Share to: share facebook share twitter share wa share telegram print page

Saint-Quentin-sur-Charente

Saint-Quentin-sur-Charente
Saint-Quentin-sur-Charente
L'église de Saint-Quentin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Mickaël Loiseau
2020-2026
Code postal 16150
Code commune 16345
Démographie
Population
municipale
207 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 20″ nord, 0° 40′ 16″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 268 m
Superficie 14,39 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Quentin-sur-Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Quentin-sur-Charente
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Saint-Quentin-sur-Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Quentin-sur-Charente

Saint-Quentin-sur-Charente (Sent Quentin en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

Localisation et accès

Saint-Quentin surplombant la Charente.

Saint-Quentin-sur-Charente, appelée Saint-Quentin localement, est une commune de la Charente limousine située à 6 km au sud-ouest de Chabanais et à 45 km au nord-est d'Angoulême, dans la vallée supérieure de la Charente.

Elle est située dans le canton de Chabanais, 6 km au sud-est de La Péruse, à 7 km au nord de Massignac, 9 km au sud-est de Roumazières-Loubert, 12 km à l'ouest de Rochechouart, 20 km au sud de Confolens et 46 km à l'ouest de Limoges[1].

À l'écart des grands axes routiers, elle est desservie par plusieurs petites routes départementales. La D 161 de Roumazières à Rochechouart et la D 190 en direction de Confolens et Chabanais desservent le bourg. La D 164 de Suris à Chabanais passe au nord de la commune, et la D 162 de Lésignac à Chabanais passe au sud.

La N 141, route d'Angoulême à Limoges, passe au nord de la commune à 4 km du bourg.

La gare la plus proche est celle de Chabanais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Hameaux et lieux-dits

La commune est occupée par de nombreux hameaux ; Chez Grenet, la Forge, la Barrière au nord, et la Chauvetie, Sansac, la Nègrerie, Maubayou, Lavaud (qui a donné son nom au lac), la Brunetie au sud, etc.

Le château de Pressac est au nord de la commune.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Saint-Quentin-sur-Charente
Exideuil-sur-Vienne Chabanais
Terres-de-Haute-Charente Saint-Quentin-sur-Charente
Lésignac-Durand Pressignac

Géologie

Paysage sur la route de Pressignac.

Géologiquement, la commune se trouve dans le Massif central, comme toute cette partie orientale de la Charente qui s'appelle Charente limousine. Le sol est principalement composé de gneiss, avec un plateau d'argile sableuse situé à l'est du bourg au bois des Geais. Quelques filons de microgranite strient ce massif du sud au nord[2],[3], [4].

La commune se trouve aussi sur le bord occidental de l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart, mais ne comporte pas de brèches dues à l'impact.

Le relief est celui de la Charente limousine : assez élevé par rapport au reste du département, mais bas par rapport au reste du Massif central. Les hauteurs sont dans les 230 m.

La commune est traversée par une longue crête orientée sud-est, nord-ouest, qui sépare le bassin de la Loire à l'est de celui de la Charente à l'ouest, d'altitude moyenne 250 m. Une crête de hauteur équivalente limite l'ouest de la commune et sépare la vallée de la Charente de celle de la Moulde, son premier affluent principal.

Le point culminant de la commune, 268 m, est situé à l'est du bourg, près du Bois des Besses. Le point le plus bas, 169 m est situé au nord-est du château de Pressac.

Le bourg, situé sur le flanc de la vallée de la Charente rive droite, est à une altitude de 220 m et le fond de la vallée à 200 m.

Végétation

Le paysage est essentiellement du bocage destiné à l'élevage (vache limousine et ovins). La commune est assez boisée, principalement sur la crête à l'est du bourg où on trouve le Bois des Geais et le Bois des Besses. On trouve aussi quelques landes.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[5] et pour partie dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[6]. Elle est drainée par la Charente, la Soulène, le Charenton, les Vergnes et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La commune se trouve à cheval sur deux bassins hydrographiques ; celui de la Loire au nord-est, et la Charente au sud-ouest, avec la vallée de la Charente elle-même qui passe au pied du bourg.

La Charente traverse la commune du sud-est au nord-ouest et le barrage du lac de Lavaud se situe au sud en amont au lieu-dit Lavaud. Une toute petite partie du lac est donc sur la commune.

Au nord-est de la commune les ruisseaux se dirigent vers la Vienne, en particulier le ruisseau des Courants et de la Serre de Savignac au nord près de Pressac.

Le sol imperméable est aussi propice à quelques petites retenues d'eau, en particulier sur le domaine de Pressac au nord.

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Vienne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].Le SAGE « Vienne», dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[10]. Il est quant à lui une déclinaison du SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat

Le climat est celui de la Charente limousine, de type océanique dégradé. Les précipitations sont plus nombreuses et les températures plus fraîches que dans le reste du département.

