Auguste Charles Marie Timoléon de Cossé-Brissac (1776-1802).
- 2° le , Françoise Dorothée d'Orléans-Rothelin (+ 1818). Du second lit naissent les enfants suivants : Dorothée Hyacinthe Louise ; Edme Félicité Joséphine ; Emmanuel de Cossé-Brissac (1793-1870) ; Augustine Charlotte Louise (1796-1866) et Blanche Joséphine (1797-1854)
« C'était le meilleur des hommes, poli, doux et le plus inoffensif qu'il y ait jamais eu au monde. Il était laid, vieux et de plus un peu bossu ; je crois même qu'il l'était tout à fait… Il avait habituellement des coliques et était donc obligé de sortir au moins quinze fois du salon de Madame lorsqu'il était de service. Cette ouverture et fermeture de porte agissait sur les nerfs de Madame, et lui inspira une sorte d'antipathie contre ce pauvre M. de Brissac… C'était surtout au spectacle que la chose était insoutenable. Cependant, quand il sortait, il n'y avait à craindre que le courant d'air; mais lorsqu'il ne sortait pas, oh ! alors c'était vraiment tragique. »
De sable, aux trois feuilles de scie d'or posées en fasce ; au chef à sénestre lion d'argent lampassé de gueules, et franc-quartier des comtes sénateurs.[2],[3],[4]
↑En ligne un résumé de son testament est numérisé. L'inhumation de la marquise de Cossé est annoncée dans le Journal de Paris du : Marie Louise Antoinette Charlotte Constance de Vignacourt, grand croix de l'ordre de Malthe (sic), épouse de Hugues Timoléon de Cossé-Brissac, marquis de Cossé. Décédée en son hôtel, rue Neuve Saint-Augustin, transportée en l'église des RR. PP. Célestins, lieu de sa sépulture.
↑Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne)