Il a été proposé plusieurs fois d’ajouter une cédille au t en français, lorsque cette lettre est prononcée comme un s, afin d’éviter bon nombre d’irrégularités comme partie et démocratie (démocraţie), nous portions et des portions (des porţions)[1] notamment par Ambroise Firmin Didot en 1868[2] et avait été utilisé comme tel auparavant par Simon Moinet, l’imprimeur et correcteur des Elzevier à Amsterdam, en 1663[2]. Ces tentatives de réforme n’ont jamais abouti.
Ce caractère est parfois utilisé en roumain à la place du t à virgule souscrite ‹ ț ›, qui est la graphie correcte, car les normes considéraient à l’origine les deux formes comme des variantes du même caractère. C’est pourquoi le t cédille apparaît dans beaucoup de polices comme un t à virgule souscrite.
Représentations informatiques
Le T cédille peut être représenté avec les caractères Unicode suivant :
Salem Chaker, « Kabylie : La langue », dans Encyclopédie berbère, vol. 26, , 4055–4066 p. (lire en ligne)
Marcel Ferrand, « Comment les Roumains changèrent d’alphabet », Slavica Occitania, vol. 27, , p. 167-188 (lire en ligne)
(en) UNGEGN Working Group on Romanization Systems (GENUNG Groupe de travail de systèmes de romanisation), « Arabic », dans Report on the current status of United Nations romanization systems for geographical names, 2.2, (lire en ligne)
(en) UNGEGN Working Group on Romanization Systems (GENUNG Groupe de travail de systèmes de romanisation), « Persian », dans Report on the current status of United Nations romanization systems for geographical names, 2.2, (lire en ligne)
Jean Méron, De quelques inventions alphabétiques, (lire en ligne)
Dirk Ziervogel, The Eastern Sotho: A tribal, historical and linguistic survey with ethnographic notes of the Pai, Kutswe and Pulana Bantu tribes in the Pilgrim’s Rest District of the Transvaal Province, Union of South Africa, Pretoria, J.L. van Schaik, , 215 p.