ou Grenoble à Briançon, ainsi que par le train de nuit reliant Paris à Briançon.

Le tronçon ferroviaire de la ligne de Veynes à Briançon est pour moitié à voie unique.

Transports en commun

Guillestre est desservie par la ligne 29 du réseau de lignes express régionales LER PACA, reliant Gap à Briançon. Les autocars s'arrêtent à la gare routière[13], ainsi que par quatre lignes du réseau Hautes-Alpes en car[14] :

  • ligne S24 : Mont-Dauphin (gare SNCF) – Ceillac[15] ;
  • ligne S22 : Mont-Dauphin (gare SNCF) – Risoul[16] ;
  • ligne S25+S28 : Mont-Dauphin (gare SNCF) – Ristolas[17] ;
  • ligne S23 : Mont-Dauphin (gare SNCF) – Vars[18]

Ces lignes (sauf exception) desservent la zone artisanale du Villard et la gare routière.

En hiver, des navettes relient Guillestre aux stations de ski de Ceillac, Vars et Risoul[19].

Urbanisme

Typologie

Au , Guillestre est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guillestre, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 2,9 % 149
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,4 % 20
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 7,7 % 395
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 0,4 % 21
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,7 % 86
Forêts de feuillus 1,0 % 49
Forêts de conifères 64,2 % 3285
Forêts mélangées 2,1 % 109
Pelouses et pâturages naturels 7,0 % 358
Landes et broussailles 0,4 % 22
Forêt et végétation arbustive en mutation 3,4 % 175
Plages, dunes et sable 0,5 % 24
Roches nues 1,2 % 62
Végétation clairsemée 7,0 % 358
Source : Corine Land Cover[25]

Morphologie urbaine

Remarques sur le choix du lieu d'implantation de la cité

Les caractéristiques du lieu qui ont conduit à cette implantation de Guillestre sont :

  • une exposition assez favorable d'ouest des terres fertiles faciles à irriguer ;
  • un des torrents, le Rif-Bel a une hydrologie extrêmement favorable à la régularité même en période sèche pour la récupération de l'énergie hydraulique pour des moulins (ce sous-bassin-versant, plein nord-ouest, est très étroit et encaissé, entouré de sommets proches de 3 000 m d'altitude, alimenté par la régularité des fusions de glace en période d'estives (glaces profondes de glacier rocheux)) ;
  • une position stratégique dans le massif à la croisée de trois voies principales importantes : (Queyras, Ubaye, Durance aval) ;
  • un encadrement par des confluences, limites défensives naturelles, des gorges (Chagne et Guil) ; (Le Guil a un débouché, dans les gorges du Queyras, sur environ deux kilomètres, entre Guillestre et Mont Dauphin, il existe un véritable canyon creusé par le torrent du Guil qui ainsi coule au pied de falaises de plus de 80 m de hauteur, espacées de seulement 200 m)[26].

Logements

Toponymie

Graphies anciennes

Le nom de la localité est attesté sous la forme Guillestra en 1119[27], dans une bulle du pape Gélase II. Guillestra (occitan Guilhestra) est devenu Guillestre par francisation de la voyelle finale, selon le cas général pour les toponymes occitans.

Étymologie

Le premier élément Guill- représenterait l'hydronyme Guil (anciennement *Guillu-)[28],[27], c'est-à-dire le torrent des gorges du Queyras. Ernest Nègre partage ce point de vue et note que le Guil est attesté sous la forme latinisée Guillus en 1461[29].

Le second élément -estre :

  • peut être issu de l'occitan estra « hors de » (lui-même du latin extra[27]), d'où la signification globale de « (village) hors du Guil » ;
  • légère variante de l'interprétation précédente, estra pourrait avoir le sens du substantif balcon ou adjectival d'en surplomb[30]. En effet dans la haute vallée de l'Ubaye, on nomme Estra, le balcon spécial, côté sud, qui reçoit le bois qui manque encore de séchage et qui est en communication directe avec la grange. Souvent, il n'a pas de garde-corps. Une interprétation globale de Guillestre donnerait alors « le village en balcon au-dessus du Guil »[Interprétation personnelle ?][31].

Ernest Nègre considère que l'élément -estre représente le suffixe latin -estris, semblable à celui de camp-estris > champêtre en français. Pour lui la forme primitive du nom de lieu était *Aquili-estris (Guil étant formé sur l'adjectif latin aquilius « brun foncé, noir » devenu Aiguilh en occitan avec une aphérèse du Ai- initial). Il aurait d'abord désigné la région du Guil, puis le village de Guillestre lui-même[32].

