Seules 3 personnes sur 84 survivent à la rafle au siège de l'Union générale des israélites de France (UGIF), rue Sainte-Catherine du : Armand Steinberg, Aron Luxemburg et Siegfried Driller. Le premier est déporté et survit à la Shoah. Les deux autres, Luxenburg (né le , à Łódź, en Pologne) et Driller (né le , à Vienne, parviennent à s'évader.
Le témoignage du docteur Armand Steinberg, enregistré le , est lu le , le 8e jour du procès de Klaus Barbie[8] à 16:54. Il décrit la rafle à l'UGIF, son passage à la prison Montluc, le camp de Drancy, Auschwitz, et finalement le camp de concentration de Dachau, où il est libéré en .
Depuis 1945
En 2014, il reçoit Bochurberg et Klarsfeld, les réalisateurs du film Les Témoins impossibles[9].