Quelques mois après sa naissance, Dimitri manque d'être emporté par une pneumonie. Donné pour mourant par le médecin, sa mère prend sa main pour faire faire son signe de croix à l'enfant ventilé par ballon[ν 1]. De cette vraisemblable primo infection tuberculeuse, il conservera une faiblesse et il souffrira d'un retard de croissance[ν 1] qu'il ne rattrapera qu'à l'âge de quatorze ans[¤ 5] au prix d'un régime diététique très surveillé[¤ 6].
En 1906, la famille s'installe à Odessa, où le père réalisera trois immeubles pour la Compagnie russe de navigation et de commerce[¤ 7], l'un des plus grands armateurs de l'Empire. Sophie Alexandrovna participe à la fondation d'une bibliothèque[¤ 8] et ouvre dans la maison familiale[¤ 6] de la rue Lermontoff[¤ 5] une école nouvelle[¤ 2] où les enfants apprennent à se gérer collectivement et où le petit Dima est scolarisé[¤ 9]. C'est en partie de sa mère, qui assure le catéchisme, que celui-ci reçoit son instruction mais aussi des professeurs invités[¤ 5]. Il poursuit ses études secondaires dans une école technique [¤ 5]. Il pratique l'aviron, le tennis, le vélo, la natation[¤ 5].
Le 18 décembre, la marine française, soutenue par la mission Berthelot, débarque, sans qu'en ville les dissensions et les affrontements ne cessent. L'année suivante, Dimitri Andréïévitch s'engage comme matelot dans le corps des Volontaires de la Marine marchande[4], qui a succédé à la Ropit et où son père a conservé son poste[¤ 10].
Quand le 1er avril 1919, les Français évacuent le port, il ne faut pas une semaine pour que les troupes de l’ex « ataman » Grigoriev établisse l'autorité de la République socialiste soviétique d'Ukraine. La mère du matelot est arrêtée[¤ 10] par le NKVD. Laissé à lui-même, l'adolescent de quatorze ans, désemparé, se réfugie dans une église et connaît là, les mains derrière le dos[ν 1], un moment de stupeur. Jusqu'alors irréligieux, il éprouve intérieurement une conversion soudaine mais, rabroué par une moniale pour son attitude et son ignorance du rituel, il se conforte dans sa prévention pour l'Église[ν 1]. Sa mère est libérée au terme de quelques semaines par un officier de la Tchéka, une femme connaissant son action en faveur des défavorisés[3], grâce au témoignage d'un distributeur de tracts, juif, pour lequel elle avait prononcé la relaxe[¤ 10].
La mort subite de sa mère le 24 février 1923[¤ 18], conclusion d'une coronopathie qui aura duré deux ans et demi[¤ 12], l'entraîne un peu plus dans la voie mystique, le jeune homme trouvant un réconfort dans la conviction de la survie de l'âme de la défunte. Sur la tombe de celle ci, il éprouve ce qu'il décrira comme une révélation de la vanité de ses souffrances personnelles et de la légèreté du « joug du Christ »[3]. Il retrouve une conversation avec la défunte à travers son journal et la prière[ν 2].
À partir de 1927, Dimitri Klépinine reçoit à l'Institut Saint-Serge l'enseignement du professeur Vycheslavtseff,, spécialiste de l'histoire et la philosophie du droit que Nicolas Berdiaev fait venir de Berlin et qui devient le co-rédacteur en chef de son frère. Celui-ci se fait l'intime du cinéaste Sergueï Efron et la poétesse Marina Tsvetaieva. De son côté, le prêtre impétrant, à la recherche d'une épouse qui accepte de l'accompagner dans son futur sacerdoce, ne rencontre auprès des jeunes filles, avides de modernité, que des déconvenues, qui préoccupent jusqu'au métropolite Euloge.
