Aureille se trouve entre la chaîne des Alpilles et la plaine de la Crau, à mi-chemin entre les communes d'Eyguières et de Mouriès. Elle est dominée par le signal des Opiès, point culminant de la commune. Membre des communes de la vallée des Baux, elle revendique des traditions qui la rapprochent de la ville d'Arles[1].
La route départementale 17 traverse la commune au sud du bourg selon un axe est-ouest et la route départementale 25A et B traverse la commune par le bourg selon un axe nord-sud.
L'aéroport international le plus proche est celui de Marseille Provence. On trouve aussi deux aérodromes sur le secteur des Alpilles, l'un au nord entre Eygalières et Saint-Rémy-de-Provence, et un autre au sud de la ville d'Eyguières[2].
Géologie
Aureille appartient géologiquement à la plaine de la Crau : son sol est constitué d'alluvions à galets. On retrouve ce type de sol sur tout le plateau d'Aureille, jusqu'à l'endroit où il descend abruptement sur Mouriès. La composition du sol est alors modifiée, constituée de dépôts de versant. Les sommets au nord d'Aureille, notamment la tour des Opies, sont très différents de ce que l'on retrouve d'ordinaire dans le massif des Alpilles. Si, aux Opies comme dans le reste des Alpilles, le sol est fait de molassecalcaire, celui des Opies remonte au jurassique, tandis que les Alpilles sont plus récentes et remontent au crétacé (principalement le crétacé inférieur)[3].
Le canal de Craponne, branche d'Arles, irrigue le sud de la commune (ASCO des Arrosants de la Crau) depuis juin 1582 et permet à la commune d'être une importante productrice de Foin de Crau.
Le nord de la plaine est traversée par le canal de la vallée des Baux, construit en 1914, à la suite de l'intervention menée par l'ambassadeur de France, originaire de Mouriès, Paul Révoil, pour faire face aux périodes de sécheresse qui contraignaient de plus en plus d'habitants des Alpilles à partir pour la Crau, mieux irriguée[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 627 mm, avec 5,7 jours de précipitations en janvier et 2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Salon-de-Provence », sur la commune de Salon-de-Provence à 14 km à vol d'oiseau[10], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 594,1 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 43,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,5 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].
Le mistral y souffle violemment du nord ou du nord-ouest, particulièrement en hiver et au printemps. Les Alpilles dévient le vent, mais Aureille ne peut profiter de sa position au sud du piémont du massif et le vent y souffle pratiquement aussi fort que dans le nord de la chaîne. Le mistral souffle fortement 100 jours par an en moyenne et faiblement 83 jours, ce qui ne laisse que 182 jours sans vent par an[15].
On distingue deux types de mistral : le « mistral blanc », qui dégage le ciel en totalité et accentue la luminosité, et le « mistral noir », plus rare, qui est accompagné de pluie.
Données météorologiques
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2021 :
Le territoire d'Aureille, et notamment ses vallons, compte de nombreux mammifères. Le sanglier y abonde, sa population est en progression. Inversement, le nombre de lièvres et de lapins tend à décroître. La raison semble en être l'épidémie de myxomatose de 1953 qui a causé des ravages dans la population et, depuis la fin du XXe siècle, le VHD viral qui provoque la diminution de l'espèce. La raréfaction des rongeurs pourrait poser problème à terme pour la survie des espèces de rapaces qui s'en nourrissent.
La flore aureilloise est, pour l'essentiel, xérique et méditerranéenne. Le botaniste Bernard Girerd y a dénombré 800 espèces végétales en 1992[17].
Hormis l'olivier, caractéristique du paysage aureillois, on note la présence de micocouliers, de chênes kermès de petite taille, d'amélanchiers.
Des espèces végétales protégées, comme la nivéole d’été(Leucojum aestivum) ou l'hélianthème à feuilles de Marum (Helianthemum lavandulaefolium), s'y rencontrent au fond des vallons.
Urbanisme
Typologie
Au , Aureille est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[18].
Elle est située hors unité urbaine[19] et hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (44,5 %), prairies (22,3 %), cultures permanentes (11 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), terres arables (7 %), zones urbanisées (3,1 %), forêts (1,8 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes les plus anciennes du nom « Aureille » se retrouvent dans le nom d'un prieuré au XIe siècle, Sancta Maria de Auricula et, en 1189, dans le nom d'Ugo de Aurella[23].
