Lautrec est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Castrais, un territoire essentiellement agricole, entre la rive droite de l'Agout au sud et son affluent, le Dadou, au nord.
Lautrec est une commune rurale qui compte 1 694 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 4 032 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Lautrécois ou Lautrécoises.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographiqueAdour-Garonne[3]. Elle est drainée par le ruisseau de Bagas, le ruisseau de Lézert, le ruisseau de Poulobre, le ruisseau de Merdalou, le ruisseau de Saborgues, le ruisseau de Vidalès, un bras du Bagas, un bras du Bagas, un bras du Bagas, le ruisseau Davizols, le ruisseau de Bagas (0,603 km), le ruisseau de Font Bouissoune, le ruisseau de la Prade, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 74 km de longueur totale[4],[Carte 1].
Le ruisseau de Bagas, d'une longueur totale de 21,1 km, prend sa source dans la commune de Montfa et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Puylaurens, après avoir traversé 7 communes[5].
Le ruisseau de Lézert, d'une longueur totale de 12,1 km, prend sa source dans la commune de Saint-Julien-Gaulène et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans un bras du Tarn à Saint-Grégoire, après avoir traversé 5 communes[6].
Le ruisseau de Poulobre, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de Montfa et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Bagas à Jonquières, après avoir traversé 6 communes[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 845 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montredon-Labessonnié », sur la commune de Montredon-Labessonnié à 15 km à vol d'oiseau[10], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 133,8 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,6 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[15] :
la « butte des Abeillous et travers de St-Julien-du-Puy » (165 ha), couvrant 4 communes du département[16] ;
les « coteaux secs du Pioch » (69 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[15] :
les « coteaux de Graulhet à Lautrec » (4 965 ha), couvrant 7 communes du département[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Lautrec.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Lautrec est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (80,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,8 %), forêts (1,1 %), zones urbanisées (0,6 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lautrec est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 5],[26].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 811 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 811 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Histoire
Le site de Lautrec fut occupé par une tribu celtique, les « Cambolectri Atlantici », puis par les Romains. Plus tard, Charlemagne se serait arrêté à Lautrec et y aurait jeté les fondements de l’église Saint-Rémy primitive aujourd’hui disparue, et située près de la fontaine portant son nom, à proximité de l’actuel lavoir Saint-Rémy.
Fondée vers 940, la vicomté de Lautrec occupait, entre le Dadou et l’Agout, la partie centrale du pays albigeois. Le premier vicomte de Lautrec fut Sicard, fils de Bernard, lui-même vicomte d’Albigeois, qui partagea ses terres entre ses deux fils. Très vite les riches terroirs du Lautrécois suscitèrent les convoitises des grandes familles de la chevalerie locale auxquelles le roi de France, Philippe IV le Bel, vint s’ajouter en 1306, pour une partie.
La vicomté devint une mosaïque, un puzzle de seigneuries et de pouvoirs enchevêtrés, aux mains des descendants d’Isarn de Lautrec ou des comtes de Foix.
La cité médiévale de Lautrec, qui compta jusqu’à 4 500 habitants, est adossée à un vaste plateau calcaire, avec ses toits de tuiles rouges en rangs serrés autour de la butte de la Salette, Lautrec domine la plaine du Castrais. Cette position géographique était un lieu défensif idéal.
Aux environs de l’an 1000, on commença à fortifier la butte de Montlausain qui domine la ville. Les vicomtes y édifièrent leur « castrum ». Il était entouré par une double enceinte fortifiée, percée de huit portes. Lautrec n’est pas comme Cordes ou Réalmont une bastide du XIIIe siècle avec un plan géométrique des rues. La cité est plus ancienne. Tourné vers le soleil levant, le village avec ses rues étroites s’accroche à flanc de coteau, en contrebas de la forteresse du vicomte. La communauté s’abrite derrière ses remparts et ses fossés.
De l’enceinte fortifiée, il ne reste aujourd’hui plus qu’une petite partie avec notamment la porte de la Caussade. Le seul nom du quartier de la Brèche dit assez que Lautrec ne fut pas toujours le paisible chef-lieu de canton qu’il est devenu. Il a souffert des grandes guerres de l’Ancien Régime comme la croisade contre les albigeois ou cathares, où la vicomté passa tour à tour du côté des croisés et du comte de Toulouse, la guerre de Cent Ans, et particulièrement des guerres de religion car Lautrec était un fief catholique juste à côté du grand voisin castrais, lui protestant. Enfin, la Révolution française n’épargna pas non plus ce territoire qui comptait de nombreux couvents comme celui des franciscains ou des bénédictins qui furent chassés.