Guilhestra, en occitan, tire son nom de la rivière torrentielle proche, le Guil, issu du radical pré-celtique gar qui désigne « l'eau ». A donné aussi Gillardes pour, « grosses eaux » dans le Dévoluy et probablement Guisane[33] et du second élément occitan estra « hors de »[27], d'où la signification globale du village « hors du Guil ».

Histoire

Guillestre au XIXe siècle, illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).

La ville est fondée par les habitants de Rama (La Roche-de-Rame), dont la ville avait été détruite par une crue de la Durance[34].

Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Sainte-Marie[35].

Guerres de religion

Guillestre est prise par Lesdiguières le .

XVIIe siècle

Au cours de la guerre de la Ligue d'Augsbourg, la ville est prise le par Victor-Amédée II de Savoie, après un siège de trois jours[36]. Son enceinte datait du XIVe siècle[37].

Politique et administration

Budget et fiscalité 2014

L'hôtel de ville.

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[38] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 284 000 , soit 1 358  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 676 000 , soit 1 107  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 1 931 000 , soit 799  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 871 000 , soit 360  par habitant.
  • endettement : 2 186 000 , soit 904  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 13,38 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 19,71 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 107,14 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 96,83 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 20,75 %.

Tendances politiques et résultats

Guillestre est une commune qui a tendance à voter à droite, comme le démontrent, aux élections présidentielles, les scores importants de Nicolas Sarkozy autant en 2007 (58,03 %[39]) qu'en 2012 (53,84 %[40]).

Aux élections municipales de 2014, le candidat sortant Bernard Leterrier a été réélu avec 59,25 % des suffrages exprimés. Il acquiert quinze sièges au conseil municipal dont sept au conseil communautaire de la communauté de communes du Guillestrois. Le battu, Claude Feuillassier, avec 40,75 % des voix, obtient les quatre sièges restants. La participation à cette élection s'est élevée à 73,37 %[41].

Aux élections de mars 2020, le candidat sortant Bernard LETERRIER a été battu par sa première adjointe Christine PORTEVIN, cheffe de la liste Guillestre Ensemble. Elle acquiert 16 sièges au conseil municipal avec 62.92% des voix et 7 sièges à la Communauté de Communes du Guillestrois-Queyras. La participation aux élections a été de 60,05%. Christine PORTEVIN, compte-tenu de la crise sanitaire, n'a été élue à son poste que le 24 mai 2020. Elle est la 2ème femme élue maire de Guillestre.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1835 1838 Jacques Louis Court    

Modèle:Nommé

1849 1851 Sébastien Palluel    
1919 1931 Pierre Émile Robert    
Les données manquantes sont à compléter.
oct 1951 avril 1953 Pierre Garnier    
Simone Petsch née Lazard[42]
(1899-1991)
  Héritière de la banque Lazard Frères
Les données manquantes sont à compléter.
Augustin Guillaume

(1895 -1983)

  Ancien général d'armée
Les données manquantes sont à compléter.
Jean-Marie Jory    
Robert Michel
(1922-2020)
  Vétérinaire
Jean Lepas
(1926-2009)
  Ingénieur de la Météorologie (retraité)
Louis Abrard[43]
(1937-2010)
PRG[44] Ancien dirigeant d'entreprise de menuiserie
Maire d'Eygliers (2006 → 2008)
Armand Jallut DVD[45]  
Bernard Leterrier[46]
(1952- )
LV
puis EELV
Vétérinaire retraité
2e vice-président de la CC du Guillestrois (2014 → 2016)
Vice-président de la CC du Guillestrois et du Queyras (2017 → 2020)
En cours Christine Portevin[46],[47]
(1966- )
[[Sans étiquette][SE] Professeure des écoles

Intercommunalité

Guillestre a fait partie :

Jumelages

Guillestre est jumelée avec Torre Pellice (province du Piémont, Italie).

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].

En 2021, la commune comptait 2 292 habitants[Note 2], en évolution de −0,39 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9529701 1831 3631 6721 7541 7591 7421 739
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6061 4601 5091 5091 4791 4911 4501 4031 361
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3991 3741 3151 1461 0801 0521 0571 0921 030
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 4481 4791 4661 9372 0002 2112 2762 2472 325
2015 2020 2021 - - - - - -
2 3012 2912 292------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Guillestre dépend de l'académie d'Aix-Marseille.

Les élèves commencent leur scolarité à l'école maternelle puis à l'école primaire publique de la commune[53], puis la poursuivent au collège des Hautes-Vallées[53].

Santé

Station thermale de Plan de Phazy.
Source des Vignes au Plan de Phasy en hiver.

