Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items. D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.
La commune se situe dans le Massif central méridional, dans le département de l'Aveyron. Elle est traversée par la Sorgues, qui, avec ses affluents, a découpé sept montagnes et sommets : des Anglais, de la Quille, de la Fous, la sèrre (en français : la crête, le sommet), des Cazes, de Nougayrolle et du Rocher de Caylus. Cinq ponts permettent la circulation, par ordre d'ancienneté : le pont Vieux, le pont Neuf, le pont du Centenaire (ou des Frères), le pont Ferroviaire et le pont de la Résistance[1].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 835 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montlaur à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 705,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Affrique est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Affrique, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[11],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est la commune-centre[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Camaras, la Capelle, les Cazes, la Cazotte, Caylus, Couat, Fregebise, Maxiliou, Monhargues, Moulin du Juge, Roc-Blanc, Saint-Amans, Saint-Vincent, Touloupy, Vaxergue, le Vern, la Vernière, Vispens.
Voies de communication et transports
La desserte ferroviaire
Saint-Affrique avait espéré être sur le tracé d'une ligne joignant Rodez à Montpellier par les Causses, mais le passage par Tournemire et Millau fut décidé en 1867. En compensation, un embranchement joignant Tournemire-Roquefort à Saint-Affrique fut accordé[14].
: déclaration d'utilité publique et concession à la Compagnie du Midi
: mise en service de la ligne de Tournemire-Roquefort à Saint-Affrique
: déclaration d'utilité publique d'une ligne de Saint-Juéry à Saint-Affrique
1904 : adjudication de dix lots concernant la construction de la ligne de Saint-Juéry à Saint-Affrique
1914 : de la main d'œuvre d'origine étrangère travaille sur le chantier
1915-1917 : des prisonniers allemands sont réquisitionnés pour travailler sur le chantier
: l'État, responsable des infrastructures, livre celles-ci à la Compagnie du Midi qui proteste contre ce nouveau « fardeau » et en réfère à l'avis du Conseil National Économique qui classe la ligne en travaux de seconde urgence
Avril 1934 : le concessionnaire est autorisé à ne pas entreprendre les travaux de superstructure à sa charge (pose de la voie, signalisation, communications, mobilier des gares…) dans l'attente de jours meilleurs
fin 1938 : la ligne de Tournemire-Roquefort à Saint-Affrique est coordonnée
: déclassement de la ligne de Saint-Juéry à Saint-Affrique qui aura coûté 63 700 000 francs aux contribuables
1975 : pose de quelques centaines de mètres de voie en direction de Saint-Juéry pour desservir la nouvelle zone industrielle de Saint-Affrique
années 1980 : fermeture de Tournemire-Roquefort - Saint-Affrique au trafic marchandises
: cession par RFF des terrains aux collectivités territoriales qui transforment la plate-forme en piste cyclable. Ainsi la ligne de Tournemire-Roquefort est devenue une piste cyclable alors que la ligne de Saint-Juéry est devenue une route touristique suivant la vallée du Tarn.
Les trains
Avant 1914, des trains assuraient une correspondance à Tournemire-Roquefort avec presque tous les trains sillonnant la ligne des Causses. Il y avait cinq navettes l'hiver et six l'été.
Durant l'Entre-deux-guerres, la desserte avait été ramenée à quatre trains mixtes quotidiens
Après la fusion PO-Midi (1934), il n'y eut plus que deux trains légers et un mixte jusqu'à la coordination de fin 1938
Jusqu'à la fermeture, la ligne fut alors desservie par trois trains hebdomadaires remorqués par des Y 7400 de Béziers
La commune est occupée dès le Néolithique, avec, comme vestiges visibles, le dolmen de Tièrgues, celui de Crassous ou de Boussac
Une occupation quasi continue du territoire est attestée par la présence, en divers lieux, de tessons de poteries depuis le Néolithique, jusqu'aux Ve – VIe siècles. (Caylus - Le Saint-Affrique d'avant Saint-Affrique, Jean Poujol, 1995, publié à compte d'auteur, chapitre I : L'environnement archéologique)
La légende
La tradition locale veut que vers 470, Affricanus, évêque de Comminges persécuté par les Wisigothsariens, se réfugie dans la Vicaria Curiensis qui prend ensuite le nom de Saint-Affrique.
