Le 2 juin 1977, il fonde le Mouvement juif libéral de France (MJLF), avec le président Roger Benarosh et Colette Kessler directrice de l'enseignement, puis en février 1981, il crée la revue Tenou'a, qui est tout à la fois une revue communautaire et une revue de pensée juive libérale[1].
Daniel Farhi défend l’idée qu'il y a des points où la loi juive (Halakha) doit continuer à être modifiée, en attendant le retour éventuel du sanhédrin (tribunal de rabbins), pour pouvoir être applicable dans le monde moderne et ainsi perdurer.
Il a initié et instauré depuis 1990, une lecture publique de 24 heures des noms des déportés juifs de France, à partir du mémorial de la déportation des juifs de France de Serge Klarsfeld[1].
Il est membre du comité de parrainage de l’association La paix maintenant.
Depuis janvier 2010, il crée et anime le Centre Culturel Judéo-Espagnol/Al Syete (CCJE), association fédérant différentes associations judéo-espagnoles existantes, et dont l'objet est la sauvegarde et la transmission de la culture et des traditions des judéo-espagnols à Paris[1].
En 2012, à la suite d'une plainte, Daniel Farhi est mis en examen pour une agression sexuelle sur une mineure commise en 1990[2],[3]. En 2015, l'affaire judiciaire se termine par un non-lieu[4],[5].
Marié et père de trois enfants, dont le rabbin Gabriel Farhi[1], le rabbin Daniel Farhi meurt à Nice à l'âge de 79 ans le 23 août 2021[1],[6].