De retour de New York, au printemps 1930, le frère Klépinine se rend dans la paroisse Saint-Nicolas de Presbourg[ν 3] pour aider les dix missions orthodoxes qui avaient été mises en place à travers la Slovaquie par son professeur de théologie, le pèreTchetvérikoff(ru). À l'été, il est de retour à Paris pour participer au camp estival de l'ACER, qui se tient cette année à Montfort-l'Amaury[¤ 28]. À la fin de l'année[¤ 28], malheureux d'avoir été éconduit par Sophie Chidlovski[¤ 28], il retourne en Yougoslavie, pour contribuer une année durant à la pastorale auprès des ouvriers de la mine de cuivre, qui a été ouverte en 1903 à Bor, dans les montagnes orientales de Serbie, où son père, ingénieur civil, travaille depuis près de dix ans[¤ 20]. C'est là qu'il est nommé chantre[3].
Ce sont des soldats restés un temps encadrés par leurs officiers aristocrates, des petits fonctionnaires autorisés à partir de 1922 à émigrer dans le cadre de la NEP, des diplomates expulsés à la suite de campagnes de purge. Bientôt suivis par les intellectuels soviétiques fuyant la Grande terreur, ils se fondent dans la population française rapidement tout en continuant à se rassembler autour de l'église Saint-Nicolas et une dizaine d'autres chapelles éparpillées dans la banlieue, mais la crise de 1929 en a relégué un petit nombre dans la condition de chômeurs secourus par les œuvres de bienfaisance de la princesse Zénaïde Youssoupoff et du grand-duc Paul Romanoff.
À partir de 1933 et la montée du nazisme, la plupart des russes blancs se sont rendus aux évidences et ont renoncé à la restauration du tsarisme. La nationalité russe est proposée à certains et les intellectuels eurasistes sont approchés par le Komintern. Nicolas Klépinine(ru) adhère à l'Union du retour à la patrie[¤ 31], qui est en réalité une officine du Guépéou[¤ 32]
Le fond de la cour est occupé par un garage en brique juste assez large pour une voiture[7], où le père Lev Gillet, soucieux de laisser aux nécessiteux toutes les chambres disponibles, dort à même le sol[8]. Quand celui-ci, à l'automne 1937, part pour Londres où il est appelé à prendre la direction d'un foyer de réfugiés juifs[9], ses successeurs, le père Euthyme Vendt, l’archimandriteCyprien Kern(ru), le père Valentin Bakst[6], utilisent le local comme confessionnal[¤ 36]. Dimitri Klépinine y aménage, plus particulièrement pour les malades, un oratoire, qui est souvent utilisé pour le service funèbre[7]. Dédié à saint Philippe métropolite de Moscou[¤ 37], il sera consacré en 1939 sous le nom d'église de l'Intercession. L'abnégation du jeune lecteur lui vaut l'estime de sa supérieure et la reconnaissance de l'exarchat, soulagé d'avoir trouvé enfin un clerc promis à la prêtrise avec lequel s'entend l'excentrique mère Marie, femme deux fois divorcée peu encline à ménager les positions établies qui n'hésite pas à récuser l'archimandrite Cyprien Kern, trop traditionaliste et pas assez compassionnel[¤ 38].
Resté sur son échec amoureux de l'été 1930, Dimitri Klépinine ne peut accéder au sacerdoce tant qu'il ne se marie pas. Conspiration discrète de son évêque Euloge [ν 3], il fait la rencontre de Tamara Fiodorovna Baïmakov, militante de l'ACER de sept ans son aînée[¤ 39] qui travaille à l'YMCA, et, le 12 juillet 1937, l'épouse[¤ 40]. Le mariage est célébré en Normandie à Colombelles, paroisse d'un collègue de l'Institut Saint-Serge[¤ 25]. Elle lui donnera l'année suivante, le 10 juin 1938[¤ 41], une fille, Hélène, puis, en août 1942[¤ 42], un fils, Paul, et lui survivra jusqu'en 1987. Le 5 septembre 1937, il est ordonnédiacre, le 12, prêtre en la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky, rue Daru, par le métropoliteEuloge(en)[¤ 40], de Paris, en présence de Mgr Serge, de Prague[ν 3]. Le couple est logé rue Jouvenet[¤ 43], de l'autre côté de la Seine. Conformément à la tradition, le nouveau prêtre laisse désormais pousser barbe et cheveux.
