The North Avenue Irregulars est un film américain de Bruce Bilson, sorti en 1979.
Synopsis
Le révérend Michael Hill et ses deux enfants arrivent dans une ville fictive de Californie. Il est là pour servir en tant que nouveau ministre de l'église presbytérienne de North Avenue. La secrétaire/directrice musicale de l'église, Anne, se méfie des changements que Hill a l'intention de mettre en œuvre. Hill veut impliquer les gens et demande à Mme Rose Rafferty de gérer le fonds de l'église. Cela s'avère être une terrible erreur, car elle a un mari qui est un joueur imprudent.
Lors de son premier dimanche, Hill apprend de Mme Rafferty que son mari Delaneya parié tout l'argent sur une course de chevaux. Hill prononce un sermon de moins de 15 secondes, puis escorte rapidement Mme Rafferty hors de l'église sous le regard étonné des fidèles. Elle le conduit au bookmaker, caché derrière un magasin de nettoyage à sec, et rencontre Harry the Hat, qui recommande à Hill de laisser le pari se dérouler. Le cheval de Hill perd et il est expulsé du salon de paris. Hill convoque la police, mais le billet a été habilement retiré.
Les droits d'adaptation du livre ont été achetés en 1969 par le studio[5]. Soit un an après la publication du roman The North Avenue Irregulars: A Suburb Battles the Mafia (1968) par le révérend Albert Fay Hill et n'a été adapté par Don Tait qu'à partir de 1977[6]. La chanson titre Sunday Morning Music a été composée par Al Kasha et Joel Hirschhorn[2].
Le film débute par un générique animé façon Panthère rose[4]. Le film a été tourné aux Walt Disney Studios Burbank et dans plus de 40 lieux de la région de Los Angeles dont Burbank, Long Beach, Pasadena et Newhall[6],[8]. La scène de destruction de l'église a du être tournée une seconde fois après avoir reconstruit l'édifice religieux car aucune caméra n'était présente à l'intérieur[7]. La scène de carambolage comprend 14 véhicules totalisant 155 000 USD[6],[8].
Sortie et Accueil
Début 1978, le film était prévu pour une sortie pour Noël 1978[9]. Fin juillet, la sortie du film est repoussé à février 1978[10].
Pour Mark Arnold, le fin est un bon film et un peu plus sophistiqué que le productions habituelles du studio à l'époque[7]. Bien que la scène finale du derby fracassant soit typique de Disney, le fait que le film se joue de la religion est nouveau et différent de Disney[7].