: combats vers Frise. au 1er décembre, attaques françaises vers Fay.
À partir du , occupation d'un nouveau secteur, sur les deux rives de la Somme, vers Dompierre-Becquincourt et Carnoy, réduit à gauche, le , jusque vers Frise[3].
– : retrait du front. À partir du , mouvement par étapes vers le camp d'Arches : instruction. À partir du , transport par V.F. dans la région de Ligny-en-Barrois ; repos[3].
– : mouvement vers le front et occupation d'un secteur entre Châtillon-sous-les-Côtes et le sud de Damloup. Éléments engagés dans la 1re bataille offensive de Verdun : , prise de la batterie de Damloup[4].
– : retrait du front ; instruction au camp de Gondrecourt[4].
1917
– : transport par V.F. vers Liancourt, puis à partir du , occupation d'un secteur dans la région d'Armancourt, l'Avre. À partir du , poursuite des troupes allemandes lors de leur repli stratégique (opération Alberich) en liaison avec l'armée britannique : le , prise de Ham ; le 22 combats à Artemps et le 24 à Essigny-le-Grand et à Contescourt. À partir du , occupation d'un secteur sur le front Roupy, Essigny-le-Grand[4].
: transport par camions vers Guiscard. À partir du , stationnement vers Caillouël-Crépigny ; travaux.
– : transport par V.F., de la région Ribécourt, Noyon, dans celle de Mailly-le-Camp ; repos et instruction au camp. À partir du , transport par V.F. dans la région de Belfort ; repos[5].
9 - : retrait du front, et, à partir du , transport par V.F. dans la région de Bergues. À partir du , engagée, au mont Kemmel, dans la 3e bataille des Flandres : combats violents (en particulier le ) et repli vers la Clytte et l'est de Locre[5].
- : engagée, au nord de l'Ardre, dans la 3e bataille de l'Aisne : résistance, vers Bligny, à la poussée ennemie ; puis organisation et occupation d'un nouveau secteur vers Bligny et l'est de Sainte-Euphraise[5].
: attaque allemande vers Bligny.
- : retrait du front (relève par des éléments italiens), et, à partir du , transport par V.F. dans la région de Lunéville ; repos. À partir du , occupation d'un secteur entre Emberménil et le Sânon[5].
4 - : retrait du front, et, à partir du , transport par V.F. à Sézanne ; repos[6].
3 - : retrait du front et mouvement vers Courmelois. À partir du , engagée à nouveau dans la Bataille de Champagne et d’Argonne vers Prunay et le sud du mont Cornillet : poursuite de l'ennemi jusqu'à Selles[6].
7 - : retrait du front, mouvement vers Prunay ; repos[6].
et tous les services (Sapeurs mineurs, télégraphique, compagnie auto de transport, groupe sanitaire divisionnaire, groupe d'exploitation etc.)[11]
En septembre 1939, la division comptait deux brigades, la 55e brigade formée par la 5e DBCA et le 99e RIA et la 56e brigade formée par la 25e DBCA et le 97e RIA. La division est réorganisée en mars quand la 5e DBCA, formée par les 13e, 53e et 67e BCA, rejoint le corps expéditionnaire français en Scandinavie[12].
Le [réf. souhaitée], la division est affectée au 17e corps d'armée. Elle participe à la bataille de l'Ailette et à la bataille de l'Aisne[10]. Les unités de la division tiennent jusqu'à ce que leur front soit percé le 6 juin. Le général Lestien ordonne alors un repli sur l'Aisne[13]. Pendant son repli, la division est coupée en deux par la capture par les Allemands d'un pont à Missy-sur-Aisne[14]. La plus grosse partie de la division est située à l'est auprès 7e corps d'armée, tandis que le colonel Conquet reçoit le commandement de la partie toujours rattachée au 17e corps[15]. Le 9 juin au soir, la division est une coquille vide : l'infanterie rescapée a été placée sous les ordres de la 42e division d'infanterie, l'artillerie et le génie détachés à d'autres divisions et même les officiers de l'état-major divisionnaire sont envoyés gérer la destruction des ponts sur la Marne[16]. La 28e DIA se reconstitue peu à peu avec le retour des soldats isolés et ensuite se replie en combattant dans le centre de la France. La 28e DIA est dissoute après l'armistice, le [17].
Insigne
La division adopte en janvier 1940 le blason de la Savoie (de gueules à la croix d'argent) comme emblème. Cet insigne n'est pas fabriqué en métal mais est peint à partir d'avril 1940 sur les véhicules de la division (dimensions : 9 × 9,5 cm)[18].
↑Lieutenant Condevaux et colonel R. Le Merdy, Historique du 30e R.I. : 4 citations fourragère aux couleurs de la médaille militaire, Annecy, Hérisson, 96 p. (lire en ligne), p. 52
↑Jacques Sicard, « Les tirailleurs et spahis nord-africains dans les Alpes et leurs insignes », Militaria Magazine, no 119, , p. 46 - 51