La même année, son frère est recherché par la police, qui le soupçonne d'être impliqué dans l'assassinat d'un agent soviétique retourné, Ignace Reiss[¤ 32]. Bientôt suivi par Serge Efron puis Marina Tsvetaieva, Nicolas Klépinine(ru) est rapatrié avec les honneurs à Moscou, mais dans la nuit du 6 ou 7 novembre 1939, il sera arrêté par le NKVD avec sa fille Sophie et sa femme Antonine, qui est l'arrière-arrière-petite-fille du vice-amiral Korniloff(ru), la fille du zoologue Nikolai Nassonoff(en) et la sœur de l'ingénieur Vsiévolod Nassonoff(ru), ainsi qu'Alexeï Vassiliévitch Sezemann, le premier des deux fils alors âgé de vingt-cinq ans que celle-ci eut de son premier mari et qui survivra. Condamné avec Serge Efron et Émilie Litauer pour espionnage au profit de la France au terme d'un longue instruction émaillée de manœuvres diplomatiques, il sera emprisonné à Orel le 28 juillet 1941, torturé[¤ 44] et fusillé le 28 août, sa femme mourant vraisemblablement quelque temps plus tard à la suite d'une grève de la faim dans une prison de Moscou. Sophie Nikolaïevna, la nièce du père Klépinine, deviendra journaliste scientifique, employée à la maison musée(ru) de Marina Ivanovna Tsvétaïéva à Bolchévo(ru) où furent hébergés puis arrêtés ses parents[¤ 32], et mourra en 2000 à l'âge de soixante et onze ans.
Au début de la guerre, le nouveau recteur, en tant qu'apatride protégé par un passeport Nansen que la France lui renouvelle régulièrement, est, aux termes des dispositions légales françaises, astreint au service militaire et passe, pour recensement, en conseil de révision[¤ 46], mais il n'appartient pas alors aux classes mobilisables.
Le père Dimitri consacre une grande partie de son temps aux enterrements[¤ 47]. Il est très sollicité, souvent par des femmes isolées. Il répond en écoutant socratiquement[10] les confessions[¤ 48], en visitant les malades de son ressort, les hôpitaux Laennec et Boucicaut[¤ 47], en apportant la communion aux malades, en priant des nuits entières. Il soigne un alcoolique en lui faisant boire de l'eau bénite et ne l'autorise à communier que comme une récompense d'un changement sincère[11].
Résistance et secours des enfants persécutés (1940-1942)
Pour ce qui est des enfants, qui appellent tendrement le père Dimitri Batiouchka (Батюшка, petit père), l'acte ne permet pas en lui-même de les sauver, mais, outre qu'il leur délivre un témoignage d'affection paternelle et d'autorité bienveillante, ce qui dans ces circonstances n'est pas la moindre des choses, entre dans une stratégie de résistance à laquelle contribuent également les organismes qui cachent les enfants, tels les Quakers, et les fabricants de faux papiers, tel au sein du KominternCésar Covo. La liaison avec la Résistance est assurée par Tania, la sœur puinée du père Dimitri qui est poursuivie par la Gestapo[¤ 53]. Le réseau, informel, se constitue dès l'été 1941 autour d'un « Comité d’aide aux détenus de Compiègne »[ν 4] quand le père Klépinine organise des visites pour les prisonniers internés dans le camp de Royallieu. À partir de décembre 1941, il participe à la confection et la distribution de colis pour les détenus qui y sont[13] en attente de déportation, spécialement les « Juifs »[¤ 54], c'est-à-dire les plus nécessiteux.