L'histoire
En fait, si plusieurs chartes du cartulaire de l'abbaye de Vabres mentionnent la Vicaria Curiensis à partir de 868, la localisation exacte de cette viguerie fait encore débat chez les historiens, dont certains la situent dans la vallée voisine du Dourdou.
En 942, le nom de Saint-Affrique est attesté pour la première fois dans le cartulaire de l'abbaye de Vabres : in valle Sorga, in ministerio Firmiaco, in vicaria Sancti Affricani...[16]
Au XIVe siècle, grâce à ses remparts, la ville résiste à l'attaque des Anglais.
Le au lendemain de la Saint-Barthélemy, les habitants de Saint-Affrique informés des massacres à Paris, refusent la violence, et scellent entre eux un pacte urbain de tolérance.
En 1628, contre la politique de Richelieu, la population à majorité protestante utilise les remparts pour résister aux troupes royales du prince de Condé et du duc d'Epernon. Femmes et filles de la ville s’illustrent dans la bataille et les assaillants sont contraints de lever le siège[17].
Pendant la Révolution française, la ville prend le nom de Montagne-sur-Sorgue. Le décret du supprime ce nom et redonne à la ville l’appellation Saint-Affrique.
La ville est inondée en [20] puis de façon plus importante en [21]
En 1840, annexion des communes de Bedos-Peyralle, Bournac, Saint-Étienne-de-Naucoules et Vendeloves.
En 1854, une épidémie de choléra ravage la ville. Des vierges votives placées sur les façades des maisons (visibles encore actuellement) ont été disposées ainsi pour remercier la Vierge d'avoir protégé les habitants, très croyants à cette époque.
La première mention d'un seigneur de Caylus et de son château remonte à une charte datée de 1102 dans laquelle figure un certain Seguin de Caylus. Un testament daté de 1182 permettant d'identifier ses premiers descendants et l'étendue de cette seigneurie[22].
Il y avait quatre châteaux situés autour de Saint-Affrique dont celui de Caylus, au lieu-dit du « Rocher de Caylus » mais il n'en reste que quelques ruines et[22]:
Château de Bournac, hameau de Bournac[23] au nord-ouest de la commune,
marié en premières noces, vers 1209 à Irdoine de Sévérac, veuve de Guillaume de Rodez, fille unique et héritière de ses parents, Guy IV, seigneur de Sévérac et Béatrix de Canillac, dame héritière de Canillac en Gévaudan.
Ils eurent deux filles, Guise et Béatrix, et deux fils :
Guy de Sévérac, seigneur du lieu, qui fait la souche de la IIe maison de Sévérac en Rouergue.
Déodat II de Caylus ou de Canillac, seigneur de Caylus, de Combret, de Canillac, de Saint-Laurent-d'Olt, ainsi que de Thiézac et de Polminhac en Carladès. Il épouse Meliore de Saint-Ours, fille et héritière de Guillaume de Saint-Urcize, seigneur du lieu.
en secondes noces, vers 1230, Isaure, qui lui donne une fille, Hélis, héritière de Caylus qui épouse Guillaume-Bernard, seigneur d'Olargues, auquel elle ne donne qu'un fils, Déodat III, qui fait la suite des seigneurs de Caylus pendant cinq générations jusqu'à Alix de Caylus[réf. souhaitée].
