Le psaume 43 (42 selon la numérotation grecque) est attribué à David comme la plupart des psaumes. Il constitue la suite de la supplication du psaume 42.
Pourquoi t’abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi ? Espère en Dieu, car je le louerai encore ; il est mon salut et mon Dieu.
Quare tristis es anima mea et quare conturbas me spera in Deum quoniam adhuc; confitebor illi salutare vultus mei et; Deus meus
Usages liturgiques
Dans le judaïsme
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Dans le christianisme
Chez les catholiques
Dans la liturgie des heures
Ce psaume était traditionnellement récité ou chanté, à partir de la règle de saint Benoît fixée vers 530, lors de l'office aux laudes du mardi, à la suite du psaume 50 (51)[4]. Selon sa valeur liturgique, saint Benoît de Nursie choisit particulièrement celui-ci pour la célébration solennelle de laudes (chapitre XIII).
Dans la liturgie des Heures actuelle, le psaume 43 est récité ou chanté encore aux laudes du mardi de la deuxième semaine[a 1].
À la messe
Dans le rite tridentin, le psaume 43 est récité par le prêtre au début des prières au bas de l'autel[4],[5].
↑ a et bPsautier latin-français du bréviaire monastique, p. 220, note : « Consolation dans la liturgie. C'est ce psaume que le prêtre récite avant de monter à l'autel pour la messe. Les sentiments variés de crainte, de désir et d'espérance qu'il exprime, conviennent bien à celui qui va célébrer de si augustes et si redoutables mystères. » 1938/2003
↑« Trésor du grégorien : « Judica me », l’introït du 5e dimanche de carême », Aleteia, (lire en ligne)
Voir aussi
Bibliographie
Nombreux sont les auteurs qui ont commenté les psaumes. Voici quelques ouvrages parmi les plus connus, classés par ordre chronologique :