Services, équipements

Cultes

Économie

Guillestre est un carrefour de vallées où viennent s'approvisionner les habitants des communes environnantes. L'activité économique est essentiellement centrée sur le tourisme d'été et d'hiver[54]. Les activités de loisirs sont nombreuses dans le Guillestrois : sports d'eau vive sur la Durance ou le Guil, équitation, montagne (randonnée, ski, etc.), tennis, vol à voile, parapente, VTT, 4x4, etc.

La station de ski la plus proche est le domaine de la Forêt blanche sur les communes de Vars et Risoul.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Plaque commémorative du général Albert.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Guillestre Blason
D'or à l'aigle bicéphale de sable armée, membrée, becquée et allumée de gueules, chargée en cœur d'un écusson d'azur à la croix d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Guillestre dans les arts et la culture

L'écrivain Pierre Bordage situe l'action de sa nouvelle Nuits-lumière dans la ville.

Voir aussi

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Bibliographie

  • Guillestre mon pays, par général Guillaume Cahiers de l'Alpe, 1963,
  • Guillestre et ses environs, par abbé Guillaume, 1906 (réédité en 1991 par Le livre d'histoire-Lorisse)
  • Guillestre, J. Feuillassier, A. Barre, E. Moyne, R.Meyer-Moyne. Verneuil-Calade, 2000
  • Découvrir Guillestre. Collectif. Hors-série "Pays guillestrin" no 4
  • Les marbres de Guillestre. Bénédicte et Gérard de Wailly. Hors-série "Pays guillestrin" no 16
  • Guillestre au Second Empire. Bénédicte de Wailly. Hors-série "Pays guillestrin" no 20
  • Hors-série et journaux de l'association "Pays Guillestrin" sur Guillestre et les communes qui font partie du canton de Guillestre
  • De Guillestre à Vars, une base protestante dans les Hautes-Alpes au XIXe siècle, Bénédicte de Wailly [Bulletin de la Société d'Études des Hautes-Alpes, 2014]
  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
  • (fr + en + de) Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée-IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
    Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Notice Guillestre p.41
  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
    Guillestre, p. 597

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Carte de Guillestre sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 12 août 2016).
  2. La combe du Queyras à Guillestre.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Guil (X02-0400) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Torrent de Chagne (X0240500) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Torrent de Rif Bel (X0240520) » (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Guillestre et Saint-Crépin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « St Crépin », sur la commune de Saint-Crépin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « St Crépin », sur la commune de Saint-Crépin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « Ligne 29 : Marseille – Briançon via Manosque, Sisteron et Gap » [PDF], sur info-ler.fr, (consulté le ).
  14. Site du réseau interurbain 05voyageurs (consulté le 13 août 2016).
  15. « Ligne S24 : Mont-Dauphin - Ceillac », sur 05voyageurs.com (consulté le ).
  16. « Ligne S22 : Mont-Dauphin - Risoul », sur 05voyageurs.com (consulté le ).
  17. « Ligne S25+S28 : Mont-Dauphin - Ristolas », sur 05voyageurs.com (consulté le ).
  18. « Ligne S23 : Mont-Dauphin - Vars », sur 05voyageurs.com (consulté le ).
  19. « Bus et navettes », Office de tourisme de Guillestre (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  21. « Unité urbaine 2020 de Guillestre », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  26. https://paysguillestrin.files.wordpress.com/2014/12/rue-des-masques.pdf[réf. incomplète]
  27. a b c et d Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 337b.
  28. Revue internationale d'onomastique, 1950, p. 161 et 1951, p. 81
  29. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Librairie Droz, , p. 294, no 5025 (lire en ligne).
  30. François Arnaud et G. Morin, Le langage de la vallée de Barcelonnette, .
  31. « Èstra "balcon" », sur etymologie-occitane.fr (consulté le ).
  32. Ernest Nègre, op. cit.
  33. Toponymes haut-alpins
  34. Jean-Paul Clébert et Jean-Pierre Rouyer, La Durance, Toulouse, Privat, coll. « Rivières et vallées de France », (ISBN 2-7089-9503-0), p. 54.
  35. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'Abbaye, 999-1999, Villeneuve-lès-Avignon, 24-26 septembre 1999, Éd. Alpes de Lumières, collection « Cahiers de Salagon » no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p. 218.
  36. André Golaz, Odette Golaz, A. Guillaume (préfacier), Notice historique et descriptive sur Mont-Dauphin (Hautes-Alpes), Société d'études des Hautes-Alpes, Gap, 1981 (3e édition, 1re édition 1966) (ISBN 2-85627-001-8), planche 1.
  37. André Golaz, Odette Golaz, op. cit.
  38. Les comptes de la commune
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