La suite de cette généalogie demande à être vérifiée afin de s'assurer qu'il ne s'agit pas de la commune de Caylus
Alix de Caylus, apporte la seigneurie par son mariage en 1283 avec Philippe II de Lévis, seigneur de Florensac et de la Roche-en-Régnier, auquel elle donne plusieurs fils, dont :
Eustache de Lévis-Quélus (1464-), seigneur de Caylus, dont descend, trois générations après :
Quélus (1554-1578), un des mignons du roi Henri III. En dépit du titre de comte de Caylus de son père, c'était son oncle Jean de Lévis qui qui était seigneur de Caylus et ce fut sa fille Jeanne de Lévis qui hérita de Caylus et l'apporta par son mariage en 1574 à Jean-Claude de Pestels, seigneur de Branzac, dont est issu, quatre générations après :
le comte de Caylus, (1692-1765), célèbre écrivain, graveur, archéologue et collectionneur. Il avait comme oncle paternel :
, manifestation massive, ayant eu les honneurs de la presse nationale, pour protester contre la décision de l'Agence régionale de l'hospitalisation de fermer le service de chirurgie de l'hôpital de la commune. Cette manifestation est suivie par d'autres actions médiatiques (occupation du chantier du viaduc de Millau, grève de la faim de cinq personnes…) qui permettront de maintenir le service de chirurgie. C'est à cette occasion que fut créée la Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux de proximité[25] le .
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt neuf[26],[27].
Saint-Affrique est également le nom donné à l'agglomération urbaine incluant la ville de Vabres-l'Abbaye pour une population totale de 9 335 habitants en 2016 et une superficie de 152,32 km2[I 2].
Avant la réforme administrative de 1926, Saint-Affrique était également chef-lieu de l'arrondissement de Saint-Affrique, supprimé à cette occasion, qui groupait 6 cantons et 56 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2021, la commune comptait 7 992 habitants[Note 2], en évolution de −2,96 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 4 590 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2 % d'actifs (66,6 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 24,8 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
Sur ces 3 097 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 042 travaillent dans la commune, soit 66 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 77,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 15,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
775 établissements[Note 6] sont implantés à Saint-Affrique au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 12].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
775
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
74
9,5 %
(17,7 %)
Construction
94
12,1 %
(13 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
205
26,5 %
(27,5 %)
Information et communication
19
2,5 %
(1,5 %)
Activités financières et d'assurance
46
5,9 %
(3,4 %)
Activités immobilières
42
5,4 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
82
10,6 %
(12,4 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
142
18,3 %
(12,7 %)
Autres activités de services
71
9,2 %
(7,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,5 % du nombre total d'établissements de la commune (205 sur les 775 entreprises implantées à Saint-Affrique), contre 27,5 % au niveau départemental[I 13].
Entreprises
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[38] :
Société Fromagère De Saint Afrique, fabrication de fromage (27 171 k€)
Sotourdi SA, supermarchés (18 527 k€)
Distaff, supermarchés (11 488 k€)
Cma Saint Affrique, commerce de gros (commerce interentreprises) de matériel agricole (6 601 k€)
SARL Lou Cussou, autres commerces de détail alimentaires en magasin spécialisé (2 300 k€)
Depuis le Moyen Âge, la ville chef-lieu de commune, au centre d'un territoire essentiellement agricole, est un important lieu de commerce du sud Aveyron dont les marchés et foires actuels sont la survivance.
Tout au long du XIXe siècle, l'industrie du textile a dominé l'activité industrielle.
Au XXe siècle, l'industrie agroalimentaire avec en particulier le roquefort, puis le tourisme ont remplacé l'industrie textile.
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 91 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 54 en 2000 puis à 42 en 2010[41] et enfin à 37 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[42],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 4 480 ha en 1988 à 3 583 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 49 à 97 ha[41].
Saint-Affrique Handball : Club créé en 1981, les équipes séniors masculines et féminines sont engagées au plus haut niveau régional, saison 2020-2021 en prénational
Principales manifestations
Le Grand Prix de Saint-Affrique est un prix de peinture qui a été attribué pendant la seconde moitié du XXe siècle à des peintres de la "Jeune Peinture" exposant dans les principaux salons parisiens. Ce prix consistait en un séjour d'un mois dans l'hôtel du fameux cuisinier François Decucq et permettait aux artistes invités de visiter et de peindre l'une des plus belles régions de France. Les lauréats du prix les plus connus sont Maurice Boitel et Daniel du Janerand.
Le Salon des Amis des Arts : Exposition et concours de peinture organisé pendant une quinzaine de jours vers la fin de l'été.