Les étymologistes ne sont pas tous du même avis quant à la signification du nom « Aureille ».
Trois tendances se dégagent :
la première veut que ce nom soit rattaché à la voie Aurélienne. Cette voie, pourtant, ne passe pas dans le village, mais bien plus au sud ;
une deuxième hypothèse renvoie à une racine provençale auro, (« vent » en provençal) ;
la troisième, qui est la plus probable, a été émise par Charles Rostaing dans son dictionnaire de toponymie[24]. Il voit dans Aureille le nom d'un propriétaire terrien romain, Aurelius[25]. Or, il se trouve qu'une vieille famille arlésienne portait ce nom, ce qui tendrait à confirmer cette hypothèse.
Au premier âge du fer, les habitats préhistoriques continuent d'être habités pour la plupart, notamment au vallon des Tardières[26], même si celui-ci se dote d'un rempart de pierres[27].
Dans les siècles qui précèdent l'arrivée des Romains, le territoire d'Aureille, comme l'ensemble des Alpilles, est peuplé de Ligures, de Celtes et de Celto-Ligures. Aureille fait alors sans doute partie du territoire des Nearchi dont Ernaginum constitue la frontière nord, mais aussi, peut-être, des Anatilii, qui vivent jusqu'au nord de la Crau, dont les Alpilles constituent la frontière naturelle[28]. Des chemins protohistoriques relient alors les nombreux oppida des Alpilles et permettent la traversée du massif dans un sens transversal[29]. Lors de la seconde partie du premier âge du Fer (VIIe – VIe siècles av. J.-C.), la population se sédentarise et se met à construire en dur. Le castrum se structure à la manière d'un village avec ses rues et ses maisons adossées[29]. Le processus d'installation permanente est à mettre en parallèle avec l'intensification des échanges économiques avec les commerçants méditerranéens[29]. En échange de produits de luxe, les habitants des Alpilles produisent des céréales et passent d'un état d'autarcie à une véritable économie d'échange[29]. Au cours des siècles suivants, la population des Alpilles diminue de façon conséquente : le comptoir grec d'Arles attire de nombreux habitants venus de toute la région[29].
On pense qu'un membre de la gens Aurelius eut ici une villa.
A partir du Ve siècle, les invasions germaniques désertifient le lieu [30].
Moyen Âge
Au XIIe siècle, le peuplement reprend. L'église du village, Sancta Maria de Auricula, appartient au diocèse d'Arles. En 1224, un citoyen d'Arles, Bertrand Ybilion, propriétaire du castrum, le cède à la communauté d'Arles. Mais la ville d'Arles ne peut s'occuper d'un territoire aussi éloigné. Aureille est désertée, d'autant que le village subit régulièrement le passage de grandes compagnies au XIVe siècle[31].
Renaissance
Il faut attendre le pour voir le village reprendre vie une nouvelle fois. Louise d'Ancézune, dame de Saint-Chaumont, achète aux consuls d'Arles les trois quarts de la terre d'Aureille pour la somme de 23 820 écus. Veuve de Christophe de Saint-Chaumont, premier baron du Lyonnais, elle possède une fortune considérable. « Parce que le terroir a été laissé il y a plus de deux cents ansi inculte et désert, ladite dame de Saint-Chaumont desireroit y faire construire quelques maisons et le rendre fertile et bien cultivé »[32],[30].
Et le village revient à la vie. Des colons viennent s'y établir, encouragés par les avantages fiscaux qui leur sont proposés. Entre 1608 et 1620, une vingtaine de familles s'implanta à Aureille, à la tête desquels se trouvent Antoine Payan et Antoine Escarioly, habitants d'Eyguières. Ces familles habitaient Eyguières mais sont originaires des Alpes (Gap, Sisteron, Barcelonnette, le Dauphiné, ou, plus près, la région d'Apt). Les terres incultes sont défrichées, on pratique l'élevage de chèvres et de brebis, le seigneur entretient des troupeaux de juments et de bœufs[30].