De faux certificats, quatre vingt[ν 3] à cent[¤ 55], sont également délivrés aux adultes, initialement des conjoints juifs de russesorthodoxes[¤ 51]. Cela représente un peu plus de 3 % des 2 560 persécutés, sur les 75 721 visés par le régime de Vichy, qui échapperont à la déportation. Si un certificat de baptême n'est pas suffisant pour établir l' « aryanité » de son détenteur, la distribution qui en est faite permet à quelques personnes d'obtenir des sauf conduits auprès de fonctionnaires français complaisants[¤ 51]. Le père Dimitri n'hésite pas à braver le couvre feu pour prévenir des familles persécutées d'une arrestation imminente dont le réseau a été prévenu et les emmener jusque chez lui[¤ 55]. Il n'hésite pas non plus à cacher hommes, femmes et enfants en fuite dans l'oratoire de la rue Lourmel[ν 3]. À la suite de la rafle du Vélodrome d'Hiver, stade qui se trouve à quinze minutes à pieds, il héberge dans une des chambres où il loge, sous les toits[¤ 33], une famille, qui doit précipitamment s'enfuir de nouveau, un jour d'août 1942, par un escalier dérobé quand la police vient perquisitionner[¤ 56]. C'est alors qu'il choisit pour parrain de son fils[¤ 57] qui vient de naître un ingénieur des Ponts et chaussées[¤ 58], Georges Kazaktchkine, dont la femme, Judith, serait tenue de porter l'étoile jaune[¤ 53].
Au total, plusieurs centaines de faux certificats sont émis sans qu'il n'y ait eu aucune cérémonie. Pour les rendre crédibles, le père Klépinine invente des noms et des biographies, et, pour que sa mémoire ne soit pas éventuellement prise en défaut, constitue un fichier parallèle reprenant soigneusement à côté de chaque photographie tous les détails[¤ 54]. Les fausses fiches sont discrètement marquées d'un t[¤ 55]. Quand en 1942 un fonctionnaire de l'exarchat, cédant à une pression policière, demande à viser le registre paroissial, le recteur oppose un refus ferme : « Tous ceux qui m’ont demandé le baptême l’ont fait indépendamment de toute motivation étrangère et sont devenus mes enfants spirituels. Ils sont désormais sous ma protection. Votre démarche est due visiblement à des pressions extérieures et revêt un caractère policier. En conséquence, je suis contraint de rejeter votre demande »[14].
Arrestation et internement à Compiègne (1943)
C'est finalement la Gestapo elle-même qui, vient le dimanche perquisionner l'établissement de la rue de Lourmel[ν 5]. Le sous-diacre Youri Skobtsoff, qui est le fils de Mère Marie tout juste âgé de vingt et un ans, est arrêté avec en poche une lettre d'une Juive demandant, un certificat de baptême. Le père Klépinine est convoqué pour le lendemain avec mère Marie Skobtsova contre la promesse de libérer le jeune Youri[ν 5].
Accompagné par une des bénévoles qui témoignera, le père Klépinine, au début d'un interrogatoire qui durera quatre heures, ne nie pas les faits, se déclare seul responsable mais évite les provocations. Toutefois, quand il reprend l'officier qui lui parle de « youpins », il est giflé violemment au visage[ν 5]. S'entendant demander les motifs de sa sollicitude, il répond en montrant son crucifix « Et ce Juif-là, vous le connaissez ? »[ν 5]. Frappé une seconde fois, il tombe à terre[ν 5]. L'officier lui propose de déclarer qu'il ne s'occupe que du service religieux, ce que le prêtre refuse, et le ramène rue de Lourmel pour arrêter à son tour Marie Skobtsova[ν 5].
L'enquête conclue, le père Dimitri est arrêté une seconde fois le [¤ 52] et interné au fort de Romainville, où sont déjà enfermés mère Marie et son fils et où le rejoignent ses collaborateurs, Théodore Pianoff, puis Georges Kazatchkine et enfin le cuisinier, un des ex patients de l'asile, Anatole Viskovski[ν 5]. Trois semaines plus tôt, en sortaient celles qui allaient former le convoi du 24 janvier.
Un mois plus tard, l'Action orthodoxe est interdite et les cinq hommes sont expédiés à Compiègne, au camp de Royallieu, Frontstalag 122 gardé par le hommes du SD que commande le « capitaine d'assaut » SSHeinrich Illers(de). Ils sont affectés à la section C, la plus dure, celle qui connait une forte mortalité, mais après un temps de famine, ils sont autorisés à recevoir des colis de leurs familles. Le père Klépinine s'empresse de dilapider le contenu des siens aux moins chanceux. Pour amuser un groupe de jeunes femmes, un soldat allemand le bouscule et le frappe en le moquant de « Juif ! Juif ! »[3].
