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Dans le système Séré de Rivières, chaque forts est renforcé par des ouvrages d’infanterie, des batteries d’artillerie qui comblent les angles morts des forts, en complètent l’armement ou en assurent le soutien logistique[1]. Le fort de Vancia était ainsi couvert par plusieurs batteries (ou redoutes) à Neyron (et Sermenaz) et à Sathonay.
À partir de 1890 sont construits également 2 magasins à poudre (capacité 100 tonnes) dont un dans le ravin de Sathonay.
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De forme trapézoïdale, elle hébergeait huit pièces d'artillerie[2] aménagées le long du rempart. Ce-dernier était entouré d'un fossé protégé par deux caponnières.
Une caserne et une poudrière faisaient également partie de l'ouvrage.
François Dallemagne (photogr. Georges Fessy), Les défenses de Lyon : enceintes et fortifications, Lyon, Éditions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, , 255 p. (ISBN2-84147-177-2), p. 200
Suzanne Astegiano, Brigitte Boudon, Jean Bourdin, Gisèle Duffournet, Roland-Marie Honnay, Marie-Noëlle Perraud et Henriette Philippe (préf. Jean-Pierre Calvel, Pierre Abadie et Gisèle Duffournet, ill. Henri Bosplatière, Jean Bourdin, Jacqueline Celebrin, Irène Milleron et Joël Roullet, photogr. Gérald Gambier), Sathonay : un village, un camp, La Taillanderie, coll. « Sath’nâ », , 336 p. (ISBN978-2-87629-356-4), p. 97-102