Période moderne
En 1792, lorsque le Comité de Salut Public fait des reproches à la communauté d'Aureille pour ne pas lui avoir signalé des suspects et met en doute le civisme des habitants, les Aureillois répondent : « Notre communauté est d'une petite population, composée de gens uniquement occupés des travaux de la campagne. Toujours fermes dans les principes républicains, nous sommes prêts à les soutenir jusqu'au dernier soupir. N'ayant jamais eu de suspect parmi nous, nous ne sommes pas dans le cas d'envoyer aucun tableau relatif à ce sujet »[33]
La communauté d'Aureille endure plusieurs épisodes de peste et de choléra, notamment au cours du XIXe siècle.
En 1887, la ville se voit dotée d'une gare, sur la ligne d'Arles à Salon-de-Provence. Elle sert davantage au transport fret (pierre de taille, bauxite, huile d'olive, vin...) qu'au transport de voyageurs[34].
Période contemporaine
En 1933, le chemin de fer cesse le transport de voyageurs. En 1947, la section Fontvieille - Salon est fermée et déferrée. La ligne a aujourd'hui disparu, mais le bâtiment voyageur existe toujours : il s'est transformé en habitation privée. La D17 reprend une large partie du tracé origina de la voie ferrée[35].
À partir de 1970, le village se dote d'équipements collectifs, donnant à Aureille un nouvel essor et un accroissement important de sa population[36]. En , un important incendie ravage 1500 hectares sur les Alpilles : l'essentiel se trouve sur la commune.
Politique et administration
Administration municipale
Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du Conseil municipal de Aureille :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].
En 2021, la commune comptait 1 541 habitants[Note 2], en évolution de −0,77 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,2 % la même année, alors qu'il est de 26,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 744 hommes pour 778 femmes, soit un taux de 51,12 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,24 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,8
6,0
75-89 ans
7,3
20,6
60-74 ans
22,3
22,9
45-59 ans
20,9
19,7
30-44 ans
19,8
13,1
15-29 ans
11,1
17,2
0-14 ans
16,8
Pyramide des âges du département des Bouches-du-Rhône en 2021 en pourcentage[42]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,8
90 ou +
1,9
7,6
75-89 ans
9,8
16,2
60-74 ans
17,2
19,7
45-59 ans
19,5
18,8
30-44 ans
18,6
18,4
15-29 ans
16,9
18,6
0-14 ans
16,1
Enseignement
La commune dispose d'une école maternelle publique et d'une école primaire publique.
Santé
La commune dispose d'un docteur, mais pas de pharmacie. Les plus proches sont à environ 6 kilomètres sur Eyguières ou Mouriès.
L'hôpital le plus proche est à environ 15 km à Salon-de-Provence.
Sports
On trouve deux terrains de sport au sud du bourg.
Le GR 6, qui traverse la commune et passe par le bourg selon un axe-est-ouest, et plusieurs autres chemins permettent la pratique de la randonnée.
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 241 €, ce qui plaçait Aureille au 11 695e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[44].
Agriculture
L'agriculture est très présente à Aureille. On y cultive des fruits et des légumes[1], ainsi que du foin de Crau, seul aliment pour animal protégé par une AOC (31 mai 1997).
Le mouton y est élevé, comme dans plusieurs autres communes des Alpilles[1].
La commune produit de l'huile d'olive de la vallée des Baux-de-Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) depuis un décret pris par l'INAO, le . Les variétés d'olives qui entrent dans son élaboration sont la salonenque, la beruguette, la grossane et la verdale des Bouches-du-Rhône[45]. Elle produit aussi des olives cassées et des olives noires qui relèvent du même décret de l'INAO. Les variétés d'olives cassées proposées à la commercialisation sont la salonenque et la beruguette. Pour les olives noires la seule variété acceptée est la grossane[46],[47].
Tourisme
Hormis l'agriculture, l'économie la plus facilement identifiable autour du massif des Alpilles est liée au tourisme. Même les producteurs viticoles et oléicoles semblent tenir compte du développement du tourisme et de plus en plus de domaines proposent de la dégustation, voir dans certains cas de véritables cours d'initiation à l'œnologie.
On peut considérer trois principales sortes de tourisme dans les Alpilles. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche (les Baux-de-Provence, Glanum, etc.) ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le massif et ses environs.