Urbanisme

Typologie

Au , Saint-Quentin-sur-Charente est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,4 %), zones agricoles hétérogènes (26,3 %), forêts (18,2 %), terres arables (13,6 %), eaux continentales[Note 1] (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Quentin-sur-Charente est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Quentin-sur-Charente.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 17,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 132 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 14 sont en aléa moyen ou fort, soit 11 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques

La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Quentin-sur-Charente est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie

Les formes anciennes, en latin, sont Sanctus Quentinus prope Cabanesium, ou prope Carantoniam[24], signifiant « Saint Quentin près de Chabanais » ou « près de la Charente ».

Quintinus était un apôtre chrétien, évangélisateur de la Gaule, martyr du IIIe siècle[25].

La commune constituée à partir de la paroisse en 1793 s'appelait Saint Quentin, puis s'est officiellement appelée Saint-Quentin en 1801, comme l'autre Saint-Quentin du département à cette époque. On l'a aussi appelé Saint-Quentin-de-Chabanais pour la distinguer[26]. Sa dénomination actuelle, Saint-Quentin-sur-Charente, date de 1937[27].

Dialecte

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[28]. Elle se nomme Sent Quentin en occitan[29].

Histoire

La commune était située à un carrefour de trois voies romaines et antiques.

  • La voie romaine de Saintes à Lyon par Limoges, ou voie d'Agrippa, qui passait par Saint-Cybardeaux, Montignac et Chassenon passait au nord du bourg sur la crête qui fait la ligne de partage des eaux, actuellement un chemin empierré. En provenance de Suris au nord-ouest, elle bifurquait à l'est dans le bois des Besses pour passer au nord de Puymis (limite communale de Chabanais et Pressignac)[30].
  • Le tronçon de cette voie passant dans la commune était aussi commun à une autre voie antique, nord-sud celle-ci, et qui allait de Périgueux à Poitiers vraisemblablement par Charroux et appelée ailleurs Chemin ferré. Cette voie, longeant la ligne de partage des eaux, passait par Videix (Saint-Gervais) au sud et La Péruse au nord. Les deux voies se séparaient au nord à Suris et au sud au Bois des Besses[31].
  • Saint-Quentin était aussi le point de jonction de la voie venant d'Angoulême appelée chemin des Anglais avec la voie d'Agrippa, et qui passait à l'ouest par Lésignac, Mouzon et Mazerolles[31]. Cette voie traversait la vallée de la Charente et passait peut-être au bourg.

Des découvertes de monnaies romaines, tegulae et d'un petit bloc en marbre témoignent d'une occupation gallo-romaine : le Parc, la Croix du Parc, et près de la Barrière[32].

La paroisse de Saint-Quentin, qui aurait été évangélisée par saint Martial lui-même, faisait partie des terres de Pressac[réf. nécessaire].

Pressac était une des quatre grandes seigneuries qui, avec la Chauffe, la Chétardie et les Étangs, dépendaient de la principauté de Chabanais. Le château de style Renaissance date du XVIe siècle. Au XVIIe siècle, il appartenait à Jean de Singareau, écuyer. Puis il est passé aux mains des familles d'Abzac, d'Allogny et de La Bastide.

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1627.

Au village de Sansac, un souterrain naturel a été découvert, qui a probablement servi de souterrain-refuge.

Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par une minoterie à cylindres, située à Sansac sur la Charente et appartenant au maire de la commune, M. Gauchon[33].

Administration

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 2007 Jean-Louis Granet    
2007 2014 Alexandre Hamon SE Cadre retraité
2014 mars 2015 Katia Rousseau    
juin 2015 En cours Mickaël Loiseau    

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 207 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
598510568615535643636640601
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
584579559543571534539525497
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
514516401425382349329337347
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
294250245250232227208211207
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 113 hommes pour 103 femmes, soit un taux de 52,31 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,0 
10,0 
75-89 ans
15,8 
20,9 
60-74 ans
22,8 
17,3 
45-59 ans
24,8 
20,0 
30-44 ans
14,9 
9,1 
15-29 ans
7,9 
21,8 
0-14 ans
13,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

Commerces

  • Restaurant et épicerie multi-service, au bourg.

Tourisme

Équipements, services et vie locale

Enseignement

L'école est un RPI entre La Péruse, Saint-Quentin et Suris. Saint-Quentin accueille l'école élémentaire, située au bourg et comprenant une seule classe, et Suris l'école maternelle. Le secteur du collège est Chabanais[39].

Lieux et monuments

  • L'église paroissiale Saint-Romain.
  • Le château de Pressac est situé à 2 km au nord du bourg, sur la route de Suris à Chabanais. Ancien fief médiéval, cet imposant château de style néo-classique Renaissance domine une vallée.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Quentin-sur-Charente » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  5. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Saint-Quentin-sur-Charente », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « SAGE Vienne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Quentin-sur-Charente », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Quentin-sur-Charente », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 59
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 625.
  26. Catillus Carol, « Saint-Quentin-sur-Charente », (consulté le ).
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  29. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  30. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 159
  31. a et b Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 165
  32. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 101
  33. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 346
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Quentin-sur-Charente (16345) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Kembali kehalaman sebelumnya