Édouard Axelrad, né le à Paris et mort le à Paris, est un écrivain français.
Arrêté comme résistant, il est reconnu comme juif et déporté à Auschwitz. C’est à son talent pour la peinture qu’il doit la clémence d’un officier allemand. Il se retrouve au camp de Sachsenhausen jusqu’à la fin de la guerre[1].
Il a évoqué son expérience sous forme romanesque dans Le Jaune, publié en 1988[1]. Il y raconte l'histoire d'un déporté, Clariond, prêt à tous les trafics avec les SS, pour pouvoir manger et survivre dans le camp de Sachsenhausen.