On trouve par exemple sur cette commune plusieurs meublés de tourisme et un hôtel.
Le château d'Aureille, d'architecture la fin XIIe début du XIIIe siècles, domine le village et offre un vaste panorama sur la plaine de la Crau. Il est cité dans le testament de Pons de Lamanon () et est la possession de la famille de Lamanon depuis au moins 1289[31]. Le château est assiégé en 1592 pour en déloger les troupes du capitaine Rondellet[31]. On en entreprend le démantèlement dès l'année suivante, démantèlement qui lui donne pour une bonne part la forme qu'il conserve aujourd'hui[31]. Le bâtiment contenait deux niveaux : un rez-de-chaussée accessible depuis le sud-est et un étage qu'éclairait une baie imposante[31]. La porte d'entrée a été restaurée.
L'ancienne église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Aureille qui portait au Moyen Âge le nom de Sancta Maria de Auricula (« Sainte-Marie d'Aureille ») a disparu et l'on n'est pas en mesure d'en situer la localisation précise. Au XVIIe siècle, une nouvelle église est construite aux frais des habitants. De petite taille, l'archevêque d'Arles signale en 1619 qu'elle est caractérisée par sa pauvreté et son inconfort[49]. Le bâtiment est agrandi après la peste de 1720 et une chapelle dédiée à saint Véran vient s'y accoler. Tout au long du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, elle est constamment en mauvais état (elle est même fermée plusieurs années pendant la Révolution[49]. Dans la deuxième partie du XIXe siècle, elle est remplacée par une nouvelle église, située place de l'Église. Aujourd'hui, l'ancienne église, connue sous le nom de tour de l'horloge, est une propriété municipale.
Aureille compte plusieurs oratoires, dont l'oratoire Saint-Véran (inscrit pour protection comme monument historique[51]). Saint Véran est vénéré par les bergers, confrérie rassemblant beaucoup de monde à Aureille, en raison de l'activité pastorale intense qui s'y est développée au fil des siècles[52]. D'autres oratoires sont dédiés à des saints vénérés en Provence : saint Joseph (vers 1840), saint Pierre, sainte Anne, saint Éloi, saint Roch[52].
En raison des nombreuses sécheresses qui ont sévi à Aureille au fil des siècles, le village s'est doté de nombreuses fontaines ainsi que d'un lavoir qui intègre deux fontaines extérieures[53]. Sur la place de l'église se dresse une fontaine moussue surmontée d'un figuier[53].
César Bernaudon, premier maire de la commune de Saint-Martin-de-Crau dont il fut à l origine de la création par distraction de la commune d'Arles en 1925.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Romain Cantennot, l'Aéroport d'Eyguières vole de ses propres ailes, 25 mai 2009, article publié dans le journal La Provence, consultable en ligne sur le site web du journal
↑« La géologie », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, H. Bruneton, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, p. 12-16.
↑« Les canaux à travers les âges », in Les Alpilles…, M. Soma-Bonfillon, op. cit., p. 42-45.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑L. Merlo, « André Soler, un as de la course taurine », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, p. 272.
Les Alpilles. Encyclopédie d'une montagne provençale, divers auteurs, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, (ISBN978-2906162976).
Jacques Marseille (sous la direction de), Dictionnaire de la Provence et de la Côte d'Azur, Éd. Larousse, Paris, 2002. (ISBN2035751055)
Fabienne Gateau, Michiel Gazenbeek, et al., Les Alpilles et la Montagnette, Paris, Académie des inscriptions et belles lettres, 1999, p. 109-112 (« Aureille » par Michel Poguet) et 203-207 (Carte archéologique de la Gaule [Pré-inventaire archéologique], 13-2) (ISBN978-2-87754-059-9)..
« Renaissance et croissance d'un village entre Crau et Alpilles – Aureille au XVIIe siècle », Françoise Arlot, in Crau, Alpilles, Camargue. Histoire et archéologie, actes du colloque des 18 et 19 novembre 1995, Michel Baudat (dir.), Groupe archéologique arlésien, Arles, 1997, (ISBN2950848311).
Aureille, Françoise Arlot, coll. « Le Temps retrouvé », éd. Équinoxe, Marguerittes, 1994, (ISBN2841350193).