Le tournoi international d'échecs de Saint-Affrique.
Marché : tous les samedis matin sur le boulevard Victor-Hugo et le boulevard Charles de Gaulle.
Marchés nocturnes Fermiers De L'Aveyron : une succession de trois grands marchés nocturnes de producteurs fermiers, organisés par le groupement départemental des producteurs fermiers, se tiennent le soir courant juillet-août dans le jardin public du centre-ville. Des produits agricoles vivriers, préparés ou non, sont proposés pour la consommation sur place sous forme de grandes tablées animées.
Foire : le troisième samedi de chaque mois sauf en mai – le 4.
Le "4 mai" : c'est la plus importante foire de l'année, la fête foraine envahit deux des principales places pendant la journée du d'où son nom. Elle est également l'occasion de présentation de machinisme agricole. La foire aux bestiaux, qui l'accompagnait, tombe petit à petit en désuétude : Dans les années 1950, chaque place avait sa spécialité animale et était surnommée par son nom (à l'origine en rouergat) : la "place aux cochons" était la place François-Fabié… Cette foire a maintenant lieu le 1er dimanche du mois de mai (depuis 2008)
La fête de Saint-Affrique, avec diverses manifestations (bals publics, corso fleuri…), a lieu pour la foire du mois de juin.
Une radio associative : Radio Saint-Affrique, elle peut s'écouter en podcast à partir de leur site.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine culturel
Patrimoine religieux
Église paroissiale Notre-Dame de Saint-Affrique, datant XIXe siècle, édifiée de 1894 à 1905 ; de style gothique, à l'intérieur se trouve une Vierge en bois doré XVe siècle. Impressionnante élévation de la flèche néogothique riche de sculptures en « dentelles », qui culmine à 71 mètres (d'autres sources avancent 81 mètres…).
Vestiges des anciennes fortifications : tour d'enceinte, traces des remparts (aujourd'hui boulevard Victor-Hugo, boulevard de la République, place de la Liberté et boulevard Charles-de-Gaulle.
Ancien hôpital du XVIIIe siècle, aujourd'hui collège Foch.
Statue de Leftiez en l'honneur de sa victoire au ST17.
Ruines du château de Caylus sur le rocher de Caylus qui domine la ville.
Château du Mas Rougier (monument historique, inscription par arrêté du ) : possède un logis rectangulaire, tour circulaire, tour carrée, meurtrières, et des mâchicoulis.
Émilie Gral (1986-), sportive de haut niveau en natation handisport, recordwoman du monde en 400 m quatre nages, élue en 2015 conseillère départementale du canton de Saint-Affrique, benjamine de l'assemblée départementale à 28 ans.
Loīc Minaudier, pilote moto de rallye raid. Plusieurs participations au Paris Dakar. A remporté le Hellas rallye de Grèce en mai 2021 comptant pour le championnat d’Europe de rallye raid.
Marc Vidal (1991-), joueur de football professionnel.
Louis Armand, (1854-1922) né près de Vabres ; il fut l'un des compagnons les plus proches de Martel, l’« inventeur » de la spéléologie. L'aven Armand lui doit son nom.
Max Fourestier (1907-1986), médecin, élève du collège Saint-Gabriel.
Alfred Couderc (1882-1968), né à Abbas, Archiprêtre de Saint Affrique pendant les années 1934 à 1937, et nommé Evêque de Viviers qui a participé au Vatican au IIe Concile avec le pape PIE XI.
Jacques Godfrain (1943-), né à Toulouse, député de l'Aveyron (UMP) de 1978 à 2007, ancien ministre de la coopération (1995-1997) et maire-adjoint de Saint-Affrique (1983-1989).
Robert Ménard (1953-) né à Oran, journaliste français et maire de Béziers ; il suit les cours du collège religieux Saint-Gabriel à Saint-Affrique, et envisage de devenir prêtre, ce à quoi sa mère s'oppose. En , il fait fermer son collège.
Stéphane Gomez (1976-), né à Millau, nageur français spécialiste de la nage en eau libre ; il s'entraîne au club de Saint-Affrique.
