Premières 12 lignes de The Wright's Chaste Wife dans un ouvrage de Frederick J. Furnivall publié en 1865.
On retrouve la ligature double l dans le premier alphabet gallois[1], mentionné dans le Livre rouge de Hergest[2] (circa 1382-1410) : a, b, c, d, e, f, g, h, i, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, v, x, y, w, ỻ.
Elle est utilisée pour différencier le /ɬ/ (‹ ll › en gallois moderne) du double l dans certains manuscrits gallois du Moyen Âge[3], ou encore dans des ouvrages plus récent comme la grammaire galloise A Welsh grammar de 1913 par John Morris Jones.
(en) Michael Everson (directeur), Peter Baker, António Emiliano, Florian Grammel, Odd Einar Haugen, Diana Luft, Susana Pedro, Gerd Schumacher et Andreas Stötzner, Proposal to add medievalist characters to the UCS, (lire en ligne)
(en) John Morris Jones et John Rhŷs, The Elucidarium and other tracts in Welsh from Llyvyr agkyr Llandewivrevi A.D. 1346 (Jesus college MS. 119), Oxford, Clarendon Press, (lire en ligne)