Le père Klépinine organise la lecture d'un commentaire[15] de l'Évangile à laquelle assistent les prisonniers orthodoxes, Russes, Grecs, Serbes, et prépare Youra à la prêtrise. Il consacre dans les dernières travées d'un dortoir, face à deux fenêtres[κ 1], une iconostase faits de bancs et de tables renversés contre les châlits[ν 5] où il officie quotidiennement, confesse, console, baptise. La liturgie terminée, il laisse la place à un collègue catholique[3]. Dans une dernière lettre, il dit son acceptation du martyre, sa confiance dans la présence du Christ parmi les hommes, son espoir d'épargner à ses enfants tout traumatisme tout en tentant de masquer l'angoisse d'être une cause de chagrin pour sa femme[κ 2].
Déportation à Buchenwald (1944)
Le 14 décembre 1943[16], les cinq hommes inculpés sont déportés ensemble dans un train de wagons à bestiaux vers le camp de concentration de Buchenwald[¤ 58]. Arrivé au terme de deux journées émaillées d'évasions[17], le père Klépinine refuse le peu de privilèges que lui donne la condition de prisonnier français, arrache son insigne et prend celui des prisonniers soviétiques[ν 5]. Avec la moitié des hommes de son convoi[17], il est envoyé deux semaines plus tard dans le kommando X, dont les prisonniers, à quatre vingt quatre kilomètres de là dans les montagnes du Harz, à Dora, sont contraints à un travail sans nourriture et très peu de repos. Il n'y arrive que le 15 janvier[¤ 59], soit après deux semaines de convoyage, et est affecté au chargement, transport en chariots et déchargement de lourdes dalles[¤ 59]. Ces travaux de terrassement, commencés depuis six mois, achèvent le complexe autour de l'usine souterraine où les premières pièces de missiles V2 sont produites dès janvier.
Le père Klépinine souffre d'une pneumonie depuis un appel interminable tenu à tous les vents de l'hiver[ν 5] quand Youra meurt le 6 février. Lui-même est finalement relégué dans le baraquement des malades exemptés de travail sans être soignés[ν 5], la « Schonung »[¤ 60]. C'est là que le mercredi 9 février 1944, son ami Georges Kazatchkine le trouve gisant sur le ciment au milieu des immondices et lui promet de revenir le lendemain[¤ 61]. Il meurt le jour même, après qu'à sa demande, un kapo russe présent lui a pris la main pour lui faire faire son signe de croix[ν 5]. Son corps est évacué avec la masse du jour à Buchenwald pour être incinéré dans le four crématoire du camp, Dora n'en étant alors pas encore pourvu[¤ 60].
Enseignements
« Centrer son attention sur la compréhension du contenu des mots et leur application à la vie [...] Alors, précisément, la prière de la raison deviendra prière du cœur. »
↑D. Klépinine, Lettre, Compiègne, [s.d.], cité in in H. Arjakovsk↑y-Klepinine, Et la vie sera amour, p. 128 sq., Cerf, Paris, octobre 2005 (ISBN2-204-07712-7).
↑D. Klépinine, Lettre à Tamara, Compiègne, 13 décembre 1942, cité in H. Arjakovsk↑y-Klepinine, Et la vie sera amour, p. 212-214, Cerf, Paris, octobre 2005 (ISBN2-204-07712-7).
↑D. Klépinine, Carnets, inédit, cité in H. Arjakovsky-Klepinine, Et la vie sera amour, p. 77, Cerf, Paris, octobre 2005 (ISBN2-204-07712-7).
↑D. Klépinine, Lettre à Sophie Tchidlovski, Montfort-l'Amaury, septembre 1930, cité in, Le Messager orthodoxe, n° 168, II & III, ACER MJO, Paris, 1993.
Autres sources
↑Dir. Marie A. Strouvié, Le Messager orthodoxe, p. 0, no 99, ACER MJO, Paris, 1985.
H. Arjakovsky-Klepinine, Et la vie sera amour. Destin et lettres du père Dimitri Klepinine, coll. Le Sel de la Terre (ISSN1422-1276), Cerf, Paris, octobre 2005, 224 p. (ISBN2-204-07712-7).