Elle n’est pas à confondre avec le M culbuté ‹ Ɯ, ɯ › qui était utilisée dans l'écriture du zhuang de 1957 à 1986, avec une majuscule ressemblant à la minuscule, ou qui était utilisée dans certaines études des langues siouanes de James Owen Dorsey, avec une majuscule basée sur un M majuscule culbuté.
Graphie
La graphie de cette lettre est une altération de la forme majuscule de la lettre M ‹ M ›, tourné à 180° (ou inversée sur l’axe de symétrie horizontal) ou tournée à 90°[2],[3].
Variantes et formes
Formes du M culbuté
Majuscule
Minuscule
Description
Forme basée sur un M tourné à 180°, similaire à une variante du M culbuté majuscule ‹ Ɯ ›.
Forme basée sur un M tourné à 90°.
Représentation informatique
La M inversé épigraphique peut être représentée avec les caractères Unicode (Latin étendu D) suivants :
René Cagnat, Cours d’épigraphie latine, Paris, Fontemoing, , 3e éd. (lire en ligne)
Louis-Alphonse Chassant, Dictionnaire des abréviations latines et françaises usitées dans les inscriptions lapidaires et métalliques, les manuscrits et les chartes du Moyen Âge, Paris, Auguste Aubry, (lire en ligne)
(en) George Davis Chase, « The Origin of Roman Praenomina », Harvard Studies in Classical Philology, vol. 8, , p. 103-184 (JSTOR310491, lire en ligne)
(la) Emil Hübner, Exempla Scripturae Epigraphicae Latinae, Berlin, (lire en ligne)
(en) David J. Perry, Proposal to Add Additional Ancient Roman Characters to UCS (no L2/06-269), (lire en ligne)