Héraldique
Blasonnements famille de Caylus : D'or, au lion passant de gueules accompagné de 16 étoiles de même posées en orle.
D'or, au lion passant de gueules accompagné de 16 billettes de même posées en orle.
Étienne Fournial (Éditeur scientifique), Cartulaire de l'Abbaye de Vabres au diocèse de Rodez : essai de reconstitution d'un manuscrit disparu, Rodez, Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, coll. « Archives historiques du Rouergue » (no 21), , 196 p., 24 cm (ISSN1245-9747, BNF36664062)
Denis (abbé) Teissier, La Ville de Saint-Affrique à travers les âges de l'Antiquité à 1900, Éd. du château de Montaigut,
François Marret (Directeur de publication), Saint-Affrique : hier et aujourd'hui, Saint-Affrique, Éd. Aurore création, , 197 p., ill., couv. ill. en coul. ; 22 x 31 cm (BNF35590839)
Théodule Nayral, Aperçus historiques sur la ville de Saint-Affrique et sur l'évêché de Vabres : Fac-sim. de l'éd. de Carcassonne : Impr. J. Parer, 1877, Saint-Affrique, Éd. Aurore création, , 328 p., 17 cm + 1 plan de 1628 ; 17 x 28 cm (ISBN2-9507641-0-X, BNF36159650)
Gaston Boulouis, Regards sur le passé saint-affricain : l'œuvre des abbés Barthe, Saint-Affrique, G. Boulouis, , 86 p., couv. ill. ; 21 cm (BNF34664327)
Gaston Boulouis, Nouveaux regards sur le passé saint-affricain : les cinq demeures de Notre-Dame de Miséricorde, Saint-Affrique, G. Boulouis, , 90 p., ill., couv. ill. ; 21 cm (ISBN2-904706-01-1, BNF34862817)
André Soutou, « Testament du seigneur de Caylus : (commune de St-Affrique) en 1182 », Revue du Rouergue, vol. 32, , p. 29-37 (lire en ligne)
Jean Carel (préf. Jacques Vaizy), Saint-Affrique en images, Saint-Affrique, Impr. du Progrès, , 95 p., ill. en coul., couv. ill. ; 27 cm (ISBN2-9523209-0-X, BNF39296094)
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jean-Luc Malet), Sent-Africa : La Bastida, Caumèls-e-Lo Vialar, Ròcafòrt, Sant-Faliç, Sent-Esèri, Sent-Jan, D'Aucàpias, Sent-Roma de Sarnon, Tornamira, Vabre, Verzòls-e-La Pèira / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Africa, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 429 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN2-907279-54-8, ISSN1151-8375, BNF38977452)
Yves Rouquette, 60 ans de creacion occitana : quasèrn de la mòstra, Sant-Africa, Ostal de la memòria : mòstra realizada per l'Associacio Cap l'Òc e l'Ostal de la memòria de Sant-Africa : 60 ans de création occitane : cahier de l'exposition, Saint-Affrique, Maison de la mémoire, du 4 juin au 10 août 2012, Saint-Affrique, Cap l'Òc (Centre d'animation pédagogique en occitan), , 24 p., ill., couv. ill. ; 21 cm (ISBN978-2-9534455-3-4, BNF43524342)
Association RELAIS (Recherches, études liées aux isolements saint-affricains), Guide pratique du pays saint-affricain : catalogue des ressources humaines, sociales et administratives, Saint-Affrique, RELAIS, , 278 p., ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm (ISBN2-9504530-0-7, BNF35077854)
Michel Loirette, Le monstre de Gozon, Chronique aveyronnaise du pays saint-affricain, éd. L'Harmattan, 169 p., (ISBN978-2-343-080253), 2016, notiBnF n°FRBNF44484185
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
↑Étienne Fournial, Cartulaire de l'abbaye de Vabres au diocèse de Rodez, Rodez/Saint-Etienne, Société des Lettres, Sciences et Arts de l'Aveyron/C.E.R.C.O.R., , p. 152 (charte n° 47)..