9 - : transport par VF vers Vandœuvre ; concentration. À partir du , occupation d'une position vers Dombasle et Cercueuil.
- : mouvement offensif vers le nord, par Brin, jusque dans la région de Delme. Engagée le dans la bataille de Morhange. Combats vers Viviers, Faxe et Delme. Le , repli vers Art-sur-Meurthe, puis à partir du occupation d'une position vers Amance.
- : transport par camions à Verdun et occupation d'un secteur vers l'ouvrage de Thiaumont et le bois de Vaux-Chapitre.
: attaque allemande.
6, 9 et : attaques françaises.
13 - : retrait du front, transport par camions et par VF dans la région de Revigny (des éléments de la division restent en secteur jusqu'au ).
24 - : transport par VF dans la région de Nancy ; repos.
- : occupation d'un secteur entre Armaucourt et le Sânon, réduit à gauche le jusque vers Lanfroicourt, puis le jusque vers Brin.
1917
- : retrait du front et mouvement vers Toul ; instruction au camp de Bois l'Évèque.
- : transport par camions vers Custines ; travaux. À partir du , transport par VF dans la région de Ribécourt ; mouvement vers Vézaponin, puis vers Braine et Vailly.
- : occupation d'un secteur vers Courtecon et la ferme de la Bovelle.
: progression jusqu'à la Vesle. Puis organisation des positions conquises vers Braine et l'est de Limé. Le , front étendu à droite jusqu'à l'ouest de Bazoches.
La division n'est pas recréée à la mobilisation de septembre 1939 mais en janvier 1940 à partir du groupement littoral Nord, chargé de défendre les côtes de la région de Dunkerque. La nouvelle division conserve cette mission jusqu'au déclenchement de la bataille de France[2].
Elle coopère avec l'armée belge en compagnie d'une autre division française (la 60e DI) avant de rejoindre Dunkerque pour défendre les évacuations de l'opération Dynamo[2],[3]. La division combat héroïquement pendant plusieurs jours et permet aux Alliés de gagner un temps précieux pour évacuer leurs soldats par le port et les plages. Elle fait partie de l'arrière-garde française qui fait barrage jusqu’à la nuit du . Le au matin, les Allemands entrent dans la ville en ruines et font prisonniers ses défenseurs dont beaucoup appartiennent à la 68e division.