Toponymie
Lautrec tire son nom du germanique Leotricus (pour une tribu celtique ?...) ou viendrait de Alt Rec qui désigne un haut ruisseau. Lautrec s'appelait Lautreco au IXe siècle[31].
Héraldique
Son blasonnement est : D'azur, à dextre un chêne d'or, à senestre une tour donjonnée de trois donjons, celui du milieu plus haut terminé par une croix haute, le tout d'argent, la tour ouverte de sable.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2021, la commune comptait 1 694 habitants[Note 6], en évolution de −4,62 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 991 personnes, parmi lesquelles on compte 75,7 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 6,4 % de chômeurs) et 24,3 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 632 emplois en 2018, contre 705 en 2013 et 718 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 702, soit un indicateur de concentration d'emploi de 90 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,7 %[I 11].
Sur ces 702 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 214 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 85,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
157 établissements[Note 9] sont implantés à Lautrec au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 14].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
157
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
39
24,8 %
(13 %)
Construction
17
10,8 %
(12,5 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
41
26,1 %
(26,7 %)
Information et communication
4
2,5 %
(2,1 %)
Activités financières et d'assurance
4
2,5 %
(3,3 %)
Activités immobilières
2
1,3 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
18
11,5 %
(13,8 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
20
12,7 %
(15,5 %)
Autres activités de services
12
7,6 %
(9 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,1 % du nombre total d'établissements de la commune (41 sur les 157 entreprises implantées à Lautrec), contre 26,7 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[37] :
NC Meca, réparation de machines et équipements mécaniques (207 k€)
VD Elec, travaux d'installation électrique dans tous locaux (134 k€)
Pi Developpement, conseil en systèmes et logiciels informatiques (66 k€)
Agriculture
La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 131 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 104 en 2000 puis à 90 en 2010[40] et enfin à 72 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[41],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 4449 ha en 1988 à 3807 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 53 ha[40].
Souterrain au lieu-dit le Fégnal. À 200 m au sud-est de la motte de Quiriquiqui, un effondrement dans un champ dans les années 1970, rapidement rebouché, laisse suggérer à la présence d'un souterrain[43].
Motte au lieu-dit le Cousta. Elle se situe au sommet d'une colline et mesure environ 50 m de diamètre à la base et est haute de 18 -m. Mercadier fait état de « deux tertres encadrant un enclos, avec silos et trous de poteaux », Bordenave et Viallèle y voient la présence d'un souterrain sous « aire de battage »[44].
Motte au lieu-dit Castellas de Cabilles. La motte, installée sur une butte naturelle quadrangulaire aux flancs probablement retaillés, mesure environ 35-18 × m au sommet, et est haute de 7 m environ. Une fouille de la surface sommitale a permis la découverte de silos et de nombreuses tuiles de toiture. Une tradition orale mentionne sur le site la présence d'un souterrain qui n'a pas été retrouvé[44].
Site de la tour de Maussans. Situé à l'extrémité d'une zone de confluence, le site à partir d'une motte, aurait pu joué un rôle de place forte[45].
Porte de la Caussade.
Porte de la Caussade.
Le moulin à vent.
La place centrale et les halles.
Le moulin.
L'un des silos.
Le parc de loisirs.
Une rue.
Une rue.
Personnalités liées à la commune
Odet de Foix, dit le Maréchal de Lautrec, maréchal de France.
[Greslé-Bouignol-1 1982] Maurice Greslé-Bouignol, « Lautrec », dans Congrès archéologique de France. 140e session, Albigeois, 1982, Paris, Société Française d'Archéologie, , 462 p., p. 299 à 309
[Greslé-Bouignol-2 1982] Maurice Greslé-Bouignol, « Lautrec : L'architecture religieuse », dans Congrès archéologique de France. 140e session, Albigeois, 1982, Paris, Société Française d'Archéologie, , 462 p., p. 310 à 324
Samuel Montagne, Les fortifications villageoises du Lautrécois : XIVe siècle-XVIIe siècle, Lautrec, Groupe de recherche archéologique et historique du Lautrécois, , 319 p. (ISBN978-2-9500668-2-4)
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN978-2-343-